• Coucou rou,

     

     

    dimanche 19 février 2023,

    Le soleil de printemps persiste et nous fait croire à la fin des saisons.

    Heureusement que les nuits gèlent encore pour ralentir les plantes.

     

    Vive les eaux de mars,

    un chemin qui chemine, une herbe qui aspire,

    le vert qui se gonfle, la vie qui ronfle,

    sous la couette de l'hiver, un œil entrouvert.

    une goutte, trois gouttes,

    et des milliers d'autre, pour nourrir les pauvres.

    Pauvres arbres, pauvre bêtes, pauvre de nous même.

    Sans les eaux de mars, les sources restent basses,

    Le Tarn ralentit, silence en Dourbie,

    les ruisseaux sans bruit, la vie coule en survie.

    Une goutte, trois gouttes,

    et des millier d'autre, c'est l'espoir de nous autre,

    pour le mois de mars, des eaux qui bartasses,

    sous les branches, dans la mousse,

    sur l'aiguille d'aubépine, ou la tige de buis.

    Pour ramper sur la terre, comme un ver de terre.

    J'ai fait, joué,

    à la goutte de l'eau, comme un ruisseau,

    j'ai ramper sur la mousse, pour trouver la rescousse.

    le chemin qui chemine,

    sans nous, perdu, bien loin de tout....

     

    Pas de carte cette fois, le sentier est perdu.

    On aura fait 15 km pour 480 m de dénivelé tout de même.

     

     

     

     

     

     

     

     

    de St Pons aux Bazaltes

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    10 h 30 on grimpe vers Capluc. On est parti du pont de Rosier, comme la semaine dernière.

    Pour éviter la piste béton , le sentier de crête nous prend lentement.

    Enfin pas si lentement, les sportifs devant donnent un pas sûr et soutenu.

    J'accompagne Céline, jeune nouvelle, qui vient voir notre façon de marcher.

    Volontaire, surprenante elle a le style montagnard.

    On est bien contant de profiter du soleil,

    on s'en plaint pour le manque d'eau, mais c'est plus agréable que le brouillard de Millau ce matin là.

     

     

     

     

     

     

     

     

    de St Pons aux Bazaltesde St Pons aux Bazaltes

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Les belles font touche d'humanisme, pour mes images.

    Après la grimpette au soleil, c'est le cheminement de mousses.

    Versant nord, royaume de l'ombre, le sol est au vert.

    Cool, j'ai choisi le sens de la marche pour être certain de rentrer par une piste tranquille.

    On se dirige vers l’ermitage de St Pons, ensuite ce sera bien moins cool.

     

     

     

     

     

     

     

     

    de St Pons aux Bazaltesde St Pons aux Bazaltes

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On alterne entre la lumière et les serpentins.

    un couple de jeunes nous suivent. On fait l'accordéon avec eux.

    je pose photo, ils nous rattrapent, on marche on les perd.

    C'est aussi un moment de discutions, chacun papote et la campagne résonne de nos histoires de ville.

    On pose à l'eau, et les lotois arrivent. Le couple vient du Lot.

    on se présente, et partage nos gout pour la nature avec des sentiment assez chauvins.

    C'est amusant, et complice.

     

    de St Pons aux Bazaltesde St Pons aux Bazaltesde St Pons aux Bazaltes

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    jusque là tout va bien, le sentier est ludique, un peu technique, mais c'est un classique.

    Avec un passage en grotte.

     

     

     

     

     

     

     

     

    de St Pons aux Bazaltes

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    L’ermitage, ou plutôt la place forte du coin. voir ici des infos

    http://fontdayres.over-blog.com/article-l-ermitage-st-pons-101298176.html

     

     

     

     

     

     

    de St Pons aux Bazaltes

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On passe la chapelle, la grande aiguille nous attend.

    C'est là que nos Lotois nous laisse. ils grimpent sur les corniches pour revenir à Capluc.

    "La pointe de lumière" du Causse Méjan.

     

     

     

     

     

     

     

     

    de St Pons aux Bazaltesde St Pons aux Bazaltes

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On décide de rejindre le Cinglegros, en restant sous les falaises.

    les sentiers ne sont plus entretenus, à part par la sauvagine.

    Sautes arbres morts, et taillis qui giflent.

    La randos sauvage commence. Brigitte rappelle qu'il est midi trépassé.

     

    La faim attend le soleil, le sentier n'offre pas d'espace suffisant pour se poser.

    On fini par trouver un coin, recroquevillé le repas réconforte.

    un bonne pause suit, et puis on repart, chantal en avant...

     

     

     

     

     

     

    de St Pons aux Bazaltes

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On avance, on avance, et Chantal n'est pas là.

    Holà, hélo, on l'entant dans les pins du ravin, en haut des falaises...

    Alors pause, le coin est sympa, on attend qu'elle redescende

     

     

     

     

    de St Pons aux Bazaltesde St Pons aux Bazaltes

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On est bien loin de Capluc, et un peu plus proche du Cinglegros.

    Mais le sentier use le moral, pas facile de l'inventer, chaque guide a sa version.

    Les vautours semblent tranquilles, ils frôlent la cime des chênes, se posent et redécollent.

    La chaleur les portent comme ils veulent.

    Je ne fait pas de photo, je suis pris par la recherche des traces du sentier.

     

     

     

     

     

     

     

    de St Pons aux Bazaltesde St Pons aux Bazaltes

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Pas facile de monte descend, dans la piérrade, sans trop savoir ou aller.

    On arrive au Poêlon, plus de 30 ans que je n'y suis venu .

    Brigitte se rappelle d'une photo faite sous sa cascade

     

    Alors le bisou sous le poêlon demande les ami e s .  

     

     

     

     

     

    de St Pons aux Bazaltes

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     l'image de Marinou

     

     

     

     

     

    de St Pons aux Bazaltesde St Pons aux Bazaltes

     

     

    voici celles de 1991

    En ce temps là j'étais comme maintenant bouc et moustachu.

    elle est belle, la belle au T-shirt mouillé. Les mains à la tête pour atténuer les impactes des gouttes.

     

    On ne repassera pas sous les gouttes, dommage.

    Et c'est juste après que je ne photo plus.

    On perd le sentier, Maixent va en haut, je prend le bas...

    Mauvais choix! Je laisse le groupe de femme dans la pammpa

    Et je rampe, rampe et rampe encore. Je suis trop descendu pour remonter, je sais que le sentier n'est pas loin.

    150 m de ramping à suivre une trace de rongeur, pas plus haute qu'une pomme.

    Sous les aiguilles d’aubépines et les tiges de buis.

    J'atteinds enfin le sentier balisé, et revient vers le groupe. ils avancent à ma rencontre.

    On a fini la galère, .

     

     

     

     

     

     

     

    de St Pons aux Bazaltesde St Pons aux Bazaltes

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    on arrive à la Sablière...

     

     

     

     

     

     

     

    de St Pons aux Bazaltes

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Le retour est régulier. Les jambes donnent dans l'automatisme.

    Les bazaltes nous voit passé la tête basse, à discuter du jour.

    On n'aura pas profité du calme des lieux, à regarder nos pieds plutôt que le pays.

    Parler bien plus que d'écouter le silence,

    Mais les 15 km du GPS restent bien marqués en souvenirs intenses.

    Des grands moments de doutes, incertitudes,

    mais avec la persévérance d'aller.

    On a su prendre le temps du repos, des choix, et des difficultés .

     

    Je retiens cela

    des gens contents d'arriver.

     

    bizs

    Lolo

     


    1 commentaire
  • coucou rou

    12 Février 2023

    dimanche anniversaire

    de la belle bergère

    de nos alpagas.

    -" J'ai les bougies, mais je sais plus si c'est un 4 ou 5 " me murmure Mirelle

    10 heure la rue nous retrouve fin prêt en attendant Brigitte.

    Je compte les têtes, divise en voitures, et j'annonce le départ.

    Rendez vous au pont du Rosier.

     

     

     

     

     

     

    Du rosier à Eglazine

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Une bonne boucle de 10 km pour 520 m de dénivelé

    Du bord du Tarn au bout du Monde.

    J'aime cette idée, du point bas au plus haut. quand on peut le faire.

    -" on doit passer en limite de la zone brulée" S’interroge certain.

    En Aout 2022 un grand incendie à ravagé 1360 hectares.

     

     

     

     

     

     

     

    Du rosier à Eglazine

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Vue d'en bas, rien n'y paré. Les rochers du bout du monde nous surplombe de très haut.

    On démarre par un vieux chemin en calade.

    Je me souviens de l'histoire de la vieille dame d'Eglazine.

    Encore valide elle descendait au Rosier pour vendre quelques produits, (fromages).

    Et remontait à Eglazine par ce chemin.

    elle avait connue les gorges du Tarn du temps des Bateliers

    la route n'existait pas, les villages communiquaient avec les barques.

    Voir ici des images https://www.gorgesdutarn.com/histoire-bateliers-gorges-du-tarn/

     

     

     

     

     

     

     

    Du rosier à Eglazine

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On grimpe dans ses pas, le soleil sur le dos, La vallée se dégèle.

    Et nous on découche. De -4 du matin on est à + 20 et plus dans la lumière.

    Souffle l'ami, qui ne veut pas marcher aujourd'hui.

    Mal de tête,  le morale avec les chaussettes restées dans le lave linge, il n'a pas le goût d'avancer.

    le groupe s'allonge, les premiers semblent irrattrapables, lui dernier fait son calvaire façon escargot qui fonce.

    Et moi je photo les collines du causse Noir. sombre encore, l'une semble dormir toute allongée la trompe au sol.

    Je rêve du réveil de se vieux pachyderme.

     

     

     

     

     

     

     

    Du rosier à Eglazine

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Ouff, la grimpe fait la pose, on retrouve le sentier GR qui vient de Liaucous.

    Maintenant c'est plus cool, l'ami reprend l'allure.

    Les rochers d'Eglazine sont en vue.

     

     

     

     

     

     

     

    Du rosier à Eglazine

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Quand on grimpe limaçon, le temps ne nous attend pas.

    Même en marchant longues jambes en avant on ne rattrape pas le temps qui cour.

    -" Brigitte va avoir faim dans quelques minutes" rigole l'ami

    Il faut faire un choix. il reste encore une bonne grimpe.

    Allons nous écouter Brigitte et grimper le ventre plein?

    Ou alors forcer la belle à grimper le ventre vide?

     

     

     

     

     

     

    Du rosier à Eglazine

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Ho la belle sonne,

    -"Manger à Eglazine se serait bien"

     

     

     

     

     

     

     

     

    Du rosier à EglazineDu rosier à EglazineDu rosier à Eglazine

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Eglazine, petit hameau bien sympa,

    La troupe décide d'éviter de monter après le repas.

    Alors les ventres vides commence la grimpe.

    Les talons portent les estomacs pas à pas.

    je promet une belle table.

    La belle dandine avec le sourire.

     

     

     

     

     

     

     

     

    Du rosier à Eglazine

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    oui ça grimpe ! surtout que Maixent bifurque sur un raccourci.

    -" hola dés qu'l y a un coin on s’arrête pour la pause repas" on lance aux leadeurs.

     

     

     

     

     

     

     

     

    Du rosier à Eglazine

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    et sans y croire on arrive au champignon.

    Le rocher taillé bien connu du secteur.

     

     

     

     

     

     

     

    Du rosier à Eglazine

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    C'est un bon coin à champignons.

    les rochers du coin fond tables d’hôte.

    on montent donc sur les tables pour faire banquet.

     

     

     

     

    Du rosier à EglazineDu rosier à Eglazine

     

     

     

     

     

     

     

     

    La fin du repas raisonne dans la vallée.

    le gâteau mousse porte les bougies, Mireille s’évertue de ne pas renverser le plat.

    Brigitte y souffle un mot surprise de la confection.

    C'est rien, un rire, des blagues, et du soleil.

    Juste de quoi faire un peu de bruit au dessus des vautours qui se réveillent.

    Bonne Anniversaire Brigitte.

     

     

     

     

     

     

    Du rosier à Eglazine

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On est au dessus des falaises, les grands fauves attendent le chaud pour s'élancer.

    De si de là posé sur les rochers ils nous ignorent.

    Avec Marie on se pose là, devant la croisé des Causses.

    Les autres papotent, Maixent sieste dans leurs pieds.

    La méditation commence facile, l'air est frais, la lumière chaude, le pays immobile.

     

     

     

     

     

     

     

    Du rosier à Eglazine

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On reprend la marche en trainant les patte entre les rochers.

    -" Rochetons un moment tant qu'on peut" Je propose

    Personne ne comprend vraiment, à part l'ami en tête.

    C'est bien de reprendre la marche façon vague à l'âme.

    Trois pas, un arrêt, un demi-tour, des bon mots, un sourire, un silence,

    des cris, une questions, dix réponses identiques.

    Deux pas, un duo, des solos, un rêve qui se dit, le temps qui nous oublie.

    Un pas, un repas qui se promène, bien rangé dans les panses.

    On va, sans aller, la suite nous attend trop loin.

     

     

     

     

     

     

     

     

    Du rosier à Eglazine

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    D'un rocher, on voit le Noir.

    La zone brulée, en 2022. On va en traverser un petite partie.

    juste un peu, pour ne pas y rester trop longtemps broyer du noir.

     

     

     

     

     

     

     

    Du rosier à EglazineDu rosier à EglazineDu rosier à Eglazine

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    La trace quitte le PR, on cherche un peu.

    Les pisteurs en avant, le groupe suit Lolo sans trop comprendre.

    -" on cherche les témoins d'une vie passée" j'annonce

    Des murets, un chemin construit entre les rocs. et c'est Mirelle qui nous attend à l'abri.

    La porte est d'époque...

    -" Mais quelle époque? on dis toujours de l'époque!! " philosophe Michel

     

     

     

     

     

     

     

    Du rosier à EglazineDu rosier à Eglazine

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On est au temps de la porte sans gong de métal.

     

     

     

     

     

     

     

     

    Du rosier à EglazineDu rosier à EglazineDu rosier à Eglazine

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Un point carte, des essais de sentiers, impossible de trouver la suite de la trace.

    Le brulé semble avoir effacé toute trace.

    Et puis c'est un pas d'escalade qui est tenté. Hélène qui ne voulait pas escalader passe en première.

     

    L'aventure continue, grimpe de ci de là ....

     

     

     

     

     

     

     

     

    Du rosier à Eglazine

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Les arbres ne bougent plus, leurs branches cristallisent, leurs doigts n'ont plus de feuilles.

    Ils sont là tortueux, charbonneux comme les hombres d'un squelette trop vieux.

    Et si dans le ciel ils griffent encore le bleu, ils ne fond plus de merveille avec leur sèves .

    le soleil ne les fait plus chanter, la terre ne les fait plus vibrer, leur lumière est éteinte.

    Les hommes les ont consumés,l'an passé, une grande sécheresse, et trois étincelles.

     

     

     

     

     

     

     

    Du rosier à Eglazine

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On grimpe La Zone.

    En arrière la bâtisse du raccourcie. on en vient qu'azi tout droit.

     

     

     

     

     

     

    Du rosier à EglazineDu rosier à Eglazine

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On suit les Pins à la trace, comme les dinosaures.

    Il ne reste de certains que des empreintes.

     

    Le terrain est sombre mais clairsemé. C'est un paradoxe triste, celui des lieux de désolation.

    Les pierres ressortent blanches.

     

     

     

     

     

    Du rosier à EglazineDu rosier à Eglazine

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    La maison a brulée, les poutres attendent les ouvriers .

    Et nous on va. La piste du bout du monde commence.

     

     

     

     

     

     

     

    Du rosier à Eglazine

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    la piste finie en sentier, qui plonge en trace de cabri.

    On perd 3 membres du groupe. Ils bifurquent sur le PR.

    -" Oui Lolo, on descend tranquille, on vous attend à Liaucous" téléphone le plus grand.

     

     

     

     

     

     

     

    Du rosier à Eglazine

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Du haut du bout du monde, le bonheur vous claque d'en bas,

    Au loin, la vue s'échappe et n'en revient pas.

    On ne nous apprend pas,à s'émouvoir de tout.

     

     

     

     

     

     

     

    Du rosier à EglazineDu rosier à Eglazine

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On tourne le bout, et commence la descente. en deux grandes étapes.

    D’abord rejoindre Liaucous, et puis retourner au Rosier.

    On avance au dessus des corniches somptueux panorama.

     

     

     

     

     

     

     

    Du rosier à Eglazine

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    La plongé débute. Marche et marche que l'on ne comptera pas.

    -"Au fort Libéria, on en a compter plus de mille en courant pour les monter" Se rappel Marie

    Maintenant doucement on descend.

    J'accompagne Anne, et j'écoute son année 2022. elle vient de profond, de difficile, de sombre.

    On partage nos expériences, nos savoirs, le sens de nos vie.

     

     

     

     

     

     

     

     

    Du rosier à Eglazine

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    La descente est longue, limite pénible pour les genoux, alors le temps est ralenti.

    les mot vont aussi lentement que les pas, j'adore ils sont bien posé, les mots, réfléchis et honnête.

    Les actions, les images qu'ils donnent sont vrais malgré le décalage avec la vie actuelle.

    Du sombre vient une nouvelle lumière.

    On voit enfin Liaucous, l'escalier terrible se termine, l'histoire que me conte Anne aussi.

    à l'image de cette photo d'espoir, la vie reprend sont cour bonheur.

    Anne, va, montre nous le chemin.

     

     

     

     

     

     

    Du rosier à EglazineDu rosier à Eglazine

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Liaucous, le village de la via férata.

    Une bonne pause gouter en commun.

     

     

     

     

     

     

    Du rosier à Eglazine

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Retour au Rosier. Une bonne pente, douce et tranquille.

    Le soleil lèche les falaises. Encore un grand soir qui se rallonge.

    il reste quelles marche à descendre pour atteindre les voitures.

    Les douleurs vont se réveiller pour finir la marche.

    Mais qu'importe, le jour est bon, il dure, et l'on fait partie du décors.

    Une belle rando émotion,

    un soleil complice,

    des am i es vrais,

    des mots qui chauffent l'âme,

    des sourires qui ouvrent les cœurs,

    quelques rires qui chantent les douleurs

    le triste qui passe sans bruit

    il me reste l'envie

    de revenir.

     -"et bien pour quelqu’un qui ne voulait pas marcher, je me suis régalé" conclu le brave

    Biz

    Lolo


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  • coucou rou, 

     

    le 5 février 2023, un jour cadeau qui s'annonce.

    Le matin je suis comme en enfance, le jour de Noël.

    Vite 8 h en voiture pour déplacer nos alpagas.

    On les pause chez Colette pour la journée. Elle à de l'herbe bien verte sur son terrain.

    Alors nos tondeuses écologiques se régalent.

    Ciel clair, grand bleu, rosé encore du levé de soleil. C'est beau, il fait bon, ils sont gentils.

    Hop en voiture, hop dans le près... et l'on retourne à l’appartement se préparer.

    -"Ils seront 4 me dit Sylvie, je lui dis OK" textote Brigitte.

    Oui comme cadeau, je vais revoir les amies et ami du sud.

    Mais aussi connaître Jean Claude. Il a osé !

    -"bonjour, je lis avec intérêt toutes vos balades, et j'aimerai venir marcher avec vous." Un petit mot de contact par le blog.

    Un coup de fil, qui n'en fini pas, c'est comme cela avec les passionnés, et le rendez vous est donné.

     

    Au Mas Vieil, sortie Le Caylar de l'autoroute du Larzac.

     

     

     

     

     

     

    Roc de Servière bis

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Un tour de 13 km moins de 200 m de dénivelé. C'est une trace que l'on à faite en octobre 2017.

    http://rando-lolo.eklablog.com/du-roc-de-serviere-a-la-pesade-a132433982

    Elle m'a laisser un gout de liberté délicieux, qui revient encore chaque fois que je vois le Roc.

    Ce jour, est un retour pour certain, une découverte pour les autres.

    Nouveau, Jean Claude prend le centre du groupe. En désordre tournent les accolades, les bizs,

    et les sourires.

    En flèches oranges, nos aventures tout shoot.

     

     

     

     

     

     

     

    Roc de Servière bis

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Presque 11 heures, Sylvie à faim, ou pas, mais demande un jolie coin au chaud pour manger.

    faut dire,

    faut dire que le vent du nord,

    quand il vous prend de face,

    ce n'ai pas le meilleur temps

    pour déjeuner dehors.

    Faut dire qu'on ne nous apprend pas

    à ce régaler dans le froid.

    -"ho non on ne va pas s’arrêter déjà" rigolent les Hommes.

    Je promet, un coin chaud plus loin,

     

     

     

     

     

     

     

    Roc de Servière bis

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    "ALLEZ----Hé, sans regret on avance"  Le groupe est beau.

    soleil, humour, bonheur, et papote intimiste, j'adore.

    Je suis un peu trop content, limite planant, comme au dessus d'une mer de nuages.

    C'est l’effet de ma vie du moment. Après les tempêtes, le repos, le rêve, l'action, je suis dans l'accomplissement.

    Et c'est super de le partager avec les ami e s.

     

     

     

     

     

     

     

    Roc de Servière bis

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On change par rapport à la trace prévue. je vise le Roc, au lieu de le garder pour le retour.

    -"on trouvera sans doute un chouette coin pour le repas sous le Roc" je regarde Sylvie.

    Si proche de l'autoroute, et c'est le calme des rochers que l'on entend.

    Commence un brin d'aventure, Fabienne piste avec Lasko, et moi je me fait moussé auprès de Anne.

    Elle a adopté notre façon de marcher,

    S’arrêter sans aucune raison, le plus souvent possible,

     et tourner les yeux vers celui qui rêve.

    Jean Pierre se dit -"c'est repartit on y va sans que je sache où"

    François respire le paysage pour la première fois.

    Francine souffle, et buffe, emmitouflé dans l’écharpe.

    -"tu vas te Rébiscouler avec ce grand air" lui promette les Millavoises.

    Jean Claude découvre, et contrôle avec son téléphone.

     

     

     

     

     

     

     

    Roc de Servière bisRoc de Servière bis

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Lasko est à 4 pattes, alors nous aussi par moment.

    La marche va être en remise en forme. Je me régale, l'aventure est dans toutes les têtes.

    Michel, adore marcher ainsi sans trace obligatoire, juste des axes donnés.

    Une grande confiance, des choix partagés, une entraide évidente, et le temps qui nous oublie.

    Libre ensemble de conquérir ce qu'on peut.

     

     

     

     

     

    Roc de Servière bis

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Sourire de Francine, photo J Claude, et le soleil du causse. En 2017 c'était ciel gris.

    C'est beau de refaire les randos. Revenir sur les secteurs déjà vus.

    Le Roc nous attend.

     

     

     

     

     

     

     

    Roc de Servière bis

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Le contre jour laisse l'espace d'où l'on vient. La tête du groupe grimpe le Roc, nous on traine.

    On mulote entre les buis, sur la pente à l'abri du vent.

    J'accompagne Kine, longtemps qu'on c'est vu, on discute repas de retrouvaille.

     

     

     

     

     

     

     

    Roc de Servière bis

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Le Roc de Servière colonisé par la troupe.

    J'y vois J Pierre sans son vertige..ou alors il le cache bien.

    Le bleu nous accroche, la lumière nous câline, les rochers nous charment, mais le vent nous baffe froid.

     

     

     

     

     

    Roc de Servière bis

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    L'ami nous attend avec la toutoune Lasko un peu plus bas.

    aussi on ne tarde pas, les baffes du vents du nord, ça vous retourne la tête.

    Et Francine qui se Rébiscoulait un peu d'une mauvaise bronchite. Elle doit faire attention au courant d'air.

     

     

     

     

     

    Roc de Servière bisRoc de Servière bis

     

     

     

     

     

     

     

     

    Pose repas, 9,5 sur l'échelle Michel. Le coin est bien noté. juste un bémol pour la tache des bassins d'autoroutes.

    Discutable ils sont bien remplis, et paraissent en lacs bleus.

    Par contre pas de bruit de voitures,

    avec le vent du nord,

    écoutez les tenir,

    les rochers de mon pays.

    Lumière chaleur, paysage espace, sentiments libres, plaisirs généreux,

    le bonheur est vivant entre nous, il s'allonge respire lentement, rigole et s'esclaffe en sourire.

