• On passe à Laulo, et regarde le Salagou de haut.

    coucou rou, 

     

    16 mai 2021, encore dans la pluie, l’Aveyron s'imbibe toujours.

    8 heures, Brigitte s’interroge, va t'on marcher ?

    Si personne ne vient, elle ne sera pas seule à partir.

    Rester là, sans regarder le gris des fenêtres, se tenir en dedans,

    et s'occuper pour oublier la mouille de la ville.

    C'est un temps qui lui passe par la tête.

    -"Appels Marinoux, je suis sûr qu'ils sont partant " je propose pour la stimuler.

    9 heures, fin prêt, le bon jour commence.

    Michel, Pascal, rigolent dans la rue, François revient enfin, Maixent arrive.

    C'est la magie hebdomadaire, les autres nous poussent, ou tirent au dehors du raisonnable.

    Il y a souvent un Fada génial qui oublie de penser, et qui lance le spectacle par ses beaux gestes optimistes.

    L'ami, ouvre le regard curieux et sympathique, un coin espiègle,

    penche le nez sur le coté du cœur, ses mots sourient longuement en phrase surprise.

    -"Alors ça mouille ici, breuuux, fait pas chaud, au sud c'est pas terrible, mais on aura plus chaud " .

     

    L'espoir s'invente d'un rien, suffit qu'on parte, qu'importe la situation, on sera mieux.

    J'aime cette force ancestrale, qui revient lorsque l'on perd le cloisonnement de nos vies.

    Sans le savoir déjà, on va vers des rencontres particulières, dans un contexte exceptionnel.

    Rendez vous devant Laulo, un hameau qui me parle.

    Une image bip dans le portable de Brigitte,

    -"C'est Fabienne, elle randonne à cheval là ba je vois le panneau Laulo" c'est fou.

     

     

     

     

     

     

     

    On passe à Laulo, et regarde le Salagou de haut.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    17 km pour 300 m de dénivelé .

    Attention au points Rouge , ils marquent notre descente improvisée sans passage.

    On n'a pas trouvé le sentier qui devait nous conduire aux ruines de Cornils.

    Je vous recommande de ne pas suivre ce passage sauvage. Reste à trouver un autre sentier.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On passe à Laulo, et regarde le Salagou de haut.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Proche du lac de Salagou, sans la pluie, les groupes se rencontrent.

    Nouvelle, nouveau, belle à lunettes, fier danseur, nous présentent leur convivialité.

    Didier amène Marie France, c'est un jour rare.

    -"ha que je suis content de marcher à tes cotés, on va prendre soin de toi," lui dissent plusieurs.

     

    Il y a un temps doux et rassurant entre nous, une sorte de bulle tranquille qui roule en paix .

    L'attention est maximale, il n'y a pas de jeux, de masques, juste l'écoute de l'autre.

    Se dévoile qui veut, l’intérêt est de connaitre sans juger, pour apprendre sans réfléchir à son propre intérêt.

    J'aime bouleverser mon mental, le mettre en dehors des calculs et des prévisions, pour le plaisir.

     

     

     

     

     

     

    On passe à Laulo, et regarde le Salagou de haut.On passe à Laulo, et regarde le Salagou de haut.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On passe le hameau trop bien, que je ne photo pas. Je ne suis pas encore dans le conte de la marche.

    Je raconte nos histoires à la belle femme, je brode le charme du groupe, et me perd un peu dans les sentiments bien gentils.

    La grimpe commence rapide, les grands se penchent, Marie F. lance sa locomotive de peur du retard qu'elle pense occasionner.

    Nous sommes des vagabonds optimistes, sans le verbe des troubadours mais avec leurs sens de l'histoire langoureuse.

    Le temps sait qu'on aime, le prendre souvent pour ralentir l'instant précieux.

    Alors la pente papote, souffle, et sourit facile.

     

     

     

     

     

     

     

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    C'est les verts fleuris qui nous reçoivent en haut. Magie du printemps mouillé, les tendres jouent la multitude.