    Il déguste les délices, portés par certains, partage l'envie des autres.

    Je donne les nouvelles de Marie Hélène...qui prépare son voyage vers les aurores boréales.

    à bientôt amie.

     

     

     

     

     

     

    Roc de Servière bisRoc de Servière bis

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On reprend la marche en dehors de la trace.

    La toutoune sent une piste, d'on ne sait quoi.

    -"Lasko, LASKO, LASKO, ..." s'entend dans la lande... la belle se fait la malle.

    -"comme elle ne veut pas revenir, on n'a qu'à la suivre", c'est une autre façon qu'elle vienne à nous. Philosophe Pascal!

    On commence notre marche sur la piste de Lasko... jusqu'au menhir.

    Un point téléphone, la direction est trouvée, suivre à droite Lolo!

    Un cèdre perdu, penche de haut.

     

     

     

     

     

     

     

    Roc de Servière bisRoc de Servière bisRoc de Servière bisRoc de Servière bis

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Des arbres on en voit! Arrivé près de Combefère, il faut passer la colline.

    En 2017 on était passé par des falaises. aujourd'hui j'invente le ravin.

    C'est bartasse au début, le groupe devient tortue. il carapace les extrémités, et laisse partir le lièvre Lolo.

    Je ne suit pas De La Fontaine, en bon gens qu'il se doit j’attends les carapatés qui lutent avec les arbres.

    C'est ensemble qu'on arrive au magique.

    Les hêtres sont là, au dessus des mousses. Majestueux, c'est eux qui leur donnent l'ombre.

    Les buis sont habillés de laines vertes crochetées avec talent.

     

     

     

     

     

     

     

     

    Roc de Servière bisRoc de Servière bisRoc de Servière bis

     

     

     

     

     

     

     

    Une petite monté bien trop facile, droite gauche, de face de profil, tête penché en avant,

    ou genoux au sol, les feuilles shipsent nos pas, les paroles s'adoucissent, les lumières scintillent 

    du sol au plafond.

    La queue-le-le, file si vite que le temps s'arrête. les têtes ne tournent pas assez pour se rappeler de tout.

    Qu'importe, la magie nous garde ici. On en oublie le reste de la journée, le Roc, le reste...

    On passe tranquille le temps qu'il faut.

     

     

     

     

     

     

     

    Roc de Servière bisRoc de Servière bis

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Et puis c'est remise en forme allongé.

    Avant de trouver la route et reprendre la trace bleu.

     

     

     

     

     

     

     

     

    Roc de Servière bis

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    et bien vite on divague. Un chemin creux nous tend le beau, alors vague ailleurs.

     

     

     

     

     

     

     

    Roc de Servière bisRoc de Servière bis

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    devant, voila les hêtres, ou l'hêtre? plusieurs troncs soudés, 2, 3, 5 on ne sait pas comment compter.

    C'est la pause qui repose l'important de la vie.

    -"en méditant au Roc, après le repas, j'ai ressenti un bien être profond, un bonheur évident qui entoure ma vie" j'avoue à Francine.

    -"c'est que tu reviens de loin" ....

    On se conte nos histoires de conte. le houx, le roitelet, la nature...

     

     

     

     

     

     

    Roc de Servière bisRoc de Servière bisRoc de Servière bis

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Voilà, comme promis on arrive au bout de la boucle.... toute une aventure, on traverse le passage des feuilles et on rentre.

    Un vieux tronc porte les marques d'un Pic Noir. Mais aussi un cœur d'amoureux.

    J'imagine plus haut leur lit d'amour...

     

     

     

     

     

     

     

    Roc de Servière bisRoc de Servière bisRoc de Servière bis

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    La chambre est au 2 vents, Nord ou Sud, mais le matelas et la couette sont au top.

    Feuilles à mémoire de formes, duvet de Hêtre, humidité zéro.

    On s'enfeuille, on se détend direct. L'expérience demande de l'audace, éviter de penser au petites bêtes.

    Un jour on y viendra dormir.

     

     

     

     

     

     

     

    Roc de Servière bisRoc de Servière bis

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    La pause goûter, et on repart vers le Roc. Dans ce sens c'est mieux, le vent dans le dos se fait gentil.

    Marche à vue, le Roc devant...

     

     

     

     

     

     

     

    Roc de Servière bis

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    François en tête, les 14 jouent les écoliers en rands.

    Libre facile, le retour se pense rapide. J’annonce les 4 derniers Km. 

     

     

     

     

     

     

     

    Roc de Servière bis

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    La troupe donne le sourire, 4 Km ....

     

    on connait le refrain! chantent certaines. 4 Km qui durent-dur

    je regarde qu'on en a fait au moins 2

     

     

     

     

     

     

     

    Roc de Servière bisRoc de Servière bis

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Devant le Roc Pascal annonce les 300 derniers mètres.  Hola, Hola, il confond le lieux du repas avec l'arrivée.

    Juste une grimpette et on voit les voitures.

     

     

     

     

     

     

     

    Roc de Servière bis

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    La plaine est là. Chacun son chemin pour rentrer.

    C'est la dispersion en petits groupes... encore du libre dans les esprits

     

     

     

     

     

     

     

    Roc de Servière bis

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Le soleil se couche, limite colline, pour un instant le rose adoucit le causse.

    Comme seul au monde on ressent chacun son moment de bien.

     

     

     

     

     

     

     

    Roc de Servière bis

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Encore un instant...

     

     

     

     

     

     

    Roc de Servière bis

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Entre ciel et causse, dans le rose du jour, la marche s'étire sans fin.

    Un grand jour, une longue liberté,

    des facettes différentes, des temps sans temps, et quelques douleurs.

    Comment finir sans rien brisé.

    C'est pas évident de ce quitter.

    Des promesses, des mercis, des bizs et des étreintes,

    des mains nouées, Tout nous attache.

    Une belle randonnée, un joli secteur, qui garde bien des mystères.

    on y reviendra.

    Pour l'heure, c'est un jour à la Lolo qui se termine.

    Merci J Claude, pour ton accueil simple et sincère.

    On espère te revoir bientôt.

    à toutes et tous,

    Bizs

    Lolo


    3 commentaires
  • coucou rou,

     

    Dimanche 22 janvier 2023,

    nous sommes dans l'hiver enfin, le froid tient le pavé.

    pourquoi partir loin, la neige est venue de loin.

    Alors ce jour je programme un tour proche bien connu.

    En bordure de falaises pour rester à l'abri du vent du nord.

    un petit tour en espérant toucher la neige.

     

     

     

     

    Au dessus du Mona

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    8 km pour 480 m de dénivelé

     

    10 heures, c'est un matin particulier,

    le groupe s'étoffe, d'une belle nouvelle, et de connaissances qui reviennent.

    J'aime ces bonjours qui englobent chacun dans la bonne impression.

    Les sourires, des "vous" rapides qui deviennent "tu" amis.

    Les 14 du jour trainent devant les voiture, la rue papote de vielles histoires d'enfants, de crèche, de visages.

     

     

     

     

     

    Au dessus du Mona

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On se retrouve au Mona, le village du ravin du même nom.

    Les versants sont comme salés de neige.

    Une bonne grimpette va nous chauffer doucement, lentement.

    Les paroles donnent le temps aux cœurs de boumer comme il faut.

     

     

     

     

     

     

    Au dessus du MonaAu dessus du MonaAu dessus du Mona

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Une fois chaud, sa croustille sous les pas.

    Un peu de blanc et on est contant.

    -" ho lolo une photo, que ma fille me voit sur la neige " demande François

    -"hé les filles, " clic Mireille. Son bonnet de noël donne l'ambiance.

    C'est beau, magique, immobile comme endormi, le vert sous la couette blanche.

     

     

     

     

     

     

    Au dessus du Mona

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Alors là, Brigitte donne la mesure! De quoi? je ne sais pas,

    simplement pour montrer les papotes qui freinent la marche.

    Elle en oublie la faim.

    Et puis aujourd'hui on attend tranquille, un de nous traine les pattes, la tête qui craint la suite.

    Pourquoi? sans doute pour rien, il y a des jours ainsi, la petite peur vous accompagne et vous tire la main pour ne pas avancer.

     

     

     

     

     

     

     

     

    Au dessus du Mona

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Le groupe s'étire, la tête par en avant trouver la baume du repas, et s'occupera du feu.

    Le corps progresse doucement profite des vues.

    En arrière les jambes molles, font plus qu'elles ne veulent pour suivre la trace.

     

     

     

     

     

     

     

    Au dessus du Mona

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Bien entouré les derniers avancent

    -"c'est beau tout de même, on a beau connaitre, c'est un plaisir de revenir" avoue la tête qui traine.

    Le grand nous épate, malgré l’angoisse du jour, il avance, certes on ne va pas vite, mais il nous suit.

     

     

     

     

     

     

     

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    J'en profite pour des images insolites. on longe les falaise du ravin.

    Maixent nous promet le feu à la Baume des amoureux.

    Certain la connaisse sous le nom de celle de l'ours.

     

     

     

     

     

     

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    On arrive au chaud, la salle est préparé, le foyer crépite, les gens s'active dans les bosquets .

    Coupe, ramasse du bois mouillé pour replacer le sec qui était dans l'abri.

    Le soleil nous boude encore un peu, qu'importe, sa lumière perce les nuages au loin.

    Il nous donne espoir de le rencontrer cette après-midi.

    Le repas nous cercle devant les flammes, on y tourne en demi-rond.

    Les places chaudes se partagent et s'échangent régulièrement.

    C'est un repas, pas de dance.

    C'est bon d'être en baume, enfumé par les flammes, au plus proche de chacun

    assis, debout, dandinant, ou serrant la tasse brulante sur les genoux.

    Les 14 sont réunis, chaleureux contre la roche qui offre le gîte.

    A la façon des lointains ancêtres on se sent chez nous.

    Notre mémoire ne donne pas les images, mais les sensations remontent, la joie, le plaisir, la sérénité.

    Le plus fort sentiment qui nous lie, en fait, c'est celui d'une sécurité absolu.

    On est "A L'ABRI" ! Et cela veut tout dire!

     

     

     

     

     

     

     

    Au dessus du Mona

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On reprend la marche, notre ami retrouve ses angoisses de progression.

    Mais le pays est bon, nos sourires porteur, et sa volonté grandit.

    On va chercher le sentier du Bofi, celui qui passe par le figuier et mirabal.

     

     

     

     

     

     

     

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    Pascal rigole, après le petit passage en "escalade"  pour atteindre le figuier.

    Michel explore le balcon supérieur en contorsion,

     On redécouvre le Bofi, la plus belle baume du secteur.

    Un lieu bien connu par les fous de falaises.

     

     

     

     

     

     

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    On poursuit le sentier, en direction de Mirabal, monte, crapahute, descend, c'est bien amusant.

     

     

     

     

     

     

     

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    Enfin Mirabal, la grotte de L'ALPINA.

    certains sortent les lampes, et s'enfilent entre les blocs.

    -" whoua, l'air chaud qui sort" j'entends.

    Le reste du groupe s'avance sur le sentier.

     

     

     

     

     

     

     

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    La vue se donne de haut. Le Larzac salé me fait envie.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Au dessus du MonaAu dessus du Mona

     

     

     Le groupe se retrouve dans un angle, Luc arrive le pantalon en fenêtre ouverte.

    Toute la jambe déchiré, alors Mireille secours, pose les agrafes avec des épingles à nourrisse .

     

     

     

     

     

     

     

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    La marche reprend, le groupe se perd entre les arbres, on n'entend pas le loup, et le renard chanter

     Juste les buis qui nous frottent les mains ballantes.

    on cherche le sentier qui nous descendra sur le chemin des Mines

     

     

     

     

     

     

     

     

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    -"Je le connais bien ce sentier, il débourdel avant le ravin" nous dit-il presque.

    à la place de débourdel il précise qu'il descend raide...

    Des lacets serrés, qu'il faut appréhender doucement...

    Il rajoute que plus loin, le sentier des mines risque d'être bien spongieux.

     

     

     

     

     

     

    Au dessus du Mona

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Et plus loin comme dit:

    Les joncs ont les pieds dans l'eau, nous aussi.

    Certaines tentent un saute motte, avec sucés.

    on passe devant plusieurs petites mines de lignite , à la recherche de galerie, et des traces de charbon.

    On se plonge dans le temps des mineurs... dont voici un lien instructif

    les mines de la dourbie et du larzac

    Peut être les premiers congés maladies payés en 1619 !!

    Notre région va de l'avant depuis longtemps...

     

     

     

     

     

     

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     Des écrit sur la porte, ce bâti porte l'histoire. Ernest Louis ....

    On s'y pose un moment.

     

     

     

     

     

     

     

     Au dessus du Mona

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Un point carte au carrefour du sentier vers la route.

    Brigitte choisi de descendre, les autre discute le bout de chemin qui longe.

     

    On prend par la route, et sur le goudron on traine.

    c'est le moment de se dire les dernières choses.

    Mais surtout de se garder encore les uns aux unes.

    Anne semble satisfaite, le groupe aussi bien.

    Encore un dimanche qui va lentement et surement

    à la façon d'un bon repas copieux,

    le désert reste entre nous

    comme un pièce montée

    ou chacun à tirer le meilleur choux qu'il à dégusté.

    merci à toutes, et aussi tous

    merci à celui qui à craint avec un grand sourire.

    Content d'arrivé, heureux de se retrouver bientôt

    Bizs

    lolo

     

     

     

     

     

     

     

    Dimanche 22 janvier 2023

     

     


    2 commentaires
  • coucou rou,

    dimanche 15 janvier 2023,

    l'hiver frappe enfin un coup, timide.

    Ce n'est pas encore le gel, mais voici la pluie.

    Fines drues, les gouttes sont parfaites pour remplir la terre.

    Il lui en faut, pauvre terre qui sèche depuis si longtemps.

    Aussi allons marcher sur le Causse entre les averses.

    Qu'importe la mouille, si l'on peut manger au sec un moment.

    Du côté de Nant, ( prononcé Nante par ici)

    des éclaircies sont promises.

    Sur le Causses de Revens nous irons en cœur.

    encore un retour en terrain aimé.

    en 2016 on y découvre une belle liberté en encourageant nos ami e s coureurs des templiers.

    http://rando-lolo.eklablog.com/vers-revens-au-pied-de-cantobre-a127328578

     

     

     

     

     

     

     

    De Revens aux corniches

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    14 km pour 350 m de dénivelé... une marche à vue hors balisage sur 6 km ...

    j'adore, se croire un chasseur qui arpente son secteur favori de collines en vallées.

    Sans se soucier des marques de randonnées. J'aime le droit d'aller où il n'est pas interdit.

    On est 10 de l'Aveyron, deux voitures pleines au pied de l'église gardoise de Revens.

    -" ha Didier est déjà là! " je souris notre ami de Lodève revient marcher avec nous.

     

     

     

     

     

     

     

    De Revens aux corniches

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    3 gouttes qui mouillent, un semblant d'éclairci, les sourires sous les bonnets le groupe va tranquille.

     

     

     

     

     

     

     

    De Revens aux corniches

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    je n'ai pas fait de repérage. Alors c'est la découverte.

    2.5 km de marche cool le long du GR , aprés la Granarié ( sans e), on se heurte.

    Une haute clôture nous arrête, sans doute celle du parc des Bison du Randal https://www.randals-bison.com/

    Marie-Hélene, nouvelle recrue,  vie un moment d'interrogation du groupe.

    Il nous faut modifier le tracé prévu, sans savoir si l'on peut faire la rando imaginée.

    C'est un moment facile ou le temps ne porte que l'essentiel.

    Qu'importe le décors suffit qu'on y passe la journée ensemble. Alors on avance, fait demis tour, et chance, la clôture fait un angle.

    -" devant vous notre terrain d'aventure " je montre en tendant les bras ouverts.

    Espérons que l'on ne sera pas arrêté par d'autre barrière.

     

     

     

     

     

     

     

    De Revens aux corniches

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    commence les km de errance. - " on contourne le champ par la gauche..." j’annonce .

    Elles, ils partent bien à droite. Le code Lolo des directions est bien connu.

    Les gens vont comme ils veulent, devant, en arrière, discutent au pas, c'est facile d'aller.

    J'adore rester en arrière, leur laisser le sentiment d'être libre. Oublier le guide qui donne un rythme, le passage, la contrainte.

     

     

     

     

     

     

     

    De Revens aux corniches

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    le temps passe vite entre les buis, la pluie nous force à encapuchonner les sacs,

    On avance bien trop heureux, que Brigitte oublie de sonner.

    Les km passent sans peine, la vallée du Trévesel se présente déjà.

    On décide la pause casse croute à l'abri du vent en bordure du Causse.

     

     

     

     

     

     

     

    De Revens aux corniches

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    La mouille s'arrête, nous aussi . c'est au top! Une haie de buis fait paravent.

    Nous voila piqueniqueur façon escargot.

    la même idée tournent entre nous, on se régale ensemble de manger dehors par se temps.

    Les onze font ripaille des chips au chocolat-café . Jean Pierre partage une fouace,

    Sur l'herbe trempée on se régale.

     

     

     

     

     

     

     

    De Revens aux corniches

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Les têtes saturées par le gout chocolat, la marche repart. on longe la vallée du Trevesel.

    Direction le serre du Carla. Une petite avancée de terre dans le coin de l'aven Noir.

     

     

     

     

     

     

     

    De Revens aux corniches

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     Voici le Trevesel, Maixent y cherche un grand abri,

    On inventent de futures randos en allant à Trèves,

    Fabienne parle de Roquarié, une amie y habite, Layolle, autre hameau où passer.

    Oui ce coin inspire les marches.

     

     

     

     

     

     

    De Revens aux corniches

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Sur la digestion, c'est parfait, on limace lentement la colline, en rêvant de prochaines rando.

    Au fond les pentes de l'Aigoual accrochent les stratus gorgés d'eau.

    Là aussi de belles sorties sont possibles, sur le petit causse de Comérias.

    Je parle , regarde, imagine, et me projette comme un Milan qui surveille son territoire.

     

     

     

     

     

     

     

     

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     Le Serre de Carla... je me doutais bien qu'il fallait y venir.

    En position idéale, entre le Causse Noir, et le Causse Bégon.

    En ligne devant, la vallée rejoint les gorges de la Dourbies.

    nous sommes petits marcheurs qui savons aller au bout.

    Alors se trouver devant autant d'espaces qui nous regardent nous donne des ailes.

    -"tu t'y connais en rapaces" m'interroge Jean Pierre, en regardant des vautours tourner.

    Sans plus, j'aime bien les Milans faciles à reconnaitre avec leurs queues incurvées.

     

     

     

     

     

     

     

     De Revens aux corniches

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Je panorama sans cesse. et puis j'oublie de faire les photos du bout de l'éperon.

    je plane trop vite. On arrive à la marche instinctive.

    j'explique qu'il y a sur la carte 2 croix qui situent des lieux que j'ai repéré sur une image satellite.

    Le but : y aller à la biste...

     

     

     

     

     

     

     

    De Revens aux cornichesDe Revens aux corniches

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     l'ambiance du groupe sourit entre les arbres.

    Pas vraiment des bartasses, juste une progression à l’instinct.

    chacun son envie, de suivre de loin pour éviter les demis tours.

    Ou bien en tête pour inventer les passages.

    Et moi, un peut partout pour rediriger avec le GPS et mes problèmes de droite-gauche.

     

     

     

     

     

     

     

    De Revens aux cornichesDe Revens aux corniches

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     on arrive à la première croix, un enclot mal bâtit est là.

    il définit un bel espace plan . la construction peu soignée laisse perplexe.

     

     

     

     

     

     

     

    De Revens aux corniches

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Un peu plus bas un autre enclos vaut bien un arrêt.

    Construit comme un rempart au dessus de la vallée .

    les vues satellites nous montrent des bijoux.

     

     

     

     

     

     

    De Revens aux corniches

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    ensuite c'est la marche vers la deuxième croix .

    un régal de vue, on y voit la bordure du Causse qui nous attend. (au dessus des grands pins verts)

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Revens aux cornichesDe Revens aux cornichesDe Revens aux corniches

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    -" c'est sans doute la doline de la glacière" informe le spéléo

    Doline? sotch? c'est quoi en fait.

    Peut être ici un effondrement. une grande salle souterraine, trop proche de la surface,

    et un jour, le plafond s'effondre.

    elle serait en lien avec l'aven Noir.

    on y descend, c'est raide, surtout pour remonter.

     

     

     

     

     

     

     

    De Revens aux corniches

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    il est 15 h et le soleil perce les stratus.

    Pour finir la journée s'illumine enfin.

    on se dirige vers le GR pour aller au dessus de l'aven Noir

     

     

     

     

     

     

     

    De Revens aux corniches

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Photo Lolo, au soleil,

     

     

     

     

     

     

     

    De Revens aux corniches

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    fini la marche à la biste, ici on connait bien,

    On avance en liberté tranquille.

     

     

     

     

     

     

     

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    -" ho là un balcon goutter " s'extasie Michel

    on improvise une pause Chamonix , les gâteaux de notre enfance.

    on devine les rochers de l'aven Noir, et les souvenirs arrivent.

    Nos histoires de fadas donne la musique à nos sourires.

    -" On a traversé le ruisseau givré et Lolo c'est baigné " .fait l'un...

    -" et quand j'imitais les amis des lobbies" fait l'autre... à revoir ici:

    http://rando-lolo.eklablog.com/de-cantobre-au-trevesel-a211564610

    Marie- Hélène nous partage aussi ses aventures d'ici.

    la grimpette à l'aven Noir, la traversé du Trèvesel..

    On partage nos frissons

     

     

     

     

     

     

     

    De Revens aux corniches

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    ensuite on repart en limite du Causse.

    saute fil, et grande vue, un régal ce sentier.

    On avance comme sur le retour.

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Revens aux corniches

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    un dernier regard sur la vallée, et on bifurque vers Revens.

     

     

     

     

     

    De Revens aux corniches

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    La dernière grimpette nous regarde, histoire de finir usé, pour ne pas regretter d’arrêter de marcher.

    On traine un peu sur le parking.

    c'est pas facile de clore une journée pareille.

    il s'est liée comme une grande écharpe autour de nos paroles.

    Elle tient chaud aux cœurs, si légère, facile à porter,

    elle nous rend bien élégant, fier, et sincère

    qu'il n'est pas évident d’être celui qui va la dénouer.

     

    alors un banal:

    -"et bien on y va, aux revoir et merci à toutes et tous". je lance

     

    on rentre avec plein d'idées de futures randos

    l'aventure continue

    à bientôt

    bizs

    Lolo

     

    lien de la carte IGN:

    https://www.geoportail.gouv.fr/carte?c=3.311080948436208,44.08419296899277&z=15&l0=GEOGRAPHICALGRIDSYSTEMS.MAPS::GEOPORTAIL:OGC:WMTS(1)&l1=ORTHOIMAGERY.ORTHOPHOTOS::GEOPORTAIL:OGC:WMTS(1;h)&d2=4406642(1)&permalink=yes


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  • coucourou

     

    dimanche 8 janvier 2023

    Un peu de pluies sur Millau, nous pousse à quitter l’Aveyron.

    C'est bien, se sera bon, d'aller au sud retrouver quelques ami es.

    10 h,

    encore un matin, ou je ne sait rien. A part tout le bien, qui nous appartient,

    quand un dimanch' rando revient.

    -" Hola, bonne année " j'embrasse Michel

    Oui BONNE ANNEE à toutes et tous,

    -" On est combien ? compte l'ami.

    -"au moins deux heraultais, 2 ou 3 du plateau, ici ..., Ha voici Lasco avec ses maitres.." je découvre

    Jean Pierre revient,

    les Fabiennes aussi.

    Brigitte fait languir,

    et moi, moi qui ne suis plus comme hier,

    Moi, je parle encore de moi...

    -" Pascal ne vient pas !" s’inquiète Jean Yves sur le départ

    Il a peur du sentier.... Pascal se méfit des bartasses

    On démarre au Pas de l'Escalette pour un circuit soit disant facile.

     

     

     

     

    Pas de l'Escalette à Camprouch

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    10 km pour 215 m de dénivelé... trace jaune,

    on fera en fait la bleue pour ne pas finir sur le cul dans la nuit comme le 29 novembre 2015

    http://rando-lolo.eklablog.com/au-pas-de-l-escalette-on-est-rentre-sur-le-cul-a119434522

     

    pour la trace voir en fin de page

     

     

     

     

     

    Pas de l'Escalette à CamprouchPas de l'Escalette à CamprouchPas de l'Escalette à Camprouch

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    ça chauffe dans le rang . ce n'est plus la voiture de Daniel qui fume.

    C'est qu'il est arrivé dans un nuage l'ami de l’Hérault. 

    -" ho c'est bizarre le capot fume, un truc a du lâcher, on regardera ce soir" ne s'inquiète t'il pas.

    Pour l'heure, en pente escalier sans marche, le Pas de l'Escalette nous fait souffler.

    Je promet un mieux en théorie en haut....

    En haut de quoi? regardent certains!

     

     

     

     

     

     

     

    Pas de l'Escalette à Camprouch

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    La marche grimpe un moment façon escargots qui en bavent.

    et puis un sursis s'étale alentours.

    La vue est toujours là, La voie du sud. j'adore .

    une pause bien être commence, les paroles varies, du rôle de guide, à la mécanique

    de la déprime aux bien-faits d'être là. Avec une pointe d'histoire

    -" là haut, sur le sommet il y a un oppidum"  entend t'on .

     

     

     

     

     

     

    Pas de l'Escalette à CamprouchPas de l'Escalette à Camprouch

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Mais pour l'instant le drôle reprend. Pas si marrant que cela.

    Passages limites vertiges, grimpettes à genoux, les bras qui tirent, les cuisses qui poussent au max.

    On est en haut et le mieux promis fait trop forcer.

    -" depuis qu'il est diplômé, me semble t'il, Lolo abuse " se murmure dans les buis.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Pas de l'Escalette à Camprouch

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Une partie du groupe tente l'oppidum. C'est assez magique de retrouver les marches des préhistorique.

    Abstraction de l'autoroute le relief est parfait. Le site bien posé dans l'axe de la vallée.

     

     

     

     

     

     

     

    Pas de l'Escalette à Camprouch

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Les meilleurs d'entre nous poursuivent le sentier pour trouver notre coin repas.

    Petites taches, elles, ils avancent et l'on se fait des grands gestes de reconnaissances.

     

     

     

     

     

    Pas de l'Escalette à Camprouch

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    C'est un 360° qui en jette ! Les anciens aimaient les jolis coins qui tournent en rond sans obstacle.

     

    Un peu d'histoire locale : https://groupe-archeologique-lodevois.blogspot.com/p/les-habitats-de-hauteur-de-camp-rouch.html

     

    Brigitte, fière, attend l'amie.

     

     

     

     

     

     

     

     

    Pas de l'Escalette à Camprouch

     

     

     

     

     

     

     

     

        Une tête à la Mireille conquise par les marches.

     

     

     

     

     

     

     

    Pas de l'Escalette à Camprouch

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On rejoint le resto grand air de rien.

    C'est beau, c'est bon d'aller tranquille et refaire une rando .

    Je me souviens en 2017 nous étions ici en mai....le temps des fleurs s’étalait de partout.

    http://rando-lolo.eklablog.com/retour-au-pas-de-l-escalette-du-cote-des-gavaches-a130242564

    et les ami'es découvraient émerveillé'es.

     

     

     

     

     

     

     

    Pas de l'Escalette à Camprouch

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Petit repas qui sent bon les souvenirs. Je parle fleurs, printemps, le rêve qui existe ici chaque année.

     

     

     

     

     

     

    Pas de l'Escalette à Camprouch

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Les douze remarchent repus. Les pattes trainent un peu pour certains.

    Le terrain semble facile. Le groupe ne s'étire pas.

    Je devine le sentiment de rester proche, pour bien entendre les mots qui circulent.

    Les mots qu'on aime partager dans la paix. Ses choix, joies, peines, expériences, doutes de la vie.

    On se sent unique et multiple, important et nécessaire. Avec une facilité si simple, d'écouter et de dire.

    C'est tout l'utilité de nos marches.

     

     

     

     

     

     

     

    Pas de l'Escalette à CamprouchPas de l'Escalette à Camprouch

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Mais... il vient un grand MAIS. le sentier descend, et monte. Monte souvent raide.

    Le souffle s'épuise, rien de grave, MAIS le temps court plus vite que nous.

    Le Fragon interpelle l'ami voici pour lui... https://www.plantes-et-sante.fr/articles/cueillette-sauvage/4250-le-fragon-on-dirait-un-houx-miniature

     

    Un conseil se réunît calmement... le temps va trop vite, on va raccourcir.

    -" les raccourcis Lolo, c'est comment déjà " réfléchissent certains. bartasses et azimut au Pif !

    -" Et bien Pascal a eu du Nez de ne pas venir " concluent tous les autres.

    je pense à René qui va bien rigoler en lisant ces lignes... je l'imagine se dire " ha voici le moment qui griffe"

     

     

     

     

     

     

     

     

    Pas de l'Escalette à Camprouch

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Perdu on ne l'est pas encore., Au milieu des pins sans doute on va y rester un moment.

    Le PR est par ici ou là, noyé dans les aiguilles. On plonge dans le vert en suivant des points verts.

    Un sentier petit petit, balisé pour des furets du pistage. Les marques sont vertes dans le vert,

    peintes en points ronds invisibles.

    C'est marrant, ludique, la recherche de ces marques fantômes.

    En plus on y va doucement, il ne pleut pas, heureusement, les limasses nous auraient doublé.

     

     

     

     

     

     

     

    Pas de l'Escalette à CamprouchPas de l'Escalette à CamprouchPas de l'Escalette à Camprouch

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    C'est le temps des interrogations, des tours et retours, des frottis frottas, de l'azimut vert,

    et des branches qui parlent.  " he mer..de, on passe où?

    à gauche, ou peut être la droite. ... sa craque, ho regardez! j'ai trouvé un reste d'habitant.

    Comme un poisson qui attend son bocal , on tourne en ligne jusqu'au ....

    -" Lolo, que dit le GPS? droite? gauche?..." demande la tête de file.

    -" à droite c'est bien " je confirme de loin

    Et la tête tourne à gauche .... logique c'est la droite de Lolo.

    Michel retrouve les codes directions Lolo avec le sourire.

    Et moi, moi qui sait toujours où l'on va

    moi, j’annonce que l'on commence le retour.

    Personne n'y croit.

     

     

     

     

     

     

     

    Pas de l'Escalette à CamprouchPas de l'Escalette à Camprouch

     

     

     

     

     

     

     

     

    tout à une faim, même les bon moments . Le PR est rattrapé presque trop vite.

    Mireille sort la galette pour 6 .

    Les 12 prennent leur part, c'est bon et le Roy Daniel désigne sa Reine Cécile.

    Un bel instant qui traine, se pose à l'aise, dans une micro clairière.

    Le retour s'amorce pour tous.

     

     

     

     

     

     

     

    Pas de l'Escalette à Camprouch

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On revoit l'oppidum, et la descente ne se fait pas sur le c....l

    Bien remplis les voitures sont là, les sacs et chaussures rangées.

    La vielle est réparée... elle fera bien encore 100 000 km de plus. Avec un peu d'eau...

    encore un dimanche

    de bien,

    qui a vu marcher nos tête

    pour rien.

    un dimanche qu'il fait bon de vivre pas trop vite

    pour qu'il s'imprime indélébile

    à la façon d'un recueil souvenirs d'ami e s ..

     

     

    bizs

    Lolo

     

     

     

    lien carte ign:

    https://www.geoportail.gouv.fr/carte?c=3.3127770748175593,43.822391888185024&z=15&l0=GEOGRAPHICALGRIDSYSTEMS.MAPS::GEOPORTAIL:OGC:WMTS(1)&d1=4386295(1)&d2=4395157(1)&permalink=yes


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  • coucou rou

     

    Fin mai 2020 cette sortie nous avait ravi.

    Des chemins méconnus,

    des fleurs de partout,

    la vue tout autour,

    Les têtes qui se gonflent de bien tout le jour.

    Une bien belle marche qui laisse le gout de reviens'y.

    Alors, allons y, revenir voir si l'hiver nous plait au dessus des ruisseaux du bourg.

    L'idée de Brigitte, de revoir la même campagne habillée d'une autre saison me plait bien.

    Faire un défié de mode qu'aucun couturier n'a encore imaginé.

    Celui ou c'est le public qui marche devant les créations, qui attendent naturellement sans artifice.

    J'aime l'idée, on choisi son rythme, prend la pose qu'on veux.

    le temps ne se défile plus, il pare notre sensibilité d'un style libre d'aimer.

     

    Ce dimanche 18 décembre 2022 nous voici  au lieu dit La Souque.

    pour un tour raccourci de 12 km pour 300 m de dénivelé.

     

     Ruiseaux du Bourg en hiver

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Cette année je test le site de Géoportail :  https://www.geoportail.gouv.fr/

     Afin de garder une trace IGN des randonnées. aussi en fin de conte-rendu vous trouverez un lien pour la carte et trace gps.

    En créant un compte, on peux enregistrer des traces et les partager, imprimer la carte, télécharger en GPX.

    je vais essayer de mettre un lien pour chaque rando petit à petit.

     

     

     

     

     

     

     

     

    Ruiseaux du Bourg en hiver

     

     

     

    Couette grise, douce lumière sans reflet, aucune ombre, des couleurs calmes sans bruit,

    la mode est tranquille sans agressivité, un style zen, qui se recentre sur inessentiel en vue d'un long sommeil.

    Je regarde les bordures endormies, les tiges enlacées qui semblent sèches, 

    je vois le contraste avec le printemps fleurit et bourdonnant.

    C'est bon, facile, la piste nous porte comme avant, l'un avec l'autre en paix, qui échangent leurs vies.

    C'est le début de marche, on a des choses à raconter, à demander, à écouter....

     

     

     

     

     

     

     

    Ruiseaux du Bourg en hiver

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     -" La vue qui fait perdre le nord" je rigole à Fabienne,

    elle parle de balades à cheval, je répond recoins à fossiles,

    on se dit que les chemins des châteaux sont bien agréables.

    Lugagnac, Cabrières, Compeyre forme un joli tour du Luzergue.

     

     

     

     

     

    Ruiseaux du Bourg en hiver

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Tranquille, on descend vers Vézouillac. une chauffe douce ce début de rando.

    A faire un jour avec les Loulous.

     

     

     

     

     

     

    Ruiseaux du Bourg en hiver

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Une belle fontaine source attend au village. abreuvoir lavoir...

     

     

     

     

     

     

     

    Ruiseaux du Bourg en hiver

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    et Pataugeoire  Tout y est!

    Le petit groupe languine, écoute le glouti liquide qui chante

    au clair de la pierre.

    les ami e s sont chaud.

    je dois être fière

    pour écrire ces mots.

    sans perdre la trace

    les voilà d'attaques

    à partout me suivre

    sans crainte ni souci.

    -" En théorie un peu de route et on commence le sauvage de la rando "

    je lance en l'air ces mots que personne ne renvoi. Un flop qui me fait sourire...Elles-ils sont heureux.

     

     

     

    Ruiseaux du Bourg en hiver

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    au dessus de Bellegrade, derrière le Puech de Cassagnès, on retrouve la vue des gorges du Tarn.

    Le moment de s’arrêter, et laisser le temps couler entre les yeux.

    les couleurs sont chaudes, le froid est là, l'air va rafraichir l'apéro

     

     

     

     

     

     

     

     

    Ruiseaux du Bourg en hiver

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    -"Qui veut de la soupe chaude"  brandit Brigitte

    derrière un buis sous le vent, nos papotes sentent bon l'oignons et le potimarron.

    en 2020 ce coin ne nous avait pas assez retenu. alors cette fois, on y mange tous en rond.

    les bons monsieur fond comme ça

    gentil sourires bonne chips

    Les belles dames sont comme ça,

    chocolat aux lèvres, les yeux qui brillent,

     

     

     

     

     

    Ruiseaux du Bourg en hiver

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Bousquignol, le cabanon ou guignol aime à se reposer lire un bouquin.

    Le coin est simpliste, bien pensé, au repos pour l'hiver.

    On y passe sans bruit pour ne pas réveiller ce paradis .

    faites de beaux rêves, ce terrain peut être en vente ..un jour. Il est écrit sur la pancarte.

     

     

     

     

     

     

     

    Ruiseaux du Bourg en hiverRuiseaux du Bourg en hiver

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    toujours en sauvage on suit la trace, de, je ne sais pas trop quoi...

    marcheur, vélo? chevreuil, sanglier? Renard au sûr, vue les crottes sur les pierres.

    -" on doit descendre dans ce ravin, le remonter pour ensuite grimper aux voitures " Je théorise

     

     

     

     

     

     

     

    Ruiseaux du Bourg en hiver

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    C'est la zone des Raiponces, du muguet et des lys d'été.

    Le sentier qui mène au ruisseau semble tout autre en hiver. c'est le monde des lutins verts.

    Le sol feuille en murmures dans nos pas, la musique est douce, douce, douce...

     

     

     

     

     

     

     

    Ruiseaux du Bourg en hiverRuiseaux du Bourg en hiver

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

        on remonte le ruisseau facilement, une piste sauvageonne le suit.

       De grand vieux châtaigniers attendent encore qu'on les récoltent.

       C'est peines perdues je pense, plus personne ne doit savoir qu'ils sont là.

       Trois arbres seuls sur le calcaire...

     

     

     

     

     

     

     

    Ruiseaux du Bourg en hiver

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    le ravin comme il se présente, cultivé juste un peu, libre partout, tranquille surtout.

    nos paroles montent lentement la pente, posent souvent,

    respirent profondément pour garder la réflexion de ne dire que l'essentiel.

    Quelques mots de vrai, et de longs silences d'accompagnement.

    La grimpe aux voitures se déroule plus vite qu'on le croit.

    C'est bête d'arriver avec l'envie d’être ensemble.

    Alors on repapote, autour des coffres on se tien la compagnie qui nous fait du bien.

    C'est bon, il fait frisquet, les visages sont roses comme timides de se rencontrer.

    On est jeunes, beaux et foufous, comme dans un rêve

    Sans doute celui de la vie qui ronronne ici pour l'hiver.

    Passer de bonnes fêtes.

    à bientôt

    bizs

    lolo

     

    PS chose écrite, chose du ! voici le lien carte:https://www.geoportail.gouv.fr/carte?c=3.0873249393808875,44.2285874938016&z=15&l0=ORTHOIMAGERY.ORTHOPHOTOS::GEOPORTAIL:OGC:WMTS(1)&l1=GEOGRAPHICALGRIDSYSTEMS.MAPS::GEOPORTAIL:OGC:WMTS(1)&d2=4371721(1)&d3=4373901(1)&permalink=yes

     

     


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  • coucou et HUM HUM,

     

    le son que font nos alpagas Skippy et Rivage quand ils se parlent.

    Neuvième saison de randonnées écourtè par mon entrée en formation de guide

     

    c'est une saison de changement et d'absence, variée et riche

    Elle commence tard, en septembre je passe avec succès les tests de sélections pour le BPJEPS rando

    Et en octobre on commence l'aménagement du terrain des Alpagas,

    et on suit avec Brigitte une formation d'éducation des alpagas

     

    Fin octobre commence nos marches

     

     

     

     http://rando-lolo.eklablog.com/debut-de-la-saison-9-un-tour-sur-le-sauveterre-a210840280

     Un tour sur le Sauveterre : 14 km pour  680 m de dénivelé

     

     

     

     

     

     

     

    De Lunas à Joncel

    http://rando-lolo.eklablog.com/de-lunas-a-joncel-a211005102

    13 km pour 310 m de dénivelé

     

     

     

     

     

     

     

     

    Des Salces au Pioch nègre

    http://rando-lolo.eklablog.com/des-salces-au-pioch-negre-a211103074

    12 km pour 340 m de dénivelè

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    de Soumont au Bosc

    http://rando-lolo.eklablog.com/de-soumont-au-bosc-pr-les-balcons-de-soumont-a211334276

    13 km pour 350 m de dénivelè

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Les Salines de Villeneuve les Maguelone

    http://rando-lolo.eklablog.com/les-salines-de-villeneuve-les-maguelone-a211420084

    17 km et ho la la, les 50 m de dénivelé casses pattes

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Lavenhe au puech de Pal

    http://rando-lolo.eklablog.com/de-lavernhe-au-puech-du-pal-a211495690

    14 km pour 460 m de dénivelé

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Cantobre au Trévesel

    http://rando-lolo.eklablog.com/de-cantobre-au-trevesel-a211564610

    12 km pour 500 m de dénivelé

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Marche test des LOULOUS

    http://rando-lolo.eklablog.com/petite-marche-test-pour-les-loulous-a211628322

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Du Mas Raynal au bord du Guilhomard

    http://rando-lolo.eklablog.com/du-mas-raynal-le-bord-du-guilhomard-a211685680

    21 km pour 210 m de dénivelé

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Les LOULOUS sur le Larzac

    http://rando-lolo.eklablog.com/les-loulous-sur-le-larzac-a211829766

    8 km facile

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Les Loulous au parapentes

    http://rando-lolo.eklablog.com/les-loulous-aux-parapentes-a211929321

     

     

     

     

     

     

     

    Les Loulous au dessus du Boudoulaou

    http://rando-lolo.eklablog.com/les-loulous-fond-le-tour-du-boundoulaou-a212197873

    9 km pour 440 m de dénivelé

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    autour de Millau

    http://rando-lolo.eklablog.com/petit-souvenirs-des-zalpagas-autour-de-millau-a212448751

     

     

     

     

     

     

     

     

    le 15 mai la présentation des alpagas

    http://rando-lolo.eklablog.com/presenttion-des-zalpagas-a212585933

    c'est la fin de saison, je suis à mi-parcours de formation. elle se termine début décembre.

     

    La prochaine saison commencera en décembre 2022 .

    Voila un an passé de plus sans trop de marche mais avec bien des moments Loulous.

    A suivre l'aventure ...

     

     

     


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  • Coucou rou,

     

    Cette dixième saison commence enfin.

    En pause, la faute au Merlet! https://www.lemerlet.asso.fr/

    Cette association de St Jean du Gard m'a retenue

    pour suivre sa formation d'animateur- accompagnateur de randonnée.

    11 mois de plein air, à vivre l'éducation façon populaire qu'elle enseigne.

    Depuis janvier 2022, jusqu’au 3 décembre, formatrices, formateurs, nous ont porté, 

    avec passions et engagements jusqu'aux diplômes.

    100% de réussite pour notre promotion.

    Heureux du résultat, fier d’appartenir au groupe BP 22,

    avec la certitude de réussir mon projet, me voila de retour chez moi.

    Le Projet Alpagas va voir le jour, bientôt, en 2023! Grace à vous toutes, et aussi tous.

    Qui depuis des ans, m'écoutez, me supportez, partagez vos idées, me soutenez, m'aidez,

    me lisez, et me regardez avec un sourire profond de sincérité.

    Je ne liste pas de noms, vous vous reconnaissez dans ces lignes.

    L'aventure est belle, c'est la votre, la notre, la leurs aussi à Skippy et Rivage.

    pas toujours motivé pour marcher... Ils sont de bon compagnons

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    petite sieste cet été lors d'une marche,  pendant notre sandwich .

     

    A suivre cette saison, la création de mon entreprise :

    Accompagner , faire rêver des familles en marchant avec les Loulous.

    et puis aussi, guider des groupes de marcheurs venus d'ailleurs découvrir les recoins des Grands Causses.

    Je suis Guide de randonnées, animateur nature, et fier de l'être enfin.

     

    Ce dimanche 11 décembre c'est la première sortie de la saison.

    Tout revient comme normalement, simplement, la vie reprend son cour ...

    10 heure, devant la porte Pascal attend.

    -" avec ce soleil on va pouvoir voir le paysage" je lui souris

    -"alors c'est faits! diplômes en poche, j'étais sur que tu réussirais" affirme t'il

    -"Moi c'est Jean Pierre, j’espère pouvoir vous suivre" se présente un nouveau.

    Un jour qui commence comme une continuité. J'adore . Rien n'a changé, le groupe est là .

    1 an d'absence et ça repart....

     

    Direction la Bastide Pradine un tour déjà fait en 2020 dans le brouillard

    http://rando-lolo.eklablog.com/comme-un-plongeon-sur-la-bastide-pradines-a180079812

    12 km pour 320 m de dénivelé, voir la carte avec le lien du dessus.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    C'est amusant, refaire des marches connues. Brigitte qui insiste chaque année.

    Aller revoir dans d'autres temps, les lieux vus une fois.

    Et là on est content, les images vont se dévoiler. en 2020 c'était tout flou!

    pour voir je décide de refaire les même images . je vous laisse les comparer avec la page de 2020.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Une nouveauté, assouplissement au départ du sentier.

    Un arbre coloniaire est au sol https://www.legoutdusauvage.com/

    Ces trois troncs nous font dessus dessous, avec le dos à plat.

    Les vieux que nous sommes, grincent des sourires coincés.

    -"ha ça fait du bien de s'étirer un peu " on conclu en cœur.

    L'ambiance n'est pas nouvelle, je trouve le sentiment de bonheur facile,

    le climat de paix tranquille, la sérénité de la sincérité, qui accompagne nos sorties depuis des saisons et des saisons.

    Le nouveau se trouve au centre, il accepte son rôle : être lui même.

    je sens qu'il ose quelque chose, je ne sais quoi, mais il se libère d'un truc....et c'est beau.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Beauté de fin d'automne, le froid fait neige des feuilles de chênes.

    La photo ne rend que quelques couleurs, les vols de feuilles se devinent à peine.

    Et pourtant on y reste dans ce dépouillage des arbres.

    les touches dorées virevoltent avec la lumière si lentement qu'on les croit suspendu dans un rêve.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     La vue arrive, les avant-causses du Larzac. notre randos se présente en relief face à l'Ouest.

    Notre but La Bastide Pradine, le village à gauche.

    Puis les hameaux, les Cazalèdes, St Pierre de Courgeas, au centre de l'image, et enfin la montagne de droite.

    C'est un beau parcours, avec le soleil, ou sans. ils nous reste de bon souvenir de la brume de 2020.

    On en rigole, et explique à ceux qui n'y était pas.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     -"C'est le lieu des rouleaux agricoles, je fais une image" je clic aux autres perplexes.

     Cécile ne se souvient pas "des rouleaux", juste de la brume .

    Aujourd'hui c'est le givre qui nous accompagne, avec un -5 affiché par les voitures.

     De quoi nous serré entre nous, papotes qui font du bien, les mots qui réchauffent l'âme,

    le cœur dans les poches, entres les doigts, prêt à s'offrir pour rien.

     

    Jean Pierre est notre. Généreux, plaisant, presque heureux... je sais maintenant son parcours.

    Il suit un chemin que je connais, difficile, long, ingrat, sournois, mais qui va au mieux.

    Il veut y croire, doute beaucoup, mais se laisse, aujourd'hui mener par notre marche.

    Sans le savoir encore il nous fait un cadeau magnifique.

    J'aime les gens nouveaux, car à chaque fois ils nous laissent les plus beaux présents sans s'en rendre compte.

    Des instants de certitudes, Ils sont biens entre nous. On est des gens vrais.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    11h30, le village est là

    -"j'espère retrouver directement le petit sentier en corniche, sinon on tournera" je virevolte ces mots.

    Les filles s'en fiche, trottent sans arrêt pour les infos que je chante en l'air.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    mais pour de longues oreilles et une caresse de museaux, elle stoppent .

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    -" là un sentier, avec un balcon " me dit l'ami

    Après des tours et retours, on est sur le sentier des corniches qui longe le village.

    le Cernon se cache entre les arbres de la vallée, les maison fond miroirs au soleil.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    jolis moments, les minutes passent longues et faciles.

    Si bien que ...

    -"Brigitte va sonner dans une seconde" tinte Pascal devant son téléphone.

    on décide de manger sur la place comme en 2020.

    c'est bizarre on est tellement bien ensemble que j’oublie les photos.