    Les chênes autre que vert, se couvrent de feuilles délicates, lumineuses, qui impressionnent notre âme artistique.

    Les verts, quand à eux, portent leur fleurs douceur chatons, comme une broderie claire qui descend de la cime.

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Sur le plateau, je cause avec J. Marc, son accent porte le rugby du sud, il randonne depuis peu,

    On échange nos passions, et arrivent les pierres noires. J'improvise un cour sur le basalte.

    voici pour illustrer mes mots un lien vers la planet terre :

    https://planet-terre.ens-lyon.fr/ressource/dynamisme-eruptif2.xml

    Ce plateau, est une vaste coulée, le sol pouzzolane, les pierres dures j'imagine le volcanisme.

    Les murs abritent les constructions des hommes. on pause l'arrêt à la capitelle.

    Marie F., capture nos poses de merlans qui bouillonnent.

    Je mime, deux imaginent, elle note, mes explications de constructions sèches enclavées.

    Pour ceux qui préfèrent un document.

    http://oleiculteursdupaysdefayence.fr/wp-content/uploads/2019/07/Livret-p%C3%A9da-2017.pdf

     

     

     

     

     

     

     

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    Curieux de nous, les longues oreilles s'orientent à notre passage.

    C'est une petite pause caresses, qui nous va bien.

    on arrive en bordure du plateau basaltique. la vue se dégage sur les horizons verts.

     

     

     

     

     

      

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    Le barrage se rapproche, une petite descente pense t'on et on y va manger.

    Mais pour franchir la falaise d'orgues de roches, les passages sont délicats pour celle qui peine des genoux.

    On s'organise avec J. Marc, pour offrir des appuis solidaire.

    Une main tendue, des épaules fermes, ou une cuisse comme marche stable, l'amie est accompagnée doucement

    à chaque pas.

    C'est des moments plaisants, qui nous font du bien, hors du temps.

    Ils semblent prolongés, délicats, et pourtant passent bien vite.

     

     

     

     

     

     

     

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    On quitte le plateau, commence l'approche au barrage, la camomille est partout, la bourrache finit de fleurir.

     

     

     

     

     

     

     

    On passe à Laulo, et regarde le Salagou de haut.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On se retrouve assit sur le rouge, muscat, chips tournent et grignotent entre nous.

    On est posé au prés du point d'eau, un moment de paix cristallise avec l'appétit de chacun.

    Les délices disparaissent, le vin aussi, et les gâteaux fond leur apparition.

    Madeleines, fouace, et meringue aux pois chiches, une première de Pascal.

    Café chocolat, pour faire passer tout cela, et c'est le repos des braves.

    Certain vont nous quitter pour rentrer, alors on n'est pas pressé de relancer la rando.

    -" Ha oui, la méditation de lolo, c'est quelque chose, tu devrais essayer" entend Magalie.

    On s’écarte un peu, juste au coté des siesteux, et l'attention s'invente en suivant mes mots.

    Les bruits s’éclaircissent, les pious pious se rapprochent, nos muscles lâchent lentement la tenue.

    Le corps exprime librement sa place, et devient tranquille, sans obéir.

    Le mental perd les commandes, il reçoit les sensations oubliées et négligées au quotidien. 

    Mon bouleversement est invisible, intérieur, mais nos postures impliquent le respect.

    Le monde se perçoit tel qu'il est, limpide, proche, délicat, bref et langoureux, avec toute sa variété d'impressions.

    J'invite à lever le voile des paupières, pour voir vraiment l'espace qui nous tient.

    Un petit choc, surprise de l'esprit de percevoir si bien le paysage.

     

     

     

     

     

     

     

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     Les ami e s, nous quitte, François accompagne M France, ils rentrent contents de cette marche.

    On traverse le barrage, et se dirige au mont Redon.

    Un grand chêne vert indique le bon chemin, et on ne l'écoute pas. On se perd donc sous une falaise.

    La vue espérée est réduite à l'inconfort du lieu.