    Pas de moment Country, juste le café et thé de Noël

    et des histoires d'Emma Calvé la diva du monde, ici perdu dans les causses. Merci Didier.

    https://www.lagglorieuse.info/aveyron/article_emma-calv-la-diva-du-monde.html

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On quitte la Bastide, descend par le chemin des morts...

    Marie-Joe, Alain, on pense à vous...

    -" alors Lolo va nous dire qu'on est à mi-pente. Mais la mi-pente elle va durer longtemps!!" précise Cécile

    -" Il nous dit de ramper. On rampe. de Faire demi-tour. On retourne. On suit LOLO de toutes façon" rajoute Marinou

    Le nouveau est briffé... et bien vite c'est le demi-tour dans la pente.

    On remonte un peu, emporté par les balises du PR on laisse notre sentier sur la droite.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Une fois en bas, on attaque le retour et la monté de la journée.

    Clopine, clopane, les filles soufflent la pente.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On arrive vers Les Cazalèdes. La vue redonne le souffle.

    on est au dessus du ravin et l’éperon de la Bastide se présente entier.

    Les vaillants nous attendent au hameau. chacun son rythme.

    Je suis dernier, témoin du bon temps que l'on occupe.

    C'est beau de refaire une marche en d'autre temps.

    Cette saison sera marqué par cela, un retour sur nos propres traces.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    St Pierre de Courgeas, on retrouve la chapelle au clocher mur, la porte grillagée qui s'ouvre sans clé

    Le bisous des boules de bois est toujours figé comme une vierge à l'enfant.

    Pascal est avec nous, cette année on ne l'a pas perdu dans la brume.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Dernière image. j'en suis surpris en préparant ce conte-rendu.

    A mi-pente, une pose paysage, lecture de la géologie locale, des histoires de Reculées Jurassiques..

    une image de groupe , que j'envoie aux ami.es de ma promo BPJEPS .

    -"petites marches entre le Larzac et le Cernon, beau pays qui est le mien,

    rappelez vous que vous êtes invitez quand vous voulez .biz "

    La suite de la marche est trop dense, j'en oublie le rôle de narrateur.

    J'accompagne l'ami, profite de lui au mieux. On est dans un moment de bien être qui porte espoir.

     

    -" Et la méditation, tu l'a continué pendant ta formation ?" questionne Fabienne

     

     

     

     

     

     

     

     

      Mais bien entendu, pas question de ne pas médité.

      et sur ces mots nous voici installé pour une expérience

      en bord de route bien fréquenté on se pose sur la rambarde.

      je guide vers l'acceptation du bruit, l'écoute des sons, leurs sensations

      le soleil nous aide pour la paix, le corps trouve une détente immobile.

      et le calme nous habite. on est tranquille sur un rail de sécurité .

     

      Des klaxons, les paroles du groupe qui finit le chocolat

      on est bien...

      pour conclure le jour comme exceptionnel étrange et nouveau.

     

     

     

    on se dit à bientôt pour une autre marche .

    Qu'il est bon de reprendre ce blog

    biz

    Lolo

     

    en cadeau la carte IGN : https://www.geoportail.gouv.fr/carte?c=3.0410061125373877,44.01070006254491&z=15&l0=ORTHOIMAGERY.ORTHOPHOTOS::GEOPORTAIL:OGC:WMTS(1)&l1=GEOGRAPHICALGRIDSYSTEMS.MAPS::GEOPORTAIL:OGC:WMTS(1)&d2=4371721(1)&d3=4371739(1)&permalink=yes


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    Le 15 mai 2022, Acroroc des infrus, on se retrouve pour les Loulous.

    Voici un résumé de ce jour, en remerciements envers tous les protagonistes,

    et tous ceux qui n'ont pu venir.

     

    Depuis quelque temps, le ciel brûle en bleu,

    Chaleur, soleil, il fait chaud...

    Pour les Loulous pas encore tondu ce n'est pas top.

    Alors on ne leur fait pas faire de marche, on travail encore la confiance.

    Pour cela Brigitte à sa méthode, un peu brut, dans le sens directe, sans prendre des gants.

    Pour une ancienne gantière c'est particulier.

    -"ho je les lâche dés que je peux, lolo n'aime pas, mais je le fais"

    On les sent prêt, pour la présentation.

    Calmes, tranquilles, sans grandes inquiétudes, ils nous suivent en confiance depuis peu.

    On les trimbale, balade, et présente à tous les inconnus rencontrés.

    Au bout du Larzac, nos amis de l'acro roc nous reçoivent.

    -" Oui Laurent, pas plus, vous vous installez bien, tu prends les tables, le barbekiou,enfin tu voix " tranquille au téléphone me dit Mickaël

     

    -" on s'occupe des magrets, et des bulles, pour le reste chacun porte ce qu'il veut sans rien dire; " je lu donne nos consignes

    Façon ruche, personne ne guide.

     

     

    Présenttion des Zalpagas

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    10 h, enfin presque pas trop passé,

    on arrivent avec les Loulous.

    Du monde attend, on les sort du doblo, et c'est l'attraction.

    étrange sensation entre les grandes retrouvailles des ami e s perdu de vue depuis la mascotte crapodine.

    Et la découverte des Loulous. ils sont aussi surpris que nous, leurs têtes regardent et fixe en tournant.

    Les ami e s , tournent au ralenti et regardent longuement.

    Je me perds entre tous, les questions viennent tranquilles, douces et bienveillantes... j'adore.

    Le temps ralentit les gens sourient autant que les Loulous.

    -" la balade, on va en balade ..." envie de certain qui raisonne entre eux

    Ok pour la balade, on attend les derniers prévu, et on se lance sur le causse.

     

     

     

     

     

     

     

    Présenttion des Zalpagas

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Cool, tranquille vu la chaleur et leur laine. Un petit air frais passe ici heureusement.

    La caravane se fait, Skippy fier, surveille, Rivage profite tranquille.

    Ils sont impressionnés par le nombre de nouvelles têtes, mais garde la tranquillité, ils broutent facile.

    On les laissent brouter quand ils veulent, et je pause ainsi les réponses aux questions qui volent entre nous.

    Les papillons fleurissent les airs, la prairie du causse chante l'abeille, et nous on colore les chemins de bonne pensées.

     

     

     

     

    Présenttion des Zalpagas

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On est bien, je suis aux anges, entouré de bels gens qui se retrouvent.

    On fait le résumé de nos vie, je parle de la mienne qui change, et je me régale des rencontre qui avancent tranquilles.

    Le groupe suit sans savoir qu'importe, on ne fera rien de grandiose aujourd’hui, à part se retrouver heureux.

    Et Skippi angoisse.. Pourquoi? A savoir que les deux enfants courent au loin et passent cachés par les touffes de buis.

    Le grand noir les scrute depuis le début, et montre de l'inquiétude.

    On passe couché un barbelé, les Loulous assure bien,

    et puis plus loin il stoppe, se couche et attend.

    -" ha, on attend un, peu et puis on va le rassurer en faisant demi-tour" je propose.

    Un truc dans le vent le panique, il sent refuse d'aller au delà.

    En fait on est sans les voir dans un enclos avec des chevaux.

     

     

     

     

     

    Présenttion des ZalpagasPrésenttion des ZalpagasPrésenttion des ZalpagasPrésenttion des Zalpagas

     

     

     

     

     

     

     

     

    on revient tout aussi vite que l'aller, Skippy retrouve l’entrain, il a perdu son collier dans un  buis.

    on le laisse nous suivre libre par moment, Rivage présente au mieux bien décoré et se laisse guider facile.

    Il aime les paroles des discutions enrichissantes.

     à chaque pause que l'on fait pour retrouver le fils de nos idées, ils attendent la suite sans impatience.

    C'est cool trop facile d’être avec eux.

    Le groupe se disperse, s'étire, on va vers l'apéro ..

     

     

    Présenttion des ZalpagasPrésenttion des ZalpagasPrésenttion des ZalpagasPrésenttion des Zalpagas

     

     

     

     

     

     

     

     

     Les moments s'intimisent avec les beaux laineux.

    Je me rassure ils sont doux, gentils, tranquilles, et acceptent le monde.

    Et surtout les gens ne fond pas le cirque, Il y a un micro climat de bien être autour d'eux.

    Fini les tempêtes qui en imposent, les éclairs de génie pour gagner, les pluies qui désespèrent...

    Juste de l'air qui frissonne les poils du cœur.

     

     

     

     

     

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    Les Loulous au piquet, nœud antipanique, on peut se restaurer.

    le repas est encore pour moi magique.

    une table d'entrées diverses, une de desserts, et le feu plus loin

    Chacun se sert partage ses recettes, goute le reste

    un bon moment qui parle sans bruit, Je retrouve l'esprit de nos randos

    On partage la vie du jour, et la fait en même temps.

    Une vie facile, reposante, et nourrissante .

     

     

     

     

     

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    Brigitte conte et orchestre son année de retraitée ...

    -"avec lolo et les Zalpagas, je ne sais plus ou tourner de la tête"

    beaucoup se connaissent, nous connaissent, mais certain e s, découvrent, et semblent être bien.

    Nos hôte passent nous voir trop vite... il faudra se revoir, un repas s'organise.

    C'est trop facile d'y croire avec tout ce monde qui m’encourage.

    Le projet finira par aboutir c'est certain, mais pour le moment j'aime ces rencontres, ces échanges,

    Et pour cela les alpagas ont déjà réussit de n’emmener bien plus loin que j'aurai cru.

    Je me répète, répète encore, mais j'aime ma vie..

    j'adore les jours qui portent un rêve accessible.

     

     

     

     

     

     

    Présenttion des ZalpagasPrésenttion des Zalpagas

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Pascal à la plantcha improvisée, la viande cuit lentement. les loulous ruminent.

    Le soleil nous laisse le temps qu'on veut.

    Tout est lent, jusqu'à l'attitude de chacun.

    L'après-midi va passer comme un long rêve tranquille.

    Et puis on va se quitter, façon collier,

    Les gens se séparent par petit groupe, famille, ami s en covoit,

    Et laissent des émotions fortes et généreuses.

    Je prend, je garde en  laisse rien passer de tout cela.

    J'enfile les perles de vos jolies vie d'ici de ce jour, et les porterais .

    Même si je dois en oublier beaucoup avec ma tête percé comme un karts,

    je sais que je retrouverais le sourire en pensant à cette journée.

    merci encore

     

    on ne se perd pas,

    on se retrouvera

    bizs

    Lolo


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  • hum,hum Zalpagas, une idée de Lou,

     

     

     

    Avril 2022, le temps nous manque pour de belle sortie,

    la météo est capricieuse, la formation de guide s'intensifie.

    Aussi on fait de petites sorties en solo avec Brigitte,

     

    nous voici au Puech Dandan, sur un sentier de traverses .

     

     

     

    Petit souvenirs des Zalpagas autour de Millau

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    La piste est libre, on y voit loin, et on peu anticiper les dangers.

    Brigitte lâche Skippy .

    -"Je test qu'il me suive comme sur le terrain, Allez Skippy avance!"

    La longe au dos il suit la belle c'est magique, juste 4 mois qu'ils nous connaissent.

    Que de chemin fait pour se rapprocher d'eux,

     

     

     

     

     

    Petit souvenirs des Zalpagas autour de Millau

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Bien sûr l'herbe sent bon, et la tête de Skippy se penche souvent.

    C'est dimanche il fait chaud, qu'importe la balade, aujourd'hui on travail leur confiance.

    On test qu'ils restent avec nous .

     

     

     

     

     

     

    Petit souvenirs des Zalpagas autour de MillauPetit souvenirs des Zalpagas autour de Millau

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Je tien Rivage, l'autre mène et doit suivre Brigitte, il apprécie sa liberté, prend des aises,

    laisse la belle éloigner, et se frotte dans le près.

    En plus il ne semble pas bien motiver de randonner plus loin, sans doute la chaleur et la nouveauté du sentier.

    On est sur le Puech Dandan, au dessus de Millau, la vue est superbe alors on pose.

     

     

     

     

     

    Petit souvenirs des Zalpagas autour de Millau

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Et là on tente le diable.... il faut bien prendre des risques calculés pour avancer.

    Sur place, on s'allonge et lâche les deux Loulou.

    Le terrain est ouvert, on voit de loin venir le danger, pour l'instant personne..

    Que vont'-ils faire? Rivage sourit presque, nous regarde, et broute à coté de nous.

    Ils nous connaissent bien, c'est certain, reste avec nous, ne cherche pas de partir.

     

     

     

    Petit souvenirs des Zalpagas autour de Millau

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Ils sont un peu dans la surprise, sans attache, nous voyant tranquille, ils attendent.

    C'est une première, qu'on les lâche en balade. C'est le fruit du travail de Brigitte,

    Depuis quelques jours, elle les habitue des brouter en dehors du terrain la longe sur le dos.

    Et de s'approcher d'eux pour attraper la longe. C'est pas évident se genre d'approche.

    Mais elle y est arrivé, même si encore on ne peu pas les toucher facilement, ils se laissent prendre la longe au dos.

    C'est magique, les rapports qui évolue avec eux.

    On gagne de l'intime, petit à petit on rentre dans leur zone de crainte.

    Au début ils montrent l'inquiétude, nous regardent approcher, surveille le bon geste qu'ils tolèrent.

    Au moindre faut pas c'est la sanction, un écart vif de quelques cm, pour nous dire Non.

     

     

     

     

     

     

    Petit souvenirs des Zalpagas autour de Millau

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Un jour, comme ce jour, ils nous passent toutes nos erreur.

    On peut faire tranquille, la confiance est faite, on s'approche, attrape la longe comme on veut

    aussi vite que l'on veut, ils acceptent tout. Plus d'écart , de regard inquiet, juste de grand yeux curieux.

     

     

     

     

     

    Petit souvenirs des Zalpagas autour de Millau

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On retourne en joies, les Loulou nous aiment, C'est une belle balade entre nouveau amis.

    On est bien tous les quatre, complices pour longtemps.

    J'adore ces Loulous, ils répondent bien à nos sollicitation est montre à leur façon discrète,

    un bel intérêt pour nous.

     

    il reste encore bien des progrès à faire. S'approcher encore plus d'eux.

    Pouvoir les toucher facile sans réaction d'eux, leur présenter des gens sans stress. 

    Les rendre curieux à la nouveauté sans crainte tant qu'on est avec eux.

    Leur donner notre confiance absolue qu'ils ne risquent rien avec nous.

    J'y crois, je l'ai deviné pendant cette balade, leurs regards était différent.

    Comme celui d'enfants qui jouent avec leur grand frère, et non pas ceux d'écolier en rand devant la classe.

    Un grand jour, qui me ravigote juste avant de repartir pour St Jean du Gard .

    J'y crois, je doute, je suis fou, j'ai peur, mais le projet avance,

    les Alpagas font de leur mieux, et réussissent,

    alors on y arrivera ensemble.

    Proposer des balades avec les alpagas de lolo

     

    bizs

    lolo

     


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  •  

    Hum,Hum,

     

    Samedi dernier, on a fait une belle boucle au dessus de la Roque st Marguerite.

    Et des choses semblent nous interpeller.

    Skippy le noir est assez retissant d'avancer sur des pentes bien raides .

    On pense que l'on marche trop vite. Il s'est couché une fois, et sa respiration était bien plus rapide que celle de Rivage.

    En 5 mn il a repris son souffle, on attend encore un peu et ça repart plus lentement.

    Arrivé sur le causse c'est la pause sandwich pour nous, broutage pour eux.

    Je n'ais pas fait de photo régulière de la marche, car ce fut une succession de surprises et de rencontres magnifiques.

    Les Loulous ont rempli les portables des groupes croisés en images insolites.

    Une fois reposé on repart, la technique du piquet leur va bien, ils se sentent tranquilles.

    Les voilà en forme, curieux et volontaires, on décide d'allonger la balade.

     

     

     

     

    les Loulous fond le Tour du Boundoulaou

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    9 km pour 440 m de dénivelé.

    On fait la boucle des Corniches du Rajol

     

     

     

     

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    La petite Lou nous accompagne, sa complicité avec Rivage nous attendri.

    Timide devant lui, elle n'ose pas lui parler.

    Je l'accompagne en sécurité, tenant la longe entre elle, et l'alpaga. Il suit parfaitement calme.

    Petit à petit elle lui parle le premier ordre : Avance Rivage, si doucement que j'ai peine à entendre.

    Mais le beau lainé lui, perçoit parfaitement sa légère voix douce, et obéit simplement.

    Elle comprend qu'il écoute. Leurs échanges commencent.

    Elle finit par le guider, avec des "Stops Rivage" aussi gentil qu'une bise sur la joue.

    Pour la photo je la laisse seule aux commandes c'est magique pour elle.

    En fin de journée, elle est radieuse, et lâche la longe à l'arrivée pour courir en tout sens.

    Une journée complète à rester calme et attentive, c'est bien trop pour elle, qu'il lui faut évacuer l'énergie retenu.

    Elle veut revenir samedi prochain.

     

    Samedi 5 mars 2022, on organise une rando que l'on veut parfaite pour les Loulous.

    En retenant toutes les choses comprises ou supposées.

    Le lieu de rendez-vous, sert de pâture avant la journée.

     

     

    les Loulous fond le Tour du Boundoulaou les Loulous fond le Tour du Boundoulaou

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Parking DDE de Millau, on y est une heure en avance.

    Juste sorti de la voiture ils se scotchent aux touffes d'herbes. Notre terrain manque de verdure.

    Il a fallu l’aplanir, l'herbe n'a pas encore bien repoussé.

    On fait l'attraction des promeneurs, des chiens et des enfants.

    C'est un bon apprentissage, le coin est assez vaste pour anticiper les dangers.

    Une heure de pâturage leur suffit amplement pour être rassasier semble t'il.

     

     

     

    les Loulous fond le Tour du Boundoulaou

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Lou et Pascal arrivent, il est temps d'aller au départ de la marche.

    La caravane va rentrer dans la coffre. C'est une formalité maintenant.

    Là aussi on fait attraction, une dame attend de voir! Comment ils rentrent le cou.

     

     

     

     

     

    les Loulous fond le Tour du Boundoulaou les Loulous fond le Tour du Boundoulaou les Loulous fond le Tour du Boundoulaou

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Désolé pour le contre jour, les images sont sombres, mais on devine l'action.

    En premier Skippy est monté, puis se tourne face à nous, ensuite Rivage tend la tête pour faire sa place.

    Et devant les spectateurs Skippy fait la star.

    Prochain arrêt au parking de l'atterrissage des parapentes de Brunas.

     

     

     

     

     

     

    les Loulous fond le Tour du Boundoulaou

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Là aussi le coin est parfait, on les laisse brouter un peu, ils semblent prêt pour aller sur le causse.

    Riivage retrouve Lou, elle est bien plus sûr et participative.

    -" Je te laisse la longe pour les Photos, mais en cas de fougue de sa part tu lâches" c'est la consigne.

    Les Loulous sont maintenant biens habitués aux voitures, chiens, et vélos, mais un rien peut les surprendre.

    Elle n'est pas bien lourde, Rivage aurait vite fait de la faire voler.

     

     

     

     

     

     

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    La caravane est faite, un peu de route et c'est le sentier du facteur qui nous attend.

    Lou patiente pour l'image. Je sens que c'est un grand jour pour elle.

    Et pour moi c'est une belle occasion de voir le comportement des Loulous avec elle.

    Brigitte devant, Pascal avec la star noire, et nous avec Rivage .

     

     

     

     

     

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    Le tour du Boundoulaou, 8 km .

     

     

     

     

     

     

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    Le sentier commence, Lou parle, le Loulou écoute. La bonne boule de laine respecte l'enfant.

    Je Photo l'échange, les laisse aller un peu, pas trop, juste pour les images.

    Elle est transformée, calme tranquille et attentive. Lui écoute et répond tout aussi calmement.

    On monte au rythme de Skippy, Pascal cale ses pas sur lui. Longe détendu, sans tirer on grimpe lentement.

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Sur le causse il y a un coin de vert. on pause pour leur plaisir.

    Lou se retrouve seule avec Rivage.

    Ils sont complice ces deux là, c'est certain.

    Elle en douceur, sans geste brusque, elle contrôle son tempérament de joueuse fougueuse.

    Lui tranquille, lui donne des regards attentifs et gentils.

    Midi sonne, Hélène appel Pascal pour avoir des nouvelles de la marche.

    -" Oui tout va bien, on est en haut, on cherche un coin pour manger." répond l'ami.

     

     

     

     

     

     

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    Brigitte pointe une zone proche pour la halte. Lou profite que je photo pour guider Rivage

    J'entends un petit "Avance Rivage" ....

     

     

     

     

     

     

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    Puis c'est "Stop Rivage" !

     

     

     

     

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    Pascal repart, et je retrouve Rivage qui attend au coté de Lou.

    La longe sans boucle dans la main, la belle connait ses leçons.

     

     

     

     

     

     

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    Le secteur est dégagé, sans danger immédiat, je laisse les complices aller un peu seuls.

    Elle est fier, heureuse, transformé, je vois pourquoi mon projet me tient le cœur.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Tout proche de Millau, en belle liberté on va piqueniquer là.

    Le sentier du facteur se montre juste devant nous, une bonne zone d'herbe du causse , pas de vent .

    C'est parfait pour la pause.

    -"Voilà Lou on va les installer aux piquets, avec un nœud anti-panique.tu veux voir ?"

     

     

     

     

     

     

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    Une boucle, deux, puis la troisième que l'on coince. Les Loulous sont aussi tranquilles qu'elle.

    Ils ont compris que la pause va durer.

    Ce système de piquets et longe d'attache leur plait. C'est la quatrième fois qu'on l'utilise.

    A chaque fois ils montrent une plus grande tranquillité.

     

     

     

     

     

     

     

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    On ripaille l'apéro, le rouge et sandwich, ils se détendent.

    Puis c'est la rumination pour eux, la sieste pour nous.

    Une bonne pause en sauvage au dessus de la ville. on se trouve bien chanceux.

     

     

     

     

     

     

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    -"allez les Loulous, on va repartir "  propose Brigitte.

    une bonne marche nous attend.

     

     

     

     

     

     

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    Le coin est magique, sauvage libre et facile, Brigitte photo la caravane avec le Viaduc.

    Je laisse Lou et Rivage un peu plus libre. On passe l'aire d’envol parapentes et se dirige vers le Boundoulaou.

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Lumière de face, le causse prend des formes de fantôme, les Loulous suivent facile, c'est trop beau!

    La pause les a bien reposés ils se montrent volontaires et curieux de découvrir.

    C'est nouveau pour eux tout ce secteur.

     

     

     

     

     

     

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    un passage délicat, Lou va appliquer les consignes,

    Un stop Rivage au départ de la pente, puis elle passe et donne à Rivage l'ordre d'avancer.

    examen réussit .

     

     

     

     

     

    les Loulous fond le Tour du Boundoulaou

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Pour l'encourager elle suit les grands, seule avec son Loulou. Je photo la suite de la rando.

    On passe au dessus des falaises, pour redescendre à celles qui sont devant le viaduc.

     

     

     

     

     

     

    les Loulous fond le Tour du Boundoulaou

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Je retrouve Lou, la moitié du cirque est faite, le pays s'étale en paix, les km faits sont devant nous.

     

     

     

     

     

     

     

    les Loulous fond le Tour du Boundoulaou les Loulous fond le Tour du Boundoulaou les Loulous fond le Tour du Boundoulaou

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    on est sur le circuit VTT, et la descente commence,

    Rivage nous fait des sauts de marches magnifiques.

    Mais Skippy semble inquiet, on décide de refaire une pause au col, pour le goutter .

     

     

     

     

     

     

    les Loulous fond le Tour du Boundoulaou les Loulous fond le Tour du Boundoulaou

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Un Vélo arrive toutes bringues, on se gare, il passe à l'arrêt.

    Le paysage nous repose un peu, puis c'est Rivage qui s'arrête pour un souci technique.

    Brigitte regarde ses euros tomber sur le chemin.

    Ceux qui savent comprendront, pour les autres on expliquera lors d'une rencontre.

    On commence de parler repas magrets ananas, pour se retrouver ce printemps.

     

     

     

     

     

     

     

    les Loulous fond le Tour du Boundoulaou les Loulous fond le Tour du Boundoulaou

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Le goutter aux piquets, le chocolat fond sous la langue.

    Les Loulous apprécient, ruminent un peu, et se frottent la laine.

    On repart pour la descente vers st Martin.

     

     

     

     

     

    les Loulous fond le Tour du Boundoulaou

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Pour la photo Lou garde son copain toute seule, elle est bien fier d’être son amie.

    Des Vélos nous ont doublé dans la descente, un peu panique du premier qui voit un alpaga.

    Rivage se fait traiter de lama!

    -" holà stop, des lamas sur la piste" lance le pilote .

    -" ne tentez pas de les toucher, ils ne vont pas aimer" Je préviens direct.

    15 ou 20 pilotes vont nous doubler, au pas, sortant les potables pour un clic souvenir.

    Un bel échange, un beau partage du sentier. On adore.

    Les Loulous calés sur le talus se montrent parfait.

    On arrive presque en bas.

     

     

     

     

     

     

     

    les Loulous fond le Tour du Boundoulaou

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    j'aime se coin, cette sortie tranquille, et je me dis qu'elle pourrait faire partie de mes futurs rando pro.

     

     

     

     

     

     

     

    les Loulous fond le Tour du Boundoulaou

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Les voitures sont au dessus des maisons, sur le petit plateau.

    encore 1 km et on arrive.

     

     

     

     

     

     

    les Loulous fond le Tour du Boundoulaou les Loulous fond le Tour du Boundoulaou

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Lou profite des derniers moments avec son copain.

    C'est le temps bras croisés, sur l'herbe verte.

    Ils faut prendre le temps, laisser croustir ses envies pour entendre le calme des laineux.

    On passe au stade de st Martin, la pelouse est bonne.

     

     

     

     

     

     

    les Loulous fond le Tour du Boundoulaou les Loulous fond le Tour du Boundoulaou

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Pascal regarde une cave, les têtes s’inquiètent, on n'y rentrera pas.

    On retrouve le champ atterrissage des parapentes.

    Finie la balade, un petit broutage de remise en forme.

    On fait un tour des émotions du jour, que du bon, de la surprise, et du bonheur.

    Les alpagas semblent presque prêt pour d'autres aventures sur des sentiers.

    Je retiens de ne pas trop les pousser en monté, respecter des pauses rassurantes pour eux.

    Ils sont volontaires et charmant quand ils sont biens.

    Une balade au pas d'une jeune fille adorable toute complice de Rivage.

    C'est l'idéal pour découvrir le pays et avoir le temps de l'apprendre doucement.

    J'adore les Loulous.

     

    à bientot

    bizs

    Lolo


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    Hum, Hum ...

     

    Les voila repartis pour un tour.

    Samedi 5 fevrier 2022 ,

    Natalie nous rejoint avec son chien,

    Un petit tour des cascades de Creissel à l'air d'envol des parapentes.

    Le chargement des loulous est trop facile, ils grimpent comme de rien.

     

     

     

     

     

    Les Loulous aux Parapentes

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On commence par le chemin des cascades, le ruisseau les intrigue.

    Le chien devant ils semblent accepter.

    On va croisé quelques personnes surprises.

    C'est charmant .... Marie nous appel pour nous rejoindre sur le causse.

     

     

     

     

     

     

    Les Loulous aux ParapentesLes Loulous aux Parapentes

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On s'aventure sur les petit sentier escarpé des cascades. un autre monde, dans l'humide et l'ombre.

    Les Loulou suivent facile, sautent les rochers, serpente les pistes.

     

     

     

     

     

     

     

     

    Les Loulous aux Parapentes

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    De vrai cabri, ils passent partout.

     

     

     

     

     

     

     

     

    Les Loulous aux Parapentes

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Je ne tente pas de passer sous les cascades, une autre fois,

    Mais le coin des grottes est pas mal .

     

     

     

     

     

     

     

    Les Loulous aux Parapentes

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On sort vers les sarcophages, et commence le sentier qui monte sur le causse.

     

     

     

     

     

     

     

     

    Les Loulous aux Parapentes

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Tipo en avant, skippy vient de passer une zone inquiète dans les bois.

     

    La monté au soleil va redonner la pêche.

    On se régale de grimper doucement en suivant les longs lacés du sentier.

     

     

     

     

     

     

     

     

    Les Loulous aux Parapentes

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Marie arrive avec Raphaël,  La pause repas est vite comprise par les loulous.

    Même avec le chien il se couchent et ruminent un moment.

    Je commence de rêver qu'il ont bien compris comment on fonctionne en randonnée.

    C'est trop cool.

     

     

     

     

     

     

    Les Loulous aux Parapentes

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Après un bon café chocolat, on avance au parapente.

    L’accueil est facile, des chiens rodent mais ne sont pas agressif,  Les voiles les intriguent, et le monde est cool.

    Curieux , photo , dialogue on est sollicité avec gentillesse, c'est l'effet Loulous.

    On continue un peu les piste de la bordure du causse.

    Les coin semble agréable, on y reviendra pour voir la réaction des alpagas maintenant qu'ils connaissent le coin.

     

     

     

     

     

     

     

    Les Loulous aux Parapentes

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Séance broutage avant la descente...

     

     

     

     

     

     

    Les Loulous aux ParapentesLes Loulous aux Parapentes

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Le sentier est bien beau avec une touche d'exotisme.

    Le retour est bien facile les loulous reconnaissent le chemin.

    On se dis qu'il sera bon de revenir régulièrement par ici .

     

     

     

     

     

     

     

     

    Les Loulous aux Parapentes

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Un nouveau monde s'ouvre devant nous, tous les paysages à refaire  avec les boules de laines au long cou.

    Le retour est lent , on broute plusieurs fois,

    et pour finir d'un bon dans la voiture.

    C'est trop facile, on peut aller où on veut.

    Que de possible, de chemin ou sentier à faire.

     

    à la prochaine

    bizs

    lolo

     

     

     

     


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    Coucou, Hum Hum,

     

    Voici un cour résumé de notre sortie du samedi 22 janvier 2022,

     

    Hum , fond t'ils, les alpagas quand ils posent des questions .

    Brigitte passe les jours de semaine à les rassurer, et les mettre en confiance.

    Le We, on test leur acquis, et tente les nouveautés.

    Ce samedi on va tester la voiture, et la marche longue en terrain inconnu.

    Avec une approche d'un village touristique, donc du monde et des chiens.

     

    10 h on les charge sans problème, Ils sautent directe dans le véhicule.

    C'est un progrès qui semble bien encré. Un grand soulagement de savoir qu’lis ne rechignent pas.

     

     

     

     

    Les loulous à la couvertoiradeLes loulous à la couvertoirade

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    -"mais comment tiennent t'ils dans la voiture " s'interroge les amie s

    Le cou se baisse, et puis ils se couchent façon chameau

    Un petit saut, et les voila dans l'herbe

    On les laisse brouter un moment, Le propriétaire du parking ou on est garer vient nous voir intrigué.

    S'en suit une discussion sympathique sur l’étrange de la situation.

    Des alpagas chez lui !

     

     

     

     

     

     

     

    Les loulous à la couvertoiradeLes loulous à la couvertoirade

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On démarre la marche sur le GR qui va du Caylar à la Couvertoirade.

    Délinda, prend Rivage en longe, C'est facile, il semble bien accepter  d’être mené par une tête inconnue.

    C'est parti pour un belle marche, mais bien vite se pose la recherche du coin repas.

    Avec l'herbe qu'il faut! et sur le Causse c'est pas évident de trouver un coin de prairie dense.

     

     

     

     

     

     

     

    Les loulous à la couvertoirade

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On pose au milieu de nul part, entre les buis.

    Les loulous semblent se satisfaire, et bien vite se souvenant de notre piquenique de la semaine dernière ils se couchent.

     

     

     

     

     

     

     

     

    Les loulous à la couvertoirade

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Brigitte tente une approche sensible.

     

    C'est un moment de calme extrême, les sourires donnent des mots généreux.

     

     

     

     

     

     

     

    Les loulous à la couvertoirade

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Séance selfis, petit cercle intime, on est bien au soleil d'hiver sur l'herbe sèche.

    Ils attendent tranquille, toujours curieux, on les regarde admiratif.

     

     

     

     

     

     

    Les loulous à la couvertoirade

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    C'est trop bon des moments pareil, ils restent proche tranquilles, mais ils faut marcher.

     

     

     

     

     

     

     

    Les loulous à la couvertoirade

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Les longes passent de mains en mains, on avance bien, jusqu’à !

     

    Sqippy fait front de s’arrêter,  il ralentit ralentit refuse d'avancer.

    Pourtant rien à l'horizon, une partie des marcheurs partent en avant, on ne les voit plus.

    Au ralentit on avance, il fini par se coucher. aill, c'est trop pour lui 4 km de fait?

    On s’inquiète, attend un moment, et il se relève, Rivage semble bien plus calme et tranquille.

    En fait 300 m plus loin attendent des chasseurs que l'on ne voit pas.

    Il a sentit , skippy  sans doute les chiens ou autre odeur de peur.

    Une fois les voitures passé la marche reprend .

    On arrive en vue de la place forte des templiers.

     

     

     

     

     

    Les loulous à la couvertoirade

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Là ba, de la bonne herbe les attend. ils fond sensation, l'attroupement se fait naturellement.

    On est pris dans une farandole de questions, de paroles gentilles.

    Les gens viennent vers eux comme hypnotisé de douceur,

    Des couples jeunes, bien moins jeunes, de petit groupe de famille, s'agglutine autour des brouteurs.

    C'est le test de la proximité, les loulous se montrent très compréhensible, broute tranquille.

    Lèvent la tête devant chaque nouveau visage.

    Un coin de calme, d'échange de bonne humeur se cristallise. Et chose particulière les inconnus discute entre eux.

    C'est les premiers arrivés qui explique au suivant . Sans se connaitre les gens s'ouvrent et racontent un peu de leur vie.

    J'écoute, regarde le grand respect qui est fait au Loulou, Les photos qui enregistrent les souvenirs.

    Mais nous autre on n'en fait pas, bien trop impliqué dans l'instant.

    Voila il faut continuer, c'est dommage cette réunion improvisée est bien agréable.

     

     

     

     

     

     

     

    Les loulous à la couvertoiradeLes loulous à la couvertoirade

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On revient par le même sentier, et laisse la Couvertoirade sous son moulin.

    Une belle journée, longue est généreuse.

    On est bien plus confiant avec eux, ils savent se comporter avec panache.

    Encore une fois ils réussissent les tests qu'on leur impose.

    Ils auront croisé des chiens, des maitres, et des voitures sans craindre.

     

    Pour la prochaine on testera de marcher avec un chien...

     

    Que du bonheur

     

    bizs

    lolo

     

     

     


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    Hum Hum,

    super Loulous, c'est la rando test.

    Samedi 22 janvier 2022, lol je suis heureux.

    C'est pas gagné, un peu hasardeux, mais comme dit Brigitte:

    -"SI-sI , je les sens bien, samedi on les prend en voiture sur le Larzac. Avec Maêl on arrivera à les refaire grimper dedans en fin de marche"

    La semaine dernière on les a un peu forcés, pour qu'ils montent en voiture.

    Tellement que l'on a craint de devoir les forcer une deuxième fois pour le retour.

    Aussi on a garé le véhicule à 200 m de l'enclos, puis on est parti en rando facile .

    Mais aujourd'hui c'est le Larzac, à 10 km de Millau, alors pour le retour ils faut qu'ils remontent en voiture.

     

    Rendez vous 11h 30 à la Jasse. Je mail au Ami e s .

     

    les Loulous sur le Larzac

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    8 km facile ...J’espère ne pas trouver de barrière infranchissable.

    Et sur le retour on longe la nationale bien protégé des voitures, ils devront s’habituer.

     

     

    11 h on arrive au terrain, les Loulous pâturent le peu d'herbe qui reste.

    -" Rivage, Skippy, " qu'on appel, têtes en l'air ils ne bougent pas.

    On sort les licols, ils comprennent la manœuvre, et s’écartent de l'enclos.

    Mais comme toujours en 5 mn ils rentrent dans le petit corral après nous avoir fait marcher.

    -" Aller Skippy, hop dans la voiture" encourage Brigitte en lui tirant la longe de l’intérieur du véhicule.

    Il avance et bloque les pattes avant sur le parechoc,  je pousse un peu, et HOP il grimpe.

    Rivage suit sans être poussé, un petit bond ralenti et le voilà dedans.

    Avec Brigitte et Maël on y croit à peine, trop facile.

    On retrouve le premier groupe à Millau, Pascal, Michel sont tout sourires,

    -"Alors ils sont dedans, tu les a chargés ? "

    Je suis fier, le doblo dans la rue est remplie des Loulous.

     

     

     

     

     

     

     

     

    les Loulous sur le Larzacles Loulous sur le Larzac

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Sur le parking de la Jasse c'est l’attraction, qui y a t'il dans ce coffre?

    Certains ami e s , ne sont pas là et le regrettent. aussi on pense à vous , votre tour viendra.

    -" Ha je suis ravi de voir ça " s'extasie Didier.

    Brigitte prend les longes, Skippy le beau fait la star, avance le coup compte les nouvelles têtes.

     

     

     

     

     

    les Loulous sur le Larzacles Loulous sur le Larzac

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Hé oui ils  sont deux dans le coffre. Tout leur est étranger, ou presque.

    Certain de nous leur sont bien connus, d'autre vu une fois, et le pays jamais regardé.

    C'est là que les oreilles cherchent, j'adore leurs oreilles chercheuses.

    Pointues comme des lances, elles dressent ou se replient en arrière en fonction de l'émotion.

    Devant c'est question curieuse, intérêt certain qui va bien finir.

    à plat c'est crainte d'une fin moins sympa. En une seconde c'est tout l'un et l'autre .

     

     

     

     

     

     

     

    les Loulous sur le Larzac

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Après un temps tranquille à les laisser brouter vers les voitures, ils semblent prêts.

    Le groupe se forme, Brigitte guide Skippy, et j'ai le geste de laisser Rivage à Pascal pour la photo.

    Ils ne se quitteront plus.

    C'est facile, si simple, marcher avec eux sans savoir pourquoi.

    On se dit qu'on les balades comme d'autre sortent leurs chiens, mais je pense que c'est nous qui sommes baladés.

    Les ami e s sont au top, compréhensif, attentif, et au ralentit , j'adore.

     

     

     

     

     

     

     

    les Loulous sur le Larzac 

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    La caravane s'invente, le Larzac s'ouvre libre et spacieux.

    Je rêve ces images depuis si longtemps, elles sont réelles sans comprendre vraiment tous les évènements qui les ont construites.

    Partie d'une folie d'y il y a 10 ans, après une déprime de 2 ans, me voila sur le projet en cours,

    mais comment expliquer la chaine précieuse, autour de moi, qui porte l'espoir et les moyens dans les épreuves.

    Elle est belle comme une pensée d'amour, généreuse à la façon auvergnate du grand Georges,

    aussi sincère que les yeux du toutou chéri, et délicieusement tendre dans les câlins amicaux.

    Cette chaine ce construit chaque jour par les ami e s, les moments qui se suivent comme il faut, les choses qui viennent au bon temps,

    et les Loulous qui répondent partant.

    Je regarde cet espace avec le fauve et le noir, tout au loin on va, jusqu'à la bordure du causse.

    Il en reste du chemin avant de les prendre en balades professionnelles, mais je peu être fier de nous tous pour le parcourt qui nous a emmené là.

    Nombre de gens, participent à l'aventure, étape par étape, évaluation, stage de connaissance, de dressage, la ferme d'élevage, les amis du terrain

    Les ami e s de partout , nos familles, les personnes officielles qui suivent le projet pro, et maintenant tous les gens de la formation que j'ai commencé.

    alors avançons, marchons, car d'un pas, qui vient tranquille en pays libre, c'est le cheminement qui donne la vie en paix.

     

     

     

     

     

     

     

     

    les Loulous sur le Larzac

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On chemine tranquille, à papoter autour des têtes alpagas. C'est un peu magique, tout doux, facile

    Malgré le nombre ils se montrent très impliqués, si bien que tous on est dans l'attention.

    Les Photo s'oublient, dommage pour l'histoire en image,  mais on est bien.

    On passe au Coulons, la jolie ferme reconstruite, Les voitures s’arrêtent pour les voir, 

    C'est quoi ce genre de brebis sur le causse ?

    Dans la bouissière ils avancent en queue leu leu, c'est le matin bonheur.

    -" oui, mais j'ai faim, on marche encore longtemps ?" rigole ma douce .

    La bordure donne l'heure du repas. J'avance au vide devant la ville qui les accueil.

    Ils sont mes rois.

     

     

     

     

     

     

    les Loulous sur le Larzac

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    -" J'en fait une avec le viaduc , pour demander au viaduc de nous sponsoriser" sourit Brigitte.

    Ils sont bien, l'espace leur plait. je suis un ange lol .

    On commence d'inventer un futur de sorties possibles.

    C'est sûr on va en faire avec eux.

    -" mais pour manger, il faut trouver un joli coin d'herbe verte, qu'ils se régalent " réfléchit Pascal.

     

     

     

     

     

     

    les Loulous sur le Larzac

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Un rond de pelouse à tondre ! C'est parfait. C'est la Pause, un peu tendu au début, bien vite ils gloutonne comme nous.

     

     

     

     

     

     

     

    les Loulous sur le Larzac

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    C'est le test repas, les sac se posent, les portables photo les tondeuses qui cruntchent.

    Calme ils savent, comment ? Je ne sais pas, mais ils fond comme nous, se régal à se remplir les panses.

    C'est le temps de l'admiration du rien qui nous assemble, juste être là au soleil du causse devant les Loulous.

    -" il est signalé deux loups par ici, bientôt il risque d'y avoir des clôtures et gros Patou de partout" annonce certain.

    Profitons des près tant que le loup n'y est pas .

     

     

     

     

     

     

     

    les Loulous sur le Larzacles Loulous sur le Larzac

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On les rend heureux, c'est certain, toujours tenu , ils font leur temps comme ils veulent.

    Je parle d'une longe d'attache qu'il me faudra , pour les éduquer au piquet, mais pour ce jour on se régal de rester tout près.

    Et puis ils se couchent, se roulent sur l'herbe et nous attendent.

    Test repas sublime ...

     

     

     

     

     

     

     

     

    les Loulous sur le Larzacles Loulous sur le Larzac

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Un petit nettoyage de la tête à Skippy et on repart.

    je lance le Permis Alpagas, savoir bien guider son animal.

    Le groupe passe en arrière des Loulous, ce n'est pas la position idéale, mais ils acceptent sans montrer de gène.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    les Loulous sur le Larzacles Loulous sur le Larzac

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On découvre la bordure du causse, et test tous les promontoires, Rivage et partagé entre crainte et envie.

    La queue parle peur, les oreilles cherchent l'envie de voir loin.

    Skippy se régal tranquille.

    Marinou se concentre, Pascal profite un max.

     

     

     

     

     

     

     

    les Loulous sur le Larzac

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Les images nous font étrange, ils complicent nos gestes, et le pays les regarde émerveillé.

    le sentier devient terrain de test, je propose les mots pour les guider.

    en descente, doucement, stop, attend, avance, et notre marche raisonne en parole simple.

    Le plus délicat est d'éduquer les deux personnes qui tiennent les longes.

    C'est trop complexe, ça va trop vite, et comment faire?

    Les Loulous s'adaptent bien, montrent de la patience, et en font à leur guise.

    Et puis tout va mieux.

    -" Ha oui ils écoutent bien, c'est un plaisir" m'avoue Marinou.

    -" Je le laisse faire, il décide bien " conclu Pascal.

     

     

     

     

     

     

     

     

    les Loulous sur le Larzac

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    on aura croisé un groupe de jeunes avec deux toutoux bavards, Ils restent BABA devant nos alpagas silencieux et tranquille.

    Un autre couple nous interpelle, Trop beau ces animaux ici, on fait sensation.

    On rentre conquit, ravit, et puis c'est leur pause à eux.

    Devant les buis ils se retrouvent pour un pot.

     

     

     

     

     

     

     

     

    les Loulous sur le Larzacles Loulous sur le Larzac

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Les Euros de Brigitte tombent en paquets.

    C'est complet comme balade ..

     

    On arrive au voiture, l'angoisse du chargement me prend.

    Et bien parfait , on ouvre la voiture, d'un bon chacun grimpe sans frein.

    Ils ont aimé, je les vois prêt pour la suite.

    -"Tu sais Lolo, il faut aussi que tu apprennes à leur faire confiance" me conseil Cécile.

    Ces mots, l'air de rien me pénètrent et envahissent ma tête comme un souffle de lumière.

    C'est étrange et trop bon de voir une ombre disparaitre avec juste quelque mots.

    Ce sera ma conclusion,

    je reste dans la magie du jour

    merci à vous tous

     

    bizs

    lolo


    2 commentaires
  • Hüüm hüm,

     

    Deux Janvier 2022, une année nouvelle,

    commence pour moi comme une nouvelle vie.

    Le projet Alpagas est sur les rails,

    Les Loulous portent mon rêve,

    et dans quelques jours j'entame une année de formation intensive.

    Que d'interrogation passent autour de moi, quelques peurs ou craintes,

    mais aussi des espoirs .

    Reprendre les études à l'age des retraites, en suis je capable ?

    J'ai prouvé que oui en réussissant les tests.

    Retrouver des jeunes, suivre leur rythme, comprendre leur façon d’être

    s’intégrer dans le groupe sans faire le grincheux.

    C'est un challenge  une épreuve à contre courant,

    Une de plus qui fait de ma vie ce qu'elle est, une aventure particulière en dehors des normes et convenances.

    J'adore ma vie, je le répète parfois, les ami e s en sourient ensemble.

    Reprendre sa jeunesse après 40 ans de pose c'est un luxe qu'on devrait tous avoir.

    Pouvoir vivre un projet qui promet un long investissement de temps et d’énergies,

    sans raisonner que l'on a ni l'un ni l'autre. C'est la folie elle même qui donne la force.

    Une douce et gentille folie que mes proches appellent confiance, puisque je suis passionné.

    D'autre diront que c'est la foi, la croyance inconditionnelle en quelque chose de bon.

    Je commence l'année le cœur chaud, la tête éveillée comme au premier jour, 

    le corps au repos avant le rush et l'âme qui ne sait plus avoir peur.

    Je pense à vous, j'envie mon état, et vous le donnerais volontiers.

    Comment faire, sinon vous souhaiter des moments jeunes, dynamiques, fous, accompagnés,

    si plein qu'ils comblent le moindre vide, la plus petite déprime, et les grands désespoirs.

    Mais je suis long, je ligne la page de mots sans rapport avec le tracé de la randonnée. Reprenons.

    Dimanche. Je roule avec Marinou vers la rando, elle me parle d'élan, de nouveau, de rêves, de passion et d'envies.

    On arrive au Mas Raynal chaud patate, comme des ados qui vont faire la teuff de leur vie.

    -"Monsieur, on peut se garer là sans gêner, " je demande au gilet orange fluo du guerrier.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    21 km pour 280 m de dénivelé, c'est la rando du jour, une battue se prépare.

    Le chasseur  très sympa, nous souhaite bonne journée.

    On s'équipe tranquille, le groupe se forme, têtes nouvelles, et gens d’Hérault.

    -" on a fait une partie de ce tour en 2018 mais je propose de le faire en contre sens"

    http://rando-lolo.eklablog.com/allee-sauvage-retour-vertige-sur-le-guilhaumard-a143705390

     

    Et on ira un peu plus loin.

    C'est la toutes première rando de l'an, 10 h passé, sac au dos, on entame le GR.

    Un convoi de 4X4 armés nous rattrape. Le seigneur barbu baisse la vitre :

    -" On se poste le long de la piste, mais on tire en direction du causse, sur la bordure vous ne risquez rien " doit on le croire.

    C'est une ambiance nouvelle pour certain de nous, se trouver en battue.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On marche sur le GR, laissant la piste au chasseur d'ici.

    Les points oranges donnent leurs positions. Il nous est demander de ne point parler, les chien sont lâchés.

    Les cochons vont être débusqués de la Remise.

    -"alors une équipe a fait 'Le Pied' pour les repérer" demande Marinou

    -" Ha mais vous connaissez la chasse"  fait le fluo tout surpris.