    On demi tour donc sans voir le sommet du mont Redon. je garde en mémoire l'idée d'y revenir.

     

     

     

     

     

     

     

    On passe à Laulo, et regarde le Salagou de haut.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Hé puis commence la rando, j'annonce. on passe une clède et suit un sentier en direction de l'Est.

    Les voitures sont au Nord. Certain trouve bizarre, s'imagine que l'on entame le retour et discute de la direction.

    Hé oui la rando lolo commence bien là. Plus on avance, plus on s’éloigne du point de départ.

    Pour un retour c'est étrange.

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Le coin est sympa, la pâture bien tendre nous dissent les bhèèè, bhèèè tranquillent.

    je pense rejoindre les ruines de Cornils, et descendre ensuite à la route de Lacoste.

    L'avenir nous fera débouler sur la route sans rien voir, ou presque.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On passe à Laulo, et regarde le Salagou de haut.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    La belle rose, touche d'humanisme mon panorama,

    Le chemin va en bordure des collines, et bien des points fond la vue.

     

     

     

     

     

     

     

     

    On passe à Laulo, et regarde le Salagou de haut.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On devine le Mas Audran, ce n'est pas le village de nos voitures.

    Regrette certain.

    Le plateau traversé au matin se montre entier jusqu'au lac.

     

     

     

     

     

     

     

     

    On passe à Laulo, et regarde le Salagou de haut.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Les vues s'enchainent faciles, suffit d'un tour de tête et le pays nous émerveille.

    Ce plateau propose des angles particuliers pour voir le Salagou.

    On en avait été surpris lors de notre premier passage par ici.

     http://rando-lolo.eklablog.com/de-salelles-par-le-tunnel-de-rabieux-on-fini-vers-le-salagou-a136973036

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On passe à Laulo, et regarde le Salagou de haut.

     

     

     

     

     

     

     

     

    On contourne le Puech Rouch, regarde la plaine qui roule en presque bouchon.

    L' A75 semble trop étroite pour laisser filer le flot incessant de gens qui retournent au Nord.

    Les gouttes jouent les taches floues sur l'image, le ciel se décharge finement sur la campagne.

    On avance rapide, marche en cardio, sans longue pause, J.Marc s’étonne encore et toujours de la direction.

    -"Ha des guides comme toi, j'ai jamais vu, tu dis droite et c'est gauche, pour aller à Laulo on va vers Lacoste...." gesticule t'il.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On passe à Laulo, et regarde le Salagou de haut.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    je ne suis plus sûr de ce qui nous attend, on pose gouter au point de vue cartographique. km 12.5

    On fini les sucres aux pois chiches, c'est bien chic comme meringues.

    et au moment de repartir comme d'ici on voit les voitures, l'un propose de descendre tout shoot dans leur direction.

    C'est sans doute fort épineux comme choix. on sourit de l'idée un instant.

    On repart avec un grand Allééééé, Hé, que je sonne.

    -"en théorie, il reste 4 km" je rajoute devant les rires de certaines.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On passe à Laulo, et regarde le Salagou de haut.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Maixent pointe nos véhicules, entre les deux collines.

    Et nous partons à droite en suivant le muret.

     

     

     

     

     

     

    On passe à Laulo, et regarde le Salagou de haut.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    une prairie verte , qu'on marchait dans l'herbe.

    je crois bien que, ça ira, le sentier doit être là bas,

    Les ami e s me suivent sans savoir la suite,

    et si il n'y ait pas, je l'imaginera.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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     J'adore le sourire en cime de l'ami. Il scrute le versant et comprend qu'il n'y a pas de passage.

    Un temps s’arrête ici, lol, quoi penser? Pourtant GPS est formel on est bien là !

    Et puis un trou se devine dans les buissons, il descend entre les arbres, un point fluo chasseur.

    -" par ici, c'est clair", je m'engouffre.

    Les taches de chasseurs nous invitent à descendre, mais pas dans la direction qu'il nous faut.

    tant pis, on y va. Avance dans le bois, voit des marques de sangliers, et fini par arriver à leur bauges.