     

    C'est conviviale, jeune et féminin comme chasse, moderne aussi, les GPS des toutous s'affichent sur les portables.

    Les premiers km se partage entre monde éloigné qui savent ici se rapprocher.

    La rando traverse la chasse , gens d’extérieurs font vivre leur passion du causse avec le même souffle généreux.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Difficile de ne rien dire quand les retrouvailles racontent la vie de chacun.

    Contre la bordure du causse, on ne risque rien, les unes écoute, je photo les vallées de mon enfance.

    Les chiens clochent les broussailles , les fusils cherchent les groins et nous on vague la piste.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    La chasse s'active, Pam , Pam, et rePam, ils sont loin, au voitures blanches, le reste du causse nous appartient.

    C'est un coin magnifique, on y avance libre, comme sur une terre sauvage ouverte au ruminant.

    Je pense à Rivage et Skippy, rêve de pouvoir leur montrer cet espace bientôt.

    Ils y seront bien c'est sûr.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Au sud la vue est fantôme, Les nuages couvrent le ciel du Lodévois.

    Mais bien bas la mer blanche ne passe pas l'Escandorgues.

    On devine les éoliennes, et les buttes des anciens volcans .

    Les nuages font ressac sur le massif en vague d'écume épaisse et lente.

    Par dessus ce mouvement au ralenti, le Canigou porte la neige.

    Nos yeux voyagent jusqu'au Pyrénées.

    La voiture aux chiens nous double, la jeune sourit;

    -" vous les avez vue passer ?" elle parle des sangliers.

    Ils ont échappé aux balles, au moins 5 sont en cavalent, c'est cool de suivre leurs aventures de batailles.

    ça met un intérêt nouveau dans la marche. et Puis surtout on se sens accepté et complice avec les gens d'ici.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Je regarde le sud, et vois les espaces qui nous attendent pour le retour ce soir.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Au Pas de Tirecul on laisse le GR descendre vers St Rome de Berlières, commence la rando sans balise.

    Les Km vont se faire en liberté avec comme fils conducteur le bord du causse.

    5 km de fait bien occupé avec les histoires de la battue , maintenant c'est l’appétit qui va centrer notre attention.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Belle vue, soleil, le repas s'installe en douceur.

    Les jumelles sortent , pointent la mer blanche

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    C'est le spectacle du déjeuné.

    Un bon partage, qui fini par presque ronfler, et méditer.

    La chaleur sur la poitrine le souffle me tient discours profond qu'il m'est difficile d’interrompre.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On quitte la table avec regrets, mais le causse appel.

    on avance vers le rocher de l'aigle .

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    L'aire en impose, le Larzac de Cornus au cirque de St Paul, en passant par St Baulizes.

    Et devant les collines de la Sorgues et du Berlières.

    Le pays de mes alleux.

    J'aime cette vue sans artifice touristique, pas facile à connaitre, en dehors des guides, où il faut suivre entre les arbres.

    La marche fait des petits arcs de cercle à gauche et droite successifs, comme un skieur de forêt.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On poursuit le bord du Guilhomard, de rochers en rochers.

    Le sentier se devine ou on veut, tranquille,

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    le groupe se partage, jeune devant Robin fait le pisteur, je photo souvent en arrière,

    Elles papotent, ils discutent, directes sur les choses de la vie, sérieux pour les opinions,

    les têtes se lèvent juste un instant pour pointer le premier.

    C'est libre, facile d'aller au plus court ou de choisir les rochers de bordure.

    C'est le temps de la marche qui va sans souci,

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Au pas Farrat, on prend la piste qui traverse la pointe du plateau. on se retrouve a la jasse de la Pascalerie.

    Maintenant c'est la bordure Sud-Ouest du Causse qui va nous conduire.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Une falaise en surplomb, qui fini par tomber.

    Comme il y a quelques décennies sur les maisons de la Pascaleries.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Une belle bordure face aux Montagnes Noires, 3 km d'espace

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On suit un ancien chemin aux petits murets charmants.

    C'est une avancé dans le temps d'autre fois, ou l'homme marchait pour vivre.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    avant le grand retour, la traversé au milieu du causse on pose.

    La route du Clapier est là, à la pointe du rocher, une stèle évoque une pensé pour un disparu.

    Le gouter sort des sacs, tranquille on comprend ce lieu de souvenir.

    Il reste  km à faire, le soleil tombe lentement.

    -" C'est un coup à finir de nuit " sourit Michel en commençant une sieste.

    C'est vrai qu'on se ramolli , laisse aller la rando sans nous. On est bien là, comme seul dans un monde immobile.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Je pensé suivre un bon sentier pour le retour. Mais bien vite on perd la trace sur le terrain.

    Alors j'annonce que je vais faire au GPS, un coup à droite un à gauche.

    On tombe ainsi dans une cannole, anciennement cultivé, des murs en témoignent.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    -"Voici toutes les forêts magiques qu'il nous faut traverser, pour aller à l'horizon" Je photo devant les grandes ombres des ami e s.

    Ce retour est hippique sans monture. on serpente dans les arbres, entre les collines.

    De quoi se croire perdu sans comprendre comment.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Parfois un cairn nous fait croire que des gens passent ici.

    Robin en pointe je le guide avec le GPS, façon étrange.

    -"oui tout droit avec un léger penchant à droite" ...

     

    Les km passent sans se montrer, Maixent suit comme il peut sur la carte, annonce 5, puis 4 km qui restent

    -" Ha les fameux 4 km de Lolo" rigolent toutes et tous.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Le ciel rougeoie, les forêts sont derrières nous, la marche tient la presque nuit

    on arrive au village , le chasseur range sa voiture contre les nôtres.

    On échange nos journées, paisible tranquille il est bon d’être en paix.

    Il est heureux la chasse c'est bien passé, les cochons courent encore.

    -"c'est ça la chasse ça ne marche pas à chaque fois, 5 ratés aujourd'hui" nous fait il.

    -"hé nous, on a marché plus de 21 km " lui dit on.

    On se quitte gentil, heureux , beau et magnifique comme les joueurs d'une même équipe qui sortent de leur terrain favori.

     

    Une Belle longue et grande journée qui marque et entaille les préjugés .

    Cette année commence avec surprise et sentiment bienveillant,

    J'en espérais pas tant, et garde tout ce jour en référence pour l'année à venir.

    Quelle vous soit belle , longue et grande, et entaille en marques gentilles nos préjugés  .

     

    Bien du bonheur à toutes et tous,

    Bizs

    Lolo


    4 commentaires
  • Hüüüm hümm,

     

    26 décembre 2021 lendemain de Noël,

    Tout nos cadeaux sont ouvert, la famille se repose,

    Le temps est gris la pluie se retient,

    Un nouveau cycle commence. On digère le gras, salive encore le sucre.

    C'est un dimanche, que faire sinon marcher.

    C'est l'entre deux fêtes, le temps du calme, du jeu et des enfants.

    -"mais si on arrive, rendez vous à 10 h 15 aux alpagas" déborde d'envie Marinou.

    C'est cool, deux ami e s, viennent nous voir, je lance une idée.

    -"Je propose de sortir les Loulous en longes sur le sentier et de revenir, histoire de voir leurs réactions "

    C'est une première, style rando, on les prend en terrain inconnu.

     

     

     

     

    Petite marche test pour les LoulousPetite marche test pour les Loulous

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On arrive au terrain, Ils broutent tranquille, je les appels.

    Les oreilles nous regardent, et les voilà qui s'approchent.

    -"Aller, au petit corral, on va promener," Ils comprennent qu'il y a du nouveau.

    C'est un peu tôt pour la balade du soir autour de l’enclot.

    Licols, longes, ils sont équipés facile,

    -"On se met où, je te fait le reportage photo" s'active Marinou

    L'équipée s'élance sur le chemin, les ami e s devant, Skippy et Rivage en ligne.

    On est comme des gosses qui sortent leurs merveilleux cadeaux.

    Les Loulous aussi sont comme nous, à la découverte de choses extraordinaires.

    Ils observent les têtes nouvelles, emboitent nos pas de marcheurs, rapide tranquille.

    Rivage fait le blasé sur le terrain qu'il connait, mais une fois franchi le portail il prend les devants.

     

     

     

     

     

     

    Petite marche test pour les LoulousPetite marche test pour les Loulous

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Sur la route, les ongles cliquètent , les oreilles surveillent, Rivage s’intéresse à tout comme un véritable aventurier.

    On est conquis, surprit du manque de réticence de leur part. Ils sont bien avec nous, répondent aux ordres,

    suivent le rythme, écoutent nos discours, et reste eux mêmes. Un petit frémissement pour chaque surprise.

    C'est cool, tranquille reposant,

     

     

     

     

     

     

     

    Petite marche test pour les LoulousPetite marche test pour les Loulous

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On attaque le sentier, bien ouvert mais entre les broussailles de la forêt.

    Je crains qu'ils ne refusent d'avancer, mais la confiance semble bien établie .

    Ils grimpent les lacets et semblent apprécier la vue surélevée. On avance facile,

    Le contact s'approche, le sentier est étroit, Ils acceptent les ami e s contre leur laine.

    Pour moi, c'est Magique, Les loulous randonneurs sont à mes cotés.

    Je n'insiste pas, le test est réussi, pas question de les angoisser avec une plus longue marche.

    On stop la marche quitte à les frustrer, pour leur donner l'envie de revenir.

     

     

     

     

     

     

    Petite marche test pour les LoulousPetite marche test pour les LoulousPetite marche test pour les Loulous

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    -"Ils ont les pieds sûr, bien plus que nous" sourit l'ami, surpris de leur grimpette et descente.

    Pour le retour c'est Skippy qui ouvre avec toute sont élégance.

     

     

     

     

     

    Petite marche test pour les Loulous

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On fait des arrêts broutages, et aussi vite que pour monter, nous voilà de retour au corral.

    Et là ils font la tête, freinent pour rentrer. Presque une heure de balade, c'est trop court pour eux.

    On les installe dans leur enclot, ils attendent contre nous, c'est mignon.

    Leurs hüms nous demandent bien des choses. Style ne me quitte pas .

    On chausse nos sac à dos, et s'en va. On les laisse seul dans leur parc.

    C'est certain, ils ont bien marché, l'éducation qu'on leur donne semble convenir.

    Ils sont doués, voir surdoués, et j'en suis fier.

    La semaine qui vient va être intense en émotion, balade sur le sentier et présentation de la voiture.

     

     

     

     

     

     

    Petite marche test pour les Loulous

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Nous retrouvons la marche du dimanche, Sans eux, on grimpe le sentier pour faire un tour du Puech Dandan.

    Les Loulous occupent nos paroles, on est encore dans le charme .

    Les brumes cachent la ville, les causses font les timides,

    et nous joyeux lurons on éclaire nos vie du bonheur qu'on partage.

    C'est comme une bulle de soleil qui s'envole vers la colline.

     

     

     

     

     

     

    Petite marche test pour les Loulous

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On passe pas loin de Solanes, La vue grise et brillante de Millau nous interpelle.

    Nombreux sont ceux qui sont en bas au chaud et sec dans leur foyer.

    Les toits fument les rues ne parlent plus, les voitures dorment encore.

    On imagine les enfants jouer, le café parfumer les regards bonjours

    -"tient des grattes cul, ils sont bien beau, "  l'ami me raconte la confiture qu'ils ont fait.

    C'est une idée venir par ici  les ramasser avec les Loulous.

     

     

     

     

     

     

     

    Petite marche test pour les Loulous

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Bien plus haut , on croise un descendant.

    -"Hà vous allez au Puech, si vous devez prendre le sentier raide faites le en montant, il glisse avec la pluie"

    J'inverse le sens de la rando pour suivre ses conseils.

    C'est la pose histoires de fêtes, avec les souhaits du moments,

    Il rentre pour manger, on grimpe espérant manger au sec.

    Marinou sort les amandes pour donner les forces et calmer les gragoullis.

     

     

     

     

     

     

    Petite marche test pour les Loulous

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    -"Mais ci, à 30 mètres, un coin super, ais confiance" encourage Maixent .

    Brigitte n'y croit plus, la grimpe raide lui coupe les jambes, mais l'ami spéléo sait trouver les coins du causse.

    Au pied de la falaise, un recoin sec, la brume passe un poil plus loin.

    La belle s'étale comme sur la plage, les bras en par soleil, elle commence un délire c'est sur.

    Le repas va être salvateur, L'apéro donne le sourire,

    les cacahouètes salent ambiance, On boit bien plus, et rigole enfin.

    On est bien, avec la belle vue toute blanche.

     

     

     

     

     

     

     

    Petite marche test pour les LoulousPetite marche test pour les Loulous

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On reprend la grimpe, encore plus raide, c'est super se petit sentier de montagne si proche de la ville.

     

     

     

     

     

     

     

    Petite marche test pour les Loulous

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Les brumes, rochers, arbres, tout fait le décore de film d'aventure lointaine.

    La montée au Puech par cette pointe du causse est splendide.

    On souffle le temps, et s'invente des émotions rares.

    C'est un bonheur de marche avec Marinou et Maixent,

    Les quatre unis, comme les valves d'un même cœur.

     

     

     

     

     

     

     

    Petite marche test pour les LoulousPetite marche test pour les Loulous

     

     

     

     

     

     

     

    Sur le causse on effraye des chèvres naines, sans doute échappées de leur enclot.

    Le sommet est voilé, on reviendra pour la vue une autre fois.

     

     

     

     

     

     

    Petite marche test pour les LoulousPetite marche test pour les LoulousPetite marche test pour les Loulous

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On traverse le causse du Puech, dans la forêt fantôme, où il fait bon vivre sans doute.

    C'est un temps facile enfin, on apprécie d'aller tranquille même si la brume nous suit.

    Je vise la pointe Nord Est du Dandan, au dessus du travers de la Ravale.

     

     

     

     

     

     

     

    Petite marche test pour les Loulous

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    à la pointe le spectacle nous attend, un décors pour faire la pose plaisir.

    Le Nord est libre de brouillard, les brumes font le jeu des yeux.

     

     

     

     

     

     

    Petite marche test pour les Loulous

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Quand on marche entre les pluie, c'est comme cela, le pays devient dentelle.

    Un jeune marié qui découvre sa promise toute habillée de soie.

    Le soleil perce de ci de là, sublimant les villages perchés.

    on assiste aux couleurs qui s'allument dans une chorégraphie céleste.

    C'est des moments aussi humide, la goute au nez, que je comprend pourquoi je marche tout temps.

     

     

     

     

    Petite marche test pour les Loulous

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Les grenouilles bleues quittent le sommet, prennent la piste de Veyrac, et dans un virage on bifurque le long d'un champ.

    J’espère passer dans le travers de la Ravale, pour raccourcir la marche. 1 km d'aventure.

    On profite toujours des éclaircies , le pays est splendide.

    C'est un régal de se charger les pieds .

     

     

     

     

     

     

     

    Petite marche test pour les LoulousPetite marche test pour les LoulousPetite marche test pour les LoulousPetite marche test pour les Loulous

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Des kg au pied on devine à peine les chaussures. Comme les lièvres on ne laisse plus de traces lisibles.

    En bout de près, la forêt commence, le travers est bien raide, glissant mais les sauvages ont fait traces faciles.

    On suit donc au début ce qui semble un sentier forestier.

    Descend, monte de petites ravines, on est confiant pour la suite.

    Les chênes ouvrent les bras généreux, ils ne doivent pas voir souvent des bipèdes.

    Et puis les pistes rentrent dans les fourrés, hauteur de sanglier. Il nous faut poursuivre les traces.

    Dans les buis, les épines à hauteur de ceinture, la tête dans la verdure.

    On essuie les branches et feuilles. Nous voila  le torchon de la vaisselle que vient de faire le ciel.

    Ce sera des minutes en dizaines qui nous entendent frotter avec de moins en moins de conviction.

    On est trempe, le torchon n'essuie plus, vivement un calme pour s'étaler et sécher un peu.

     

     

     

     

     

     

     

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    Enfin on débusque dans un près.

    Fini l'aventure, le retour commence.

    On pose chocolat, c'est indispensable pour retrouver le plaisir.

    Croque grignote, on fait les écureuils qui puisent dans leurs réserves.

    C'est doux sucré et reposant.

     

     

     

     

     

     

    Petite marche test pour les Loulous

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Sur le sentier de pays, on rentre par le flan Est du Puech Dandan, une marche facile qui finie les jambes.

    On espère la descente.

     

     

     

     

     

     

    Petite marche test pour les LoulousPetite marche test pour les Loulous

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    La belle vue de Millau nous retrouve bien heureux.

    C'est un Puech magnifique, un lieu de balade ou rando bien intéressant et très varié.

    Un bijou de marche si près de la ville.

    On fait un détour par Solanes, pour voir la ferme, sympathique.

    Encore un grand chêne fait le beau,

    On arrive conquit, ravi avec des rêves d'alpagas sur ces chemins et sentiers.

    On y retournera bientôt.

    Belle fin d'année à toutes et tous,

    faites de jolis rêves, on vous aidera pour les concrétiser.

    ça fait un bien fou

    11 m pour 650 m de dénivelé

    bizs

    Lolo


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  • Coucou rou,

    Ce petit article juste pour avertir tout ceux qui peuvent être choqué par mon orthographe.

    Je suis distrait, et ignorant, avec aussi une sorte de rébellion envers les dogmes.

    Sans donner d'explication, j'ai bien du mal à dépenser de l’énergie en correction.

    Je tape d'un jet, et passe vite à une autre sensation.

    Mais pour ceux qui peuvent en rire je recommande cette vidéo faite par des prof de français.

    J'adore

    https://www.youtube.com/watch?v=5YO7Vg1ByA8&list=RD1maqU4iGmac&index=14

     

    à plus

    bizs

    Lolo

     

     


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  • Humm, huum,

    Façon alpagas, je suis content de revivre la journée d'hier.

    Dimanche 19 décembre 2021, froid givre brouillard,

    de bon matin c'est un jour à rester au chaud contre la cheminée qui crépite.

    La voiture de l'ami arrive, le noir de la carrosserie et presque blanc , 

    Marie est là, dans sa doudoune rose, elle assiste comme nous au coup de Théâtre de Maixent.

    -" BIENVENUE AMI DES LOBBIES, je me suis régalé cette semaine avec ces vidéos" gesticule l'ami style manipulateur à trois pattes.

    -"ha celle du burger king est poilante" se rappel Michel

    Mais Maixent nous mime la 6em extinction tourné au musé de Millau:

    https://www.youtube.com/watch?v=lsttEN06Dcc

    Pour voir qui sont ces Millavois,

    https://www.youtube.com/watch?v=y68L8Or8cic

    Le dimanche d'avant on s'était quitté en évoquant cette chaine Youtube à connaitre.

    Et ce dimanche, on a pas finit de voir le spectacle. Il bouche, lève une main au ciel, fait des ronds de bras,

    saute et miaulement lance les mots en phrases lentes , langoureuse d’ironies.

    Maixent déploie son talent comique. On adore

    Mais ils faut aller, bouger nous aussi le froid nous pénètre.

    Les voitures s'en vont, dans la vallée gelée de la Dourbie.

     

     

    De Cantobre au Trévesel

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    12 Km pour 500 m de dénivelé

    Je prévois un passage à l'aven Noir, si c'est possible, En fait c'est possible pour des fadas.

    On se gare au parking du carrefour,

    et là encore l'ami des lobbies fait sont discours .

    On rigole bien réchauffé par les voitures, je parle de traverser le trévesel cuisses à nues .

    -"Mais non, c'est un ruisseau sec" pense certain.

    -" en fait je suis certain qu'en hiver il coule bien " me revient mes souvenirs de spéléo.

    La suite me donnera raison pour une fois

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Cantobre au TréveselDe Cantobre au Trévesel

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Début dans la brume froide, la campagne ne bouge pas, même l'air est figé comme fixé sur une aquarelle d'hiver.

    Seules nos voix avancent et percent ce monde comme des flèches brulantes.

    On grimpe au village, pourquoi ? Pour redescendre et passer par un sentier que je ne connais pas.

     

     

     

     

     

     

     

    De Cantobre au TréveselDe Cantobre au TréveselDe Cantobre au TréveselDe Cantobre au Trévesel

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Un rideau blanc devant le spectacle voilà le mime qui fait l'entracte

    -" aujourd'hui, ami, si tu le veux bien, je vais te conter l'histoire qui est la notre..." raconte Maixent.

    On n'imagine pas les effets d'internet sur un esprit comique.

    Il a dans la tête les images en boucle des comédiens millavois, et ce pour la journée.

    On a pas fini de le voir se dandiner.

    C'est notre soleil du matin, qui brasse l'air frai, et renouvelle l'ambiance .

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Cantobre au TréveselDe Cantobre au TréveselDe Cantobre au Trévesel

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Au bout du village, le chemin s’arrête sur un balcon de pierre sans rambarde.

    Là un passage délicat entre les falaises, c'est le sentier.

    Une main courante, à faire doucement, et c'est une descente charmante jusqu'à la rivière qui ne doit pas couler.

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Cantobre au TréveselDe Cantobre au Trévesel

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Passerelle haute, qui indique de possible gros débit d'eau.

    Et ce jour le Trévesel coule entre la glace.

    Un froid saisit les marcheuses, et marcheurs, en passant ce pont la trempette est assurée pour finir la rando.

     

    -" j'ai prévu la serviette et le slip pour la baignade" fièrement je fais en pensant à Chantal.

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Cantobre au TréveselDe Cantobre au Trévesel

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Vite oubliées les craintes glacée, de l'eau, on prend la chaleur des falaises.

    C'est la visite du site d'escalade, magnifique, technique, ou les dégaines nous semble inaccessibles.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    On quitte le coin par le sentier jaune, une série de dégaines pendent sur le dévers ,

    les grimpeurs doivent avoir des gènes d'araignée .

    Notre grimpe commence raide, et passe entre sol et brume .

    Les panoramiques vont attendre, on souffle le plaisir d’être là,

    de s'écouter louer notre début de marche comme le chapitre d'une belle aventure.

    Il nous semble partir pour un nouveau monde, lointain, à porté des espoirs de lumière et de bien être.

     

     

     

     

     

     

    De Cantobre au TréveselDe Cantobre au Trévesel

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    -" Photo la toile, elle bouge, il y a du zeff chaud" dit le spéléo

    Comme si on peut voir le vent sur l'image, mais on est conquit par le trou en bord du sentier.

    Une palette le protège, On pose donc à mi pente.

    Puis presque en haut, là, c'est une baume murée qui nous attend.

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Cantobre au TréveselDe Cantobre au Trévesel

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Un bel endroit pour laisser le mauvais temps dehors,

    Cette rando nous offre la variété.

    Toujours dans le brouillard on grimpe encore.

    Brigitte questionne en faim ? on lui répond soleil sinon rien.

    La marche gargouille de pas en pas, les yeux scrutent la lumière, le ciel bleu.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Cantobre au Trévesel

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Et je refait des panoramique, on sort de la mer, comme des sirènes qui chantent l’appétit.

    Là de partout la place se propose pour le repas.

    -" On sera mieux plus haut " impose l'expert.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Cantobre au Trévesel

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On découvre un monde qui émerge du brouillard, le ciel est bleu comme au bord de mer .

    On connait bien cette sensation de temps magnifique au dessus de l'humide.

    à chaque fois c'est une nouveauté, comme une naissance un évènement fabuleux qui se répète.

    Alors même en pleine faim, on poursuit avec envie.

    C'est le plateau ou presque, la pente se laisse faire gentille, elle s'aplatit de plus en plus.

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Cantobre au Trévesel

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Un bras de mer, remonte le Trévesel, on le suit du bord du causse

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Cantobre au Trévesel

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On est porté par le beau, le grand, le spectacle.

    Chaque dimanche nous invite à la différence, à la découverte de nouvelle sensations.

    On parle de cela, comme une chance de sortir, de vivre dans cette région, avec seulement de choix de marcher .

    C'est fou, dingue, ou simple, facile, et petit de penser que l'on est heureux d'un rien.

    Mais le corps aime tellement, comment le mental peut il être sourd et aveugle à cela ?

    L'éducation, les coutumes, la mode, l'enferme et l'éloigne de ces paysages.

     

     

     

     

     

     

    De Cantobre au Trévesel

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    -"Ici on sera bien" Pose Michel

    Au bout du bras blanc, au dessus de la vallée on s'installe pour longtemps.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Cantobre au Trévesel

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Sans parler mérite, on déclare réussie notre matinée.

    Le jeu des langues de brumes nous régale. elles descendent la vallée sans presque bouger.

    Elles fondent délicatement dans nos yeux laissant transparaitre le fond de la vallée.

    L'apéro sirote cette évaporation en croustillant les chips.

    La suite de la rando se dévoile lentement, on garde le rythme en croquant les sandwichs.

    Café chocolat, au soleil on est les dieux.

     

     

     

     

     

     

     

    De Cantobre au Trévesel

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    sans rambarde, au proche du vertige, on se pose en confiance.

    Les yeux clos, les rochers nous tiennent droit, je prononce la méditation de la détente

    Les muscles lâchent, l'expression fond , le visage accepte le soleil,

    Les épaules glissent dans le dos, les jambes s'ouvrent, les doigts flottent, le mental ralentit

    La chaleur traverse les couches, la peau s'adoucit, la vie me sourit.

    Petit, un rien de rien, je suis là sans qu'on me remarque, et je perçois le monde.

    Un bon moment en silence, juste le murmure de la rivière, et la discute des siesteurs.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Cantobre au TréveselDe Cantobre au Trévesel

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Chacun son style, les psys en feraient des paragraphes.

    Le naturel reste libre quand il est heureux,

    Replié, ou étendu, on ose pas les déranger, Quel sont leurs rêves pour cette sieste dehors avant Noël ?

    Un ronfle, l'une chauffe la colonne, l'autre face au bleu, ils sont dans leur espace bonheur.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Cantobre au Trévesel

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Le réveil se fait au dessus de la mer, la bute de st Amant semble une ile .

    on repart donc pour l'aventure .

    Plus d'un Km de bordure , grande vue sur la vallée profonde du Trévesel.

    Mes photo vont s'étirer sans limite ..

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Cantobre au Trévesel

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Et d'un pas décidé nous allons marcher.

    le soleil et la blanche mer dans le dos, avançons sans réfléchir à ce qui nous attend.

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Cantobre au Trévesel

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    La haute vallée est dégagée, les yeux porte jusqu’à l’Aigoual.

    On commence de penser trempette.

    -"mais avant il faut rejoindre l'aven Noir par le haut" je m'inquiète en premier.

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Cantobre au Trévesel

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Petite vue de la bordure que l'on termine, un charme fou

    J'imagine les alpagas, avec nous qui avancent les oreilles au ciel.

    Ce pays de rando est fait pour eux.

     

     

     

     

     

     

     

    De Cantobre au Trévesel

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Km 5 passé, on est allé trop droit, nous voila bloqué sans sentier.

    un beau balcon nous pose le temps de sortir la carte.

    Le sentier de descente est plus à gauche, on le retrouve facile, et commence la pente.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Cantobre au TréveselDe Cantobre au TréveselDe Cantobre au Trévesel

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    le sentier trail est superbe, bien ouvert, belle vue, mais il nous faut le laisser.

    Les quilles de roche sont notre objectif, arriver sur celle du milieux.

    Facile un traçou barré y mène. Maintenant reste à descendre entre deux rochers.

    -"Lolo, là, on peu dire que c'est un cairn, deux cailloux posés? " encourage l'ami

    On regarde d'où l'on vient avant de rentrer dans les broussailles.

    Une bonne inspiration de confiance aux pisteurs, et la on plonge dans la pente.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Je suis Marinou, je ne verrais personne d'autre avant la base des rochers.

    Le pisteur va doucement, et on se retrouve au dessus du versant.

    Reste à savoir où est l'aven?

    Droite, gauche, juste dessous ? Nos souvenir sont trop vieux.

    Dans les années 2000 pour l'ami, et un peu avant pour moi.

    Le GPS indique plus bas, on descend donc comme on le sent.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Cantobre au TréveselDe Cantobre au Trévesel

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    L'aven n'a pas changé, sa gueule noire, ouverte prête à avaler tout imprudent.

    Un trou profond de 40 m qui s’élargit à presque 100 m de long

    Imaginez un petit trou percé dans la coquille d'un œuf vide.

    C'est un peu l'effet de cet aven, descendre dans un œuf géant couché sous terre.

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Cantobre au Trévesel

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On pose le temps des souvenirs, de nos explo, des amis venus de loin pour le visiter

    http://mjcrodezspel.free.fr/photos/speleo/aven%20noir/index/aven%20noir.htm

    un lien pour en voir plus.

    Maintenant reste le pire de la marche, la traversé des eaux.

     

     

     

     

     

     

     

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    Sur le sentier qui va à la rivière on devine l'ombre, mais n'imagine pas le givre.

    Le soleil abandonne les eaux pour tout l'hiver par ici.

    J’immortalise la tête qui voit où passer!

    -" t'es sur Lolo, on traverse là, ça être très frisqué " claque t'il des quenottes.

    J'avance pose le sac, sort les chaussure de bain, comme avec Chantal

    je me concentre, ôte les vêtements dans l'ordre du chaud. pentalon, chaussette, puis pull, et dessous.

    Je les range dans l'ordre inverse dans le sac pour les remettre au plus vite.

    Je garde le bonnet, prend le sac à dos et Zou.

     

     

     

     

     

     

     

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    Chaussures de marche en main, je traverse facile.

    L'ami les pieds dans l'eau grelote sur le clic photo,  Je le voit en slip pencher sur l'eau.

    -"c'est pour avoir en premier plan les glaçons qui flottent sur les tiges." fait l'artiste .

     

     

     

     

     

     

    De Cantobre au TréveselDe Cantobre au Trévesel

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Et pendant que je baigne, les belles souffrent les dauilles entre les blocs gelés.

    Sur la berge givrée je me rhabille moins vite que l'onglé.

    L'eau n'est pas si froide, mais l'air fige le sang.

    On grimpe tous sans ralentir, vers la route espérant le soleil.

    Un grand moment intense, ce court passage du trévesel.

    Cette semaine j'aurai un bain froid de plus.

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Cantobre au TréveselDe Cantobre au Trévesel

     

     

     

     

     

     

     

     

    On trouve la piste qui vient de St Sulpice, on se réchauffe enfin, heureux on rentre .

    Les Plos nous observe passer, petit hameau de la vallée, ce matin on le regardait sortir de la brume du haut de la montagne.

    Cantobre n'est plus loin, reste que du facile,

    C'est le moment des réactions de chacun, la journée est belle

    variée, remplie de choses bien faite, dans l'ordre et sans discipline.

    On revient vers le début du jour et portant le soleil.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Cantobre au TréveselDe Cantobre au TréveselDe Cantobre au Trévesel

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Le temps nous dépasse, l'ombre gagne le versant, on rentre avec le froid .

    Les dernières campanules tiennent encore la couleur, on passe sous le village par le PR charmant qui va au Moulin.

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Je regarde les grimpeurs finir leur journée aussi, ils rangent le matos,

    Le pays commence de dormir, en attendant le prochain soleil.

    C'est une belle marche,

    surprise et complète,

    Un coup de boost pour tous,

    encore un dimanche nouveau

    aussi loin du précédant qu'il nous fait languir le suivant.

    à bientôt

    bizs

    Lolo


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  • coucou rou

     

    12 décembre 2021, le soleil va se lever

    le sol est bien geler, l'herbe croustille sous les bottes.

    Les loulous m'attendent couchés dans le cabanon.

    Je viens leur ouvrir le près pour la journée.

    Des petits Hum hums un regard paisible, les voila qui avancent lentement .

    Je les laisse manger la glace à l'herbe.

    Ils ne sont pas encore éduqués pour nous suivre en rando,

    Mais ils progressent, et se rapprochent de nous.

    Le soleil nous est promis pour une semaine.

    Pas de vent, juste l'air sec d'un beau temps d'hiver.

     

    -"sur le Puech on va marcher dans la neige" espère certain.

    notre petit groupe s'en va, direction Lavernhe.

    Mais c'est où? Un village dans la combe de Séverac le château, au pied du Lévézou.

     

     

     

     

     

    De Laverhne au Puech du Pal

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    14 km pour 460 m de dénivelé, c'est le tracé d'un PR

    On marche sur des pistes, ou petites routes, facile tranquille, pour une foi c'est la détente.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Laverhne au Puech du PalDe Laverhne au Puech du Pal

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Les lutins sont ici, on rentre dans le village silencieux, un Noël discret semble se préparer.

    C'est amusant simple, et fait main, on devine dans les personnages un collectif de volontés festives loin de l'agitation commercial.

     

     

     

     

     

     

     

    De Lavernhe au Puech du PalDe Lavernhe au Puech du Pal

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    .

     

    on suit le PR, et découvre les décos des gens, pas de 'made in chine' mais que,  du 'fabriqué dans la grange'.

    Un dalmatien promène son maître, il est vieux, les taches raides boite un peu,

    -"vous allez sur le Pal ? J'en reviens c'est bien gelé ce matin, mais la journée est belle profitez bien." souffle l'homme aussi vieux.

    On passe devant sa maison, facile de la deviner, la boite aux lettres est dalmatienne.

    On sort du village avec Noël dans le cœur, et un sourire d'ici dans la tête.

    C'est des petits riens trop simples comme cela qui donnent l'assurance d’être à sa place.

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Lavernhe au Puech du Pal

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    commence la petite route vers la Folie. L'ombre givrée fait peau blanche, la plaine se baigne au soleil.

    Le bitume croustille, les paroles déguste nos histoires de semaine. Encore de la spéléo qui bute sur un siphon.

    La grimpe nous réchauffe, nous ouvre l’appétit de marcher , nous en sommes à l’apéro de la rando.

     

     

     

     

     

     

     

    De Lavernhe au Puech du Pal

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Passé la ferme bio 'La Folie', commence la piste, plein soleil dans l'air immobile, le paysage s'étale sans bruit.

    On a quitté le calcaire de façon douce, pas à pas en montant, maintenant on pose sur les premiers schistes.

    Maixent surmonte l'épreuve sans souci,

    -"Calcaire, pas calcaire, c'est bien quand même, " nous confit il

    Pour le Caussenard fouler une terre sans karts c'est frustrant.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Lavernhe au Puech du Pal

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On est en limite Lévézou, Sauveterre.

    Un grand espace qui se voit de loin .

    Ici les chemins passent libres au galop de chacun.

    Il est possible d'aller le long des champs, aussi loin que le regard.

    La liberté se dessine en ligne de haies qui vallonnent et chante la buse.

     

     

     

     

     

     

     

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    Une croix verte, un chien bronze, c'est la pose de l'Aubrac.

    L'horizon blanc joue les montagnes.

    un temps facile de contemplation.

     

     

     

     

     

     

    De Lavernhe au Puech du PalDe Lavernhe au Puech du Pal

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    L'ami se prend pour Killy, sans les skis, c'est notre première neige.

    Au loin le Cantal blanc se confond avec l'Aubrac.

    Le ciel sans voile laisse aller les yeux au delà des plaines.

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Lavernhe au Puech du PalDe Lavernhe au Puech du Pal

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Sur le névé, je fais Amstrong, laisse mes petits pas d'humanité .

    Et je monte en me retournant, les belles font les filles qui papotent.

    Le pays ne bouge plus, il paresse au soleil.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Devant la forêt nous attend. et tout en haut la crête.

    on passe les Lavadous, posé sous les arbres, bien exposé, ses maisons portent l'histoire.

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Lavernhe au Puech du PalDe Lavernhe au Puech du Pal

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    La forêt d'hiver n'est pas triste ici, la lumière passe les branches et illumine le sol.

    On se dit en pays variable, charmé du blanc qui renvoi comme un espoir de beau.

    Les sous bois sont scintillant, chaleureux.

    La grimpe s’efface, le froid fige la gadoue, sa croustille et c'est bon.

     

     

     

     

     

     

    De Lavernhe au Puech du Pal

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Les ombres restent claires, la couleur fait le bonheur .

    on passe, on alterne le clair du lumineux, c'est un jeu d'enfants qui courent dans les bois.

    Ces forêts sont belles, revenons y en automne y chasser le champignon.

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Lavernhe au Puech du Pal

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Je m'amuse du soleil sur la piste, le tableau change et vie dans la douceur .

    C'est un monde simpliste qui accueil les âmes folles .

    J'adore les branches dans le bleu du ciel, les ombres sur le bleu de neige.

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Lavernhe au Puech du Pal

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    -"Ha pour manger, c'est avant ou après, le pic du Pal est dans l'ombre," nous informe Madame.

    Le couple promène le toutou, Ils sont de Lavernhe.

    On parle de Noël, des décos du village.

    -"Cette année on c'est lâché, tout le village à participé, un joli travail pour faire les lutins." nous raconte t'elle.

    Ils descendent, on montent, les sourires se croisent .

    Brigitte gargouille et Marinou espère la pose repas au plus vite.

     

     

     

     

     

     

     

     

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    On pense s’arrêter là, la vue nous va, mais Michel impose la grimpe.

    -"Ha non pas dans cette coupe de bois, sur la piste, il nous faut un coin digne du repos"

    On a tout le souvenir du bord de l'étang, le dimanche d'avant, au soleil de la mer.

    Alors courage, trois amandes, deux lacés de piste, un belle espoir sur la crête, on avance encore.

     

     

     

     

     

     

    De Lavernhe au Puech du Pal

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    La vue de la crête laisse sur place, mais le coin sieste manque.

    On voit bien Lavernhe en bas, et ensuite le pays du Nord à l'Est

    1080 m d'altitude on est presque en haut.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    -"Je vois un coin d'herbe sans neige au soleil" propose Michel

    On passe par un bois, en nous voila sur la plage, comme une mer blanche.

    Les souvenirs de Villeneuve sont dans nos papotes.

    On s'imagine en bord de mer, la chaleur y est, le soleil direct aussi.

    C'est magique, on tombe les gants, les vestes et bonnets,

    -"tu pourrais te baigner ici en te roulant dans la neige " rigole Maixent.

     La soupe Brigitte concurrence l'apéro blanc,

    la neige nous renvoie le soleil, on chauffe de partout

    soupe chaude, alcool en tête et lumière sur la peau.

     

     

     

     

     

     

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    On le savait bien que les coccinelles hibernent sur le Levèzou,

    Mais on les pensait endormies. Et dans ce près avec la neige qui fond, elles se croient au printemps.

    -" sa me fait souvenir de nos interrogations zoologique en bord d'étang " mâchouille la belle en servant la soupe

    -" les oiseaux de mer, boivent ils de l'eau salée?" se demandaient on?

    L'explication nous fait rigoler de la goutte salée au nez de ceci.

    Une glande spécifique situer dans l'occiput leur permet de dessaler le sang.

    Avec nos réflexions du dimanche, la semaine est occuper à chercher sur le net les réponses.

    Lolo parle aussi des poissons qui boivent, mais là c'est tout un cour sur les propriétés des fluides.

    le moment extraordinaire continu, allongé dans l'herbe certaine rêve du dormeur du val,

    -" sans les trous rouges" précise Michel.

    Comme en été, le soleil brule les habits, on cuit tout doucement sans bouger.

    -" si si, je médite, mais allongé. Je surveille que mon cœur ne bouille pas trop" je réponds à Maixent .

     

     

     

     

     

     

     

     

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    l'éternité de nos rêve siesteur prend fin en ouvrant les yeux.

    On repart vers le sommet, une petite monté sur la digestion.

     

     

     

     

     

     

     

    De Lavernhe au Puech du Pal

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    180° de vue d'Ouest en Est, on est au dessus de l'horizon

     

     

     

     

     

     

     

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    Un clin d’œil, là, la pointe blanche, c'est le Puy Marie.

    Le Cantal des rencontres, http://rando-lolo.eklablog.com/rencontre-en-cantal-a167223902

    J'aime ce pays que me parle de tous les ami e s .

    -" c'est vrai quand je roule, je regarde les sommets, et souvent me revient nos rando, tient je le connais celui la" Pense Maixent

    Aujourd'hui l'horizon me porte jusqu'aux Ardennes.

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Dans l'ombre bleu neige, on avance vers le Pic du Pal

    Style skis de fond, on est sur le toit du Lévézou.

    Plus de 1100 mètres d’altitude. pas de vent, l'air transparent sur des lieux et des lieux.

    Que du bonheur, avance regarde, vois, devine, et imagine ce monde calme.

     

     

     

     

     

     

     

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    La table nous arrête, récitons les leçons de géographie local.

     

     

     

     

     

     

     

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    Au centre le village de notre départ, et notre but d'arrivé.

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Le Mont Lozère est bien Blanc aussi, on devine le Gargo pense t'on

    je photo la neige sous les pieds, elle est cristallisé bizarre.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    C'est la piste dans le bois, qui descend entre les congères.

    Le coin nous ravit, encore une aventure .

    nous ne sommes pas perdu, on croise des jeunes qui montent.

    C'est ludique, un jeu façon 7 em compagnie, ou il ne faut pas glisser.

     

     

     

     

     

     

     

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    Plus bas, la neige fond sa Spinche.

    la piste gadoue un max, on s'amuse de spincher, sans glisser, on assure.

    Le retour est bien lancer, une longue descente facile entre bois et près.

     

     

     

     

     

     

     

     

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    J'aime ce causse, bocage et sauvage.

     

     

     

     

     

     

     

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    Je photo les couleurs les clèdes,  on passe le temps

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Un petit coin de causse, le calcaire nous retrouve, moment plat avant la dernière descente.

     

     

     

     

     

     

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    -"c'est magnifique, n'est ce pas !" sourit elle.

    elle promène le chien d'un ami, et rentre de rando.

    On l'accompagne un moment, elle nous parle d'ici, des gens, de sa vie, c'est aimable.

     

     

     

     

     

     

     

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    nous voila arrivé, St Grégoire prend le soleil contre la colline.

    -" Je vous propose le gouter à Verrière" nous invite Marinou

     

     

     

     

     

     

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    on refait un tour du village,

    rue église, crèche, et cloches

    On est bien simple ici, et c'est bon.

    On apprend L'alleu, un terme ancien qui veut dire terre libre en fait.

    Venez voir l'alleu de Lavernhe. Les gens offrent la paix et attendent un sourire.

     

     

     

     

     

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    La table du gouter de quoi bien s'hydrater.

    Marinou offre de tout, chaud froid, vitamine, sucré, bulles, ....

    Je goutte à tout , ou presque, passe du café à la pomme, avec une pose à la bière blanche.

    Bière spéléo, des restes du rassemblement caussenard ,  Hummm sublime de notes fruités.

    La journée coule, je pinte lentement,

    faut se rendre, il est évident que l'on ne mérite pas tant de bonheur.

    Mais il n'y a non plus aucun compte à donner à qui que ce soit.

    Des jours aussi bon sont hors des circuits payant.

    bon séjour chez vous

    à bientôt

    biz

    lolo


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    coucou rou,

    Encore une semaine alpagas,

    dans la pluie souvent, avec le froid sous la grisaille, on passe les jours avec eux, dehors.

    Bien habillé comme les anciens, le temps sur les épaules, la tête en bonnet,

    nous restons au près, content et heureux, jusqu'à ce que le froid traverse la première couche de vêtements.

    C'est fou, apprécier autant d’être là, traficoter à leur coté.

    Qu'importe les conditions, ils restent paisible, calme et serin.

    Et ce matin de dimanche on les laisse dans le près seul, pour la première fois.

    On entrera à la nuit, comment seront t'ils ?

    9 h , le 6 décembre 2021, les ami e s, demandent de leurs nouvelles.

    On part au loin, chercher le ciel bleu, en bord de mer Méditerranée.

     

    -" le tour des Salines de Villeneuve lés Maguelone, j'aime bien ce mots sans S au pluriel" je souri .

     

     

     

     

    Les salines de Villeneuve lés Maguelone

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    plus de 17 km pour 50 m de dénivelé.

    50 m de pente sur terrain plat, c'est drôle, mais en fait ça compte.

    pour le détail de la rando voici un site

    https://www.herault-tourisme.com/fr/fiche/itineraires-touristiques/randonnee-des-salines-villeneuve-les-maguelone_TFOITILAR034V50FZNR/

    -" cette saison je programme des circuits officiels, je réserve mon temps pour les Loulous."

    C'est un travail en soit toutes ces randos, et j’espère bientôt en faire avec Rivage et Skippy.

    J'aime l'idée du temps qui passe pour mener sa vie sans la bousculer.

    C'est ma façon de réaliser un rêve, après l'autre. Et c'est fabuleux.

     

     

     

     

     

     

     

    Les salines de Villeneuve lés Maguelone

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    10h45, on quitte le groupe scolaire de Françoise Dolto. Le sentier commence en chemin balade.

    -"voilà, vous avez là le style de support de marche, un sol bien damé, plat et droit" on découvre tranquille.

    Je rigole avec Maixent de nos allures 'randonneur de montagne' bâtons, gros sacs, godios, GPS, carte et pharmacie.

    Les promeneurs d'ici nous croisent en bonjours gentils, le visage aimable et solaire du sud.

    Mêmes les belles en footing lèvent le sourire vers nous.

    c'est le coin famille tout style, j'adore, petit vélo qui hésite encore derrière papa, devant maman, le casque rose,

    C'est le toutou miniature, qui tire la dame seule, ou le couple lent qui se parle des yeux,

    Les solitaires VTT, qui attendent qu'on s'écarte, les bergers de la villes qui sortent leur chien de troupeau bien dressé.

    Oui , c'est une piste au nombreuses étoiles qui brillent de bonheur à partager ce lieu.

    On s'y sent bien, aussi loin de chez nous, et pourtant comme chez nous, l'air iodé en plus.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Les salines de Villeneuve lés Maguelone

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Bien vite poussé par le vent du nord on arrive en bord d'étang qui fait miroir, le ciel joue à perce lumière.

    Les couleurs dessinent la terre salée, mélange d'automne et printemps, la roquette blanche est partout.

    Maguelone tient la presque ile en face.

    C'est un changement pour nous, gens des causses hauts, en plein brouillard dans les nuages pour tout le jour.

    -"c'est facile de venir là en fait, un coup d'autoroute gratuite, et on touche la mer" se dit on.

     

     

     

     

     

     

     

    Les salines de Villeneuve lés Maguelone

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Les étangs en hiver, c'est doux, vivifiant, calme et nature.

    on repère des oiseaux sur pattes.

     

     

     

     

     

     

    Les salines de Villeneuve lés Maguelone

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Je sort les jumelles, les flamants roses pêchent en groupe .

    c'est la première pose, orienté naturaliste, le secteur est bien connue pour ses milieux variés.

     

     

     

     

     

     

     

    Les salines de Villeneuve lés MagueloneLes salines de Villeneuve lés Maguelone

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    La pose suivante nous fait rire, Aveyronnais sommes nous, curieux de voir que s'affiche ici une comparaison des œuvres

    de l'artiste de chez nous.

     

     

     

     

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    Une série de blagues, façon dialogue d'Audiard, s'offrent au promeneur.

    c'est bon de ne pas se voir trop con devant ces lignes.

    On a tous le droit,

    d'aller tranquill' ou pas,

    d'ouvrir son âme

    de faire ses choix,

    on a toutes la vie,

    pour les leçons faciles,

    qui fond du mal,

    qui oublient de rire,

    alors, c'est pourquoi,

    on a le droit,

    de voir le monde un peu moins laid,

    de savoir sourire pour le changer.

     

     

     

     

     

     

     

     

    Les salines de Villeneuve lés Maguelone

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    on approche des Salines, des muriers fond haie d'honneur depuis des siècles semblent ils.

    -" lolo regardes ces arbres, c'est majestueux" s'arrête Mireille.

     

     

     

     

     

     

     

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    Les vieux ne bougent pas, d'un côté à l'autre ils laissent le passage,

    Et s'ils ont perdu le cœur, ils portent encore, les bras au ciel,

    qu'importe les ans, ou les gens qui les taillent,

    le temps leur apporte, à chaque printemps, une vie, à nulle autre pareille.

     

     

     

     

     

     

     

    Les salines de Villeneuve lés MagueloneLes salines de Villeneuve lés Maguelone

     

     

     

     

     

     

     

     

    Le soleil arrive au zénith, l'heure de Brigitte est bien passé.