    Là plus de marque fluo.

     

     

     

     

     

     

     

    On passe à Laulo, et regarde le Salagou de haut.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    La route est à 200 m GPS, mais 100 m plus bas.

    Une bonne pente pour la rejoindre. Aussi sortie du bois, le groupe apprécie la vue de la Lergues.

    Les pisteurs en avant vont définir les passages des artistes.

    Un petit coin de ruffes se présente.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    J'entends Brigitte glousser de rire, elle ne peut plus se relever.

    Ses mots rigolent trop pour parler, il nous faut attendre un calme de respiration.

    -"Hé puis , j'ai vu la tête à Pascal glisser doucement la pente, il est passé allonger sur le coté la tête en avant " insuffle t'elle.

    L'histoire repasse en boucle, l'image s'invente dans le groupe,

    D’abord Didier tombe sur le c.l, et fini en luge fesse, de quoi sourire avec lui, 

    et puis Pascal s'appuie sur une branche morte, qui lui reste dans la main, Crac, il se couche et plonge dans le vide.

    Tout ceci au ralentit, il est long et pas rapide en déséquilibre.

    .Tête en bas il se laisse aller vers Didier , -" elle a cassée" excuse t'il.

    Comme chaque version apporte du fun, voici celle de Didier directement acteur:

     " Un grand souvenir, la descente de retour vers Laulo avec Brigitte devant moi qui descend sur le cul,

    moi derrière sur le dos et pour finir Pascal sur le ventre tête en avant l'air tout surpris

    et qui dit (à la façon de Jean Lefèvre dans la 7 èmme compagnie disant j'ai glissé chef ):<< c'est la branche qui a cassée...>>

    Et Brigitte plié de rire ne pouvant s'arrêter de rire.    Grand moment!

     

    Manque l'image, à vous de l'imaginer...

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On passe à Laulo, et regarde le Salagou de haut.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Les gueules de loups nous regarde tenir encore debout,

    Je rate la photo de ces fleurs roses, dommage, on prend le temps d'aller moins vite que les cailloux.

    Les sportifs nous attendent en bas, ils ont doublé les  pierres qui roulent.

     

     

     

     

     

     

    On passe à Laulo, et regarde le Salagou de haut.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Et c'est la route, 3 km de petit goudrons,

    Herbes libre, fleurs sauvageonnes, les gouttes dans le vent, les esprits reviennent entier de l'aventure.

    C'est un bon moment ce retour enfin dans la direction des voitures.

    Une rando qui nous a marquée d'amitié, et de quelques griffures.

    Les souvenirs se racontent entre nous, comme une exception, un trésor du temps qui va rester gravé.

    Une multitudes d'émotions, d'informations, de sensations, de connaissances, et de visions.

    Je regarde notre marche aller sur la route

    comme avance une armée de bonheur qui vient de soumettre un quotidien tyrannique.

     

     

     

     

     

     

     

     

    On passe à Laulo, et regarde le Salagou de haut.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Au passage un jardin fleurit nous arrête, c'est une conclusion du jour.

    On est passé parmi les fleurs, les belles gens, et beau pays,

    L'esprit qui se déséquilibre, perd, et oublie l'avenir.

    Reste l'odeur des thyms, du nectar des genets scorpions, et des herbes fraiches.

    Le temps nous est présent pour un moment qui s'étire derrière une voiture.

    Coffre ouvert, un grand gouter, nous est offert. Debout, fier, chaud et chaleureux on se laisse servir par la douce amie.

    Thé, café tisane, et cookies, tout est parfait.

    Une fin qui dit merci, les cœurs qui soufflent entre les doigts,

    Fument les tasses, comme nos émotions qui tourbillonnes de bien être.

    Nous sommes trop bien, personne ne peut le cacher,

    et chacun l'affiche sans compter.

    Le conte se met en pause, cette histoire s’achève,

    j'ai rendu au mieux que je me souvienne

    ma passion pour cette journée de marche.

     

    Bizs

    lolo.

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