    Aussi ils est trouvé le coin sublime, juste en début des salins,

    Un panneau explique les rudiments.pour en savoir plus :https://www.cenlr.org/salines

    Le bord de l'étang de Vic sous les roseaux et le vent froid nous reçoit au calme.

    Clapoutis (petit clapotis) vaguelettes, en musique décontractante, étendue libre du regard, 

    lumière tamisée de nuage de beau temps, et paroles de plaisirs des ami e s.

    Que vouloir de plus ?

     

     

     

     

     

     

    Les salines de Villeneuve lés Maguelone

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    que de bonnes courbes, une belle eau limpide et douce malgré le sel.

    Je pense m'y tremper, mais certaines pestent, et grelote pour moi.

    Chantal pourquoi n'es tu pas venue ? on aurait avancé vers le soleil ensemble et contre tous.

    Commence le repas, le grand nuage avance et promet le soleil pour bientôt.

    L'apéro glougloute comme les vagues, petites gorgées de muscat,

    Mireille propose la soupe épicée, Cécile à perdu les amandes sur le parking.

    C'est facile, assit en ligne les mets passent, et reviennent en conte sens.

    Ce n'est pas un cercle, mais une rangé de spectateurs interactifs.

    Personne ne bouge, la musique est trop bonne, avec la douceurs des desserts.

     

     

     

     

     

     

     

    Les salines de Villeneuve lés MagueloneLes salines de Villeneuve lés Maguelone

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Puis chacun médite à sa façon, regard sur l'eau pour elle,

    les pouces au téléphone  pour Brigitte qui mail le soleil à Patou,

    les mâles en teeshirt pour impressionner l'hiver,

    d'autre en sieste, et nous en tailleur sur les coquillages.

    Marinou m'accompagne en écoute sensible,

    Un long moment d'attente, qui sent la chaleur lumineuse se poser sur la peau.

    J'entends grâce aux aides auditives le moindre tintement de l'eau sur le sol.

    C'est comme magique cette clarté nouvelle pour moi, des sons limpides.

    Clip, plotic, ticlo, clopic, ploc, tic, ...

    un chant calme de murmures d'enfants qui inventent la musique sur un xylophone

    L'iode entre par le nez, envahit le corps, la tête salée s'imagine petit navire

    Matelot navigue sur les flots,

    J'ouvre les yeux dans la lumière sans m'éblouir, que du bonheur...

     

     

     

     

     

     

     

    Les salines de Villeneuve lés Maguelone

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    j'accompagne Jean Yves, Cécile en avant, coquillages sans crustacé, les pas croustillent comme des chips.

    Commence la visite des salines.

    Le bleus s'affichent du ciel à la terre, on devient sensible aux couleurs d'espoirs.

     

     

     

     

     

     

     

    Les salines de Villeneuve lés Maguelone

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    on passe entre les anciens bassins, c'est bien aménagé, sauvage aussi, une harmonie fragile.

    Les teintes fond tableau rare, la multitude se cache dans l'ensemble,

    Face au vent, le froid glisse de chaque côté du nez, on est bien, surprit de l'espace.

     

     

     

     

     

     

     

     

    Les salines de Villeneuve lés MagueloneLes salines de Villeneuve lés Maguelone

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    du détail au grand, c'est des lieux à regarder.

    Pose photo, chacun clic de ci de là, on retrouve des flamants .

     

     

     

     

     

     

    Les salines de Villeneuve lés Maguelone

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    les panoramas défilent comme des stars, contre jour, ou plein feu, il suffit de se retourner.

    Le groupe s'émiette sur les pistes, style petit grain de sel,

     

     

     

     

     

     

     

    Les salines de Villeneuve lés Maguelone

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Langue bleu, toison brune, les salins nous charment.

     

     

     

     

     

    Les salines de Villeneuve lés Maguelone

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    éloigné de la mer, la terre joue du ciel, les hommes ont ici tracé des lignes anciennes dans les eaux calmes.

    Il reste l'équilibre de la nature préservé, en accès libre et tranquille, suffit juste de suivre les voies du sel.

     

     

     

     

     

     

     

    Les salines de Villeneuve lés Maguelone

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Je me fait bonheur, clic et enregistre l'image, je m'évade loin de chez moi,

    Imagine le monde encore beau, la paix lointaine qui vient,

     

     

     

     

     

     

     

     

    Les salines de Villeneuve lés Maguelone

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Dernier du groupe, ou presque, on rejoint la tête. Là à sourire proche des oiseaux.

    Les couleurs me parlent manière de penser, façon d'être, style de vie, imagination de chacun.

    Le paysage plat, l'absence de rocher, de canyons ou sentier escarpé, peuvent en éteindre certain.

    Les yeux fermés à la lumière, le cœur insensible au travail des hommes, sans ressentir cette nature

    d'entre terre et mer, alors ils passent à regret, en pensant ne rien avoir à prendre ici.

    Et pourtant on en revient gonflé d'iode, la tête assaisonnée de nature.

     

     

     

     

     

     

     

    Les salines de Villeneuve lés Maguelone

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    -" Il est sans doute confiné, celui là" blague Pascal

    On pose tous pour bien l'observer. Les longues vues passent d'un nez à l'autre.

    Il fait le lissage des plumes, par instant il laisse entrevoir le rose vif de ses ailes.

    C'est beau, on est voyeur de sa toilette, sans complexe on profite du spectacle.

     

     

     

     

     

     

     

     

    Les salines de Villeneuve lés MagueloneLes salines de Villeneuve lés Maguelone

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    on quitte les salins, retrouve la roquette, les près salés ne sont pas loin.

     

     

     

     

    Les salines de Villeneuve lés Maguelone

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    le Mas de Quinze nous voit passer.

    commence une longue marche dans les terres d'élevage et viticole.

     

     

     

     

     

     

    Les salines de Villeneuve lés MagueloneLes salines de Villeneuve lés MagueloneLes salines de Villeneuve lés Maguelone

     

     

     

     

     

     

     

     

    On va grimper, oui monter sur les hauteurs de quelques metre.

    Les jambes s'en souviennent, Mas d'Andos, château d'Exindre, on rigole entre nus d'être aussi sensible .

    Les pattes nous trainent de moins en moins facilement.

    chacun y va de son explication, la dureté du bitume, le grand air trop plat, la marche plus rapide,

    On n'y comprend rien.

    Le fait est; que les km s'accumulent.

    on arrive épuisé à la réserve naturelle de l'Estagnol.12 km dans les têtes.

    -"reste 4km , 12 et 4 font 16 " j'affirme.

    -" Hum, il doit y en avoir un ou deux de plus " fléchissent certains.

     

    On reprend la marche endurance,

     

     

     

     

     

     

     

    Les salines de Villeneuve lés MagueloneLes salines de Villeneuve lés Maguelone

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    km 13.5 on retrouve une Martelière, maintenant on sait ce que c'est.

    Maixent grimpe le sommet du coin

     

     

     

     

     

     

     

    Les salines de Villeneuve lés MagueloneLes salines de Villeneuve lés Maguelone

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    la ville se rapproche, encore un petit moment au proche des étangs,

    On se dit que la campagne touche les maison, qu'il doit être bon de vivre ici.

    Nombres gens se promènent entre les eaux, c'est facile, on y respire bien, c'est calme.

    N'hésitez pas venez ici, vous saler l'âme, qu'elle prenne le bon gout de mer.

     

     

     

     

     

     

     

    Les salines de Villeneuve lés Maguelone

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    en vue Maguelone, la fin de la marche est attendu.

     

     

     

     

     

     

     

    Les salines de Villeneuve lés Maguelone

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Salut, à toutes tous,

    cette randonnée entre ciel et mer, limite terre salée, nous aura bien surprise.

    Varié, changeante, lumineuse, douce sans amertume,

    on revient d'un lieu vivifiant qui emplit d'air sain et croise des gens bien sympathique.

    Le partage de cet espace donne espoir.

    On arrive au voiture fourbu

    nous de la montagne, on c'est fait démonter par ces calmes étendues ensoleillées.

    Qu'il est bon de se mettre en questions loin de chez soi.

    à bientôt

    bizs

    lolo


    2 commentaires
  • coucourou,

     

    28 novembre 2021, l'hiver fait l'offensive.

    Une vague de neige poussée par le vent du nord vient s'échouer sur le Larzac.

    Millau se trouve submergé par les nuages blancs, les flocons se fondent au sol.

    Ce temps soudain hivernous, glace l'envi de sortir.

    7h15, gants bonnet, je monte la pente du terrain.

    La nuit se meurt, l'aurore dort encore, j'appelle les Loulous.

    -" Rivage, Skippy allez allez, on sort "

    Les couleurs ne sont pas encore nées, la pâture dans le sombre, j'entends les Hums hums qui m'attendent.

    Contre la barrière du corral les oreilles vers moi, ils sourient presque.

    C'est une joie, les lâcher dans le près au petit matin gelé entre les flocons que l'on ne voit pas.

    J’assiste à la lumière qui baille longuement, dans le silence l'aube se réveille.

    Se dessine alors la silhouette des alpagas tête en bas qui crounch les herbes.

    L'aurore ne viendra pas aujourd’hui, la couette nuageuse trop épaisse et basse recouvre la montagne.

    Insensible au froid, ils broutent et se régalent. Je reste là pour eux, jusqu'à 9 h .

    Ensuite je les rentre au corral, ils vont y rester la journée, et la prochaine nuit.

    Hé oui le dimanche on randonne, pas encore avec eux, alors je les laisse seul.

    Dur dur, ce matin, de les quitter. depuis une semaine on les visite matin et soir .

     

     

     

     

     

     

    De Soumont au Bosc PR les balcons de soumontDe Soumont au Bosc PR les balcons de soumont

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Ils nous apportent tellement.

    Mais, partons à Soumont !

    9h30, les ami e s sont dans la rue, dandinent et frottent les gants.

    -" c'est une petite rando, sans doute au soleil, exposée sud, on sera à l'abri du vent" j'expose les prévisions.

    je parle alpagas, raconte ma matinée matinale, et l'on part traverser le Larzac sous la neige.

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Soumont au Bosc PR les balcons de soumont

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    13 km pour 350 m de dénivelé,

    je fait un mixte entre la variante et le circuit classique.

     

     

     

     

     

    De Soumont au Bosc PR les balcons de soumont

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Parking des randonneurs, à Soumont, le soleil est presque là, on retrouve Didier, 

    Sur le chemin des Puis,

    Marinou nous dit qu'il neige sur Millau,

    le téléphone pleure et nous approuve,

    quand on lui dit soleil,

    le rêve nait dans l'écouteur.

     

     

     

     

     

    De Soumont au Bosc PR les balcons de soumont

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    -"Je ne connais pas du tout ce secteur " découvre François.

    Les coins du Lodévois, bien négligés par les Millavois deviennent des trésors quand on les trouve.

    J'adore le contraste, la variété des sols et le mélange des espèces.

    Petit monts, fiers sommets, forêts intimes, patrimoines discrets, villages lumières, ruisseaux fantômes,

    frontière sans limites, c'est un pays qui a su apprivoiser l'homme.

    Il nous laisse passer, partir au loin sachant qu'il lui suffit d'un soleil de printemps ou d'une couleur d'automne

    Pour qu'on accourt à son appel .

     

     

     

     

     

     

     

    De Soumont au Bosc PR les balcons de soumontDe Soumont au Bosc PR les balcons de soumontDe Soumont au Bosc PR les balcons de soumontDe Soumont au Bosc PR les balcons de soumont

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    C'est le sentier de pierres, en limite du Trias, on marche sur les plaques du Permien.

    Je parle traces, végétaux, tout est possible. Ces pierres s'ouvrent comme un livre d'histoires.

    Les arbres en connaissent sans doute les racines perdues.

    les arbouses s'offrent dans le ciel, bien mures elles sucrent mes mots.

    La descente devient délice de voir, de gouter et d'imaginer.

    On se trouve bien, entre les chênes verts, et la pierre.

    Je photo le calme d'hiver, ces couleurs douces de mousses

    sa musique de feuille, et ses dessins de branches.

     

     

     

     

     

     

     

    De Soumont au Bosc PR les balcons de soumontDe Soumont au Bosc PR les balcons de soumont

     

     

     

     

     

     

     

     

    On observe, passe facile, la pente est dans le bon sens,

    Restons raisonnable, le temps ne se prend pas, on se le donne.

    Chaque mur nous parle des hommes, leur façon de faire, de penser, et de trouver les astuces.

    Nos pensées s'échangent avec des phrases sympathiques,

    les fraises cueillies dans les arbres troublent l'élocution, et font trainer le plaisir. 

    C'est bon, de se laisser aller dans le sentier, à la façon d'un petit bonheur .

    Mon bonheur à sourit,

    Il fait plein de bourgeons

    entre tous les ami e s

    ça se voit sur leurs fronts.

    Or un matin gelé

    sans envi de sortir

    venez ici cherché,

    un bonheur tout petit...

     

    Les km content nos réflexions, jusqu'au plus bas, 1 h de marche juste trois de fait.

    Brigitte se manifeste, au fond du ravin l'endroit n'est pas top pour manger.

    Alors on commence la grimpe ventre vide

    -" Pas loin il doit y avoir une crête, et sans doute de la vue" on conclu avec Maixent en étudiant la carte.

     

     

     

     

     

     

     

    De Soumont au Bosc PR les balcons de soumont

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    La crête au soleil est bien là, l'image trompe, la chaleur n'y est pas.

    Un vent passe en rafale, sans limite de vitesse, venant du nord il glace les radars.

     

     

     

     

     

    De Soumont au Bosc PR les balcons de soumont

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On révise notre géographie en attendant les derniers.

    Le Bosc nous regarde , les monts connus sont pointés.

    Les oliviers ondulent et changent de teintes dans le vent.

    On aimes ce coin, trouve un abri contre le vent, et le repas commence.

     

     

     

     

     

     

     

    De Soumont au Bosc PR les balcons de soumontDe Soumont au Bosc PR les balcons de soumont

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Un bon moment soupe chaude, muscat bien frais, et chips qui chantent.

    C'est notre premier repas dans l'hiver,

    Il passe lentement jusqu'au moment ou il faut bouger.

    Je photo les oliviers, ils me fascinent , ondulant de l'argent au vert sombre.

    L'air passe en vague comme sur une moisson ,

    le reflet prend des allures de cuillère je repense aux arbres de Cantagal.

     

     

     

     

     

     

     

    De Soumont au Bosc PR les balcons de soumont

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    La marche repart, je stop, photo message pour Christine. ce tableau me plait

    Didier me parle du rendez vous rater avec jean Luc. J'ai décidé trop tard d'aller au Salces..

    C'est bien vrai, je suis aussi dans le regret, alors voici une belle pensé pour eux, ami e s des olives.

    Les couleurs de leur pays qui me rappellent à leurs bons souvenirs.

     

     

     

     

     

     

     

    De Soumont au Bosc PR les balcons de soumontDe Soumont au Bosc PR les balcons de soumontDe Soumont au Bosc PR les balcons de soumont

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On arrive au Bosc, un grand mur nous arrête au soleil, la chapelle nous réchauffe, 

    Il faut dire qu'ici le vent est en liberté

    Les rafales entassent les feuilles dans les ruelles

     

    On quitte le village le dos penché contre le vent.

    Les visages face contre terre cherchent un semblant d'abri.

     

     

     

     

     

     

     

    De Soumont au Bosc PR les balcons de soumont

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Commence la grimpe, facile, mais glacée, le groupe se partage, on cherche des idées de discutions qui occupent .

    Luc et François ralentissent à chaque phrase.

    Le temps de la monte va s'étirer longuement.

     

     

     

     

     

     

     

    De Soumont au Bosc PR les balcons de soumontDe Soumont au Bosc PR les balcons de soumontDe Soumont au Bosc PR les balcons de soumont

     

     

     

     

     

     

    Avec Fabienne on étudie l'arbousier, fleurs et fruits sur l'arbre en même temps comme dans les iles chaudes.

    l'étude est délicieuse cette année.

     

     

     

     

     

     

     

    De Soumont au Bosc PR les balcons de soumont

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On arrive sous le prieuré de Grammont, un clic pour la vue, et on continue

    Le village c'est Soumont notre but, juste en face sur l'autre crête.

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Soumont au Bosc PR les balcons de soumontDe Soumont au Bosc PR les balcons de soumontDe Soumont au Bosc PR les balcons de soumont 

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    ensuite on longe en balcon une couche de Grès bien connue des escaladeurs.

    Les arbousiers ont l'écorce particulière, je muse en photo , le goûter est improvisé sous les blocs d'escalades.

    chocolat chaud, BN de notre enfance, le goûter des années 80

    Je trempe les biscuits fourrés, Maixent croque à sec, le site nous fait comme une escapade dans le temps.

     

     

     

     

     

     

     

    De Soumont au Bosc PR les balcons de soumontDe Soumont au Bosc PR les balcons de soumont

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On ne tarde pas pour repartir, il ne fait pas si chaud immobile.

    On regarde la surface du banc , exploité par les anciens.

    Les coups de pic, des saignées dans la roche montrent leurs travaux.

    Ici était une carrière de blocs, maintenant c'est un site de blocs sportifs.

     

     

     

     

     

     

     

    De Soumont au Bosc PR les balcons de soumont

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    on passe devant Le Chêne, on l'avait rencontré en 2016

    http://rando-lolo.eklablog.com/dans-les-dessus-de-lodeve-a125819348

    On lui redonne notre admiration .

    On s'approche de l'arrivé, et marche un peu par reflex .

    Le jour baisse, le froid redouble

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Soumont au Bosc PR les balcons de soumontDe Soumont au Bosc PR les balcons de soumont

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    on fini par la table d'orientation de Soumont.

    Les ami e s sont comme pris dans un puit, je souris en moi, photo le pays,

    Le jour va tomber, le crépuscule nous accompagnera sur la route de Millau.

    C'est un beau jour qui reste avec nous jusqu'à sa fin.

    Le Larzac attend, tombe la neige sur son dos,

    On est encore là, bien conscient du temps excellent que l'on partage.

    alors, durent, durent les minutes qui ne nous laisse pas rentrer.

    Je reparle Alpagas,

    demain, Brigitte au petit jour,

    ira leur ouvrir le corral,

    leur murmurer des mots très doux,

    sans les enlacer de ses bras,

    C'est certain elle finirait

    par deviner tous leurs secrets.

    Notre vie change, s'étoffe, et nous rajeunit ,

    grâce aux randos et à nos Loulous.

     

    bizs

    Lolo


    5 commentaires
  •  

    coucou rou,

     

    C'est bien dimanche qui vient,

    le 14 novembre 2021 la semaine passe tranquille,

    De jour en jour on laisse le temps donner son bien,

    occupé comme des artistes, on construit notre nouvelle vie.

    Le parc de nos deux alpagas s'organise avec soins et réflexions.

    La semaine s'achève que l'on vie encore avec Lunas et ses émotions.

    La saison de marche prend le rythme facile,

    dimanche rando et  suivent les jours pleins.

    Les souvenirs s'impriment sur les pages d'un livre libre.

    Il s'envole entre nous et livre l'histoire qui nous tien.

     

     

    Ce dimanche on repart en Hérault, départ des Salces.

    La grisaille est promise sur Millau, alors échappons nous.

     

     

     

     

     

     

    Des Salces au Pioch Nègre

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     12 km pour 340 m de dénivelé , une carte avec différentes couleurs de traces.

     Les points rouges représentent des sentiers perdu ,

    non débroussaillés difficiles de voir entre les branches qui grattouillent au passage.

    Je vous conseil les trais bleus pour les éviter.

     

     

     

     

     

     

    Des Salces au Pioch NègreDes Salces au Pioch Nègre

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     La lumière nous plait, L'automne traine cette année on adore.

    Les feuilles restent encore sur les arbres jusqu'à se charger d'or .

    On traverse le village, passe devant l'épicerie solidaire,

    Et la grimpe commence.

    Un murier prend le soleil, la petite route de Cantagal nous promène .

    C'est le temps des saluts amicales, des nouvelles lentes, celles qui racontent nos vie.

    On pense à nos ami e s des olives, qui sont sans doute dans la cueillette.

    C'est leur coin ici, Jean Luc nous a guidé, pour finir en grillade sous le hangar.

     

     http://rando-lolo.eklablog.com/un-tour-en-olive-de-les-salces-qui-roule-comme-une-meule-a138770754

    De bon souvenirs qui restent en pages de blog.

     

     

     

     

     

     

     

     

    Des Salces au Pioch Nègre

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Qu'il est bon de monter la route, elle est en bonne pente, fait terrasses balcon au dessus des villages.

    On discute papote et retrouve Marie Christine en belle forme.

    Les jolies sont belles, délicates et gracieuses.

    Les uns plus terriens, l'humour sur le cœur aux allures de prince vaillant.

    C'est facile d’être bien, suffit de suivre les pas .

     

     

     

     

     

     

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    un premier panneau nous a averti que des mantes religieuses bien grosses passent dans l’imaginaire du lieu.

     Mais celui là est bien plus concret. Au sol un passage sanglier est matérialisé par des bandes jaunes.

    C'est ludique et prudent.

    Cantagal gravé par l'artiste , le chant du coq marque le grès.

     

    Pour ceux qui cherche un lieu étrange voici le lien:

    http://www.cantagal.com/

     

     

     

     

     

     

     

     

    Des Salces au Pioch Nègre

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Le goudron est laissé plus bas, c'est le béton qui tien la piste,

    Le chemin prend de la liberté, limite sauvage, on sent une impression d'étrange.

    Le pays décore l'image d'automne, collines villages, monts et vallées s'étendent sous les nuages de beau temps.

    On grimpe sans forcer.

     

     

     

     

     

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     L'étrange est là. Les libellules tournent dans le ciel,

    les arbres boules demandent de s'approcher pour comprendre.


     

     

     

     

     

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    Coquillages et cuillères , on touche caresse, et yeute les reflets. On y est partout!

    c'est un interlude surprenant pour une rando, et s'imagine bien passer du bon temps ici.

    Une petite vidéo pour voir

     

    https://www.youtube.com/watch?v=tMgZWGOU-Ig

     

     

     

     

     

     

     

     

    Des Salces au Pioch Nègre

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Toujours en piste, le groupe s'allonge, papotes à deux obligent.

    C'est le plaisir des pistes, on marche contre épaules, et c'est complices que l'on parle.

    Les têtes s'inclinent avec écoute, et discutent dans la réflexions de l'autre.

    J'aime se dandinement des pensés, qui aide pour avancer sa vie.

    Je raconte nos derniers préparatifs alpagas , mes aventures de sélection .

    Brigitte doit parler de moi, de nous, et d'eux, Rivage et Régal.

     

     

     

     

     

     

     

     

     Des Salces au Pioch Nègre

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Les couples, pas trop mixtes, avance bon pas, bon mots, les yeux ne voit pas la suite.

    -" Hola, on se dirige vers le Pas de l'Azé, au bout du la vallée là haut " je pointe de mes paroles fortes.

     

     

     

     

     

     

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    Les sportif en avant, Brigitte sonne à la faim, derrière .

    Trouver le coin qui inspire le repos , devient notre pensé commune.

    -" maintenant ou en haut, reprendre la côte le ventre lourd, c'est épuisant" se questionne t'on.

    Mais la gentille insiste, le ventre se creuse avec la monté qui semble bien plus difficile.

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Et puis, on quitte la piste, un sentier indique le Pas de l'Azé, il est charmant.

    Comme des ânes, on monte, marche et grimpe sans dire.

    La calade du Pas nous porte en haut en peines régulière.

    Le repas sera donc en haut, fini la pente, l'épreuve du jour est passée.

     

     

     

     

     

     

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    Au lieu de rejoindre le GR, je pose le groupe.

    Facile de suivre les balises, mais la vue va nous échapper.

    Marinou sort les amandes pour éviter que Brigitte ne gargouille , elle patientera sans bruit.

    On bifurque donc pour suivre la bordure du causse, une sente marque le passage des lapins.

    La vallée s'ouvre entre les arbres, le vent nous vient droit d'en face on s'interpelle du bon, du choix fait.

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Et puis c'est le spot parfait. un arbre, un rocher, un muret de pierre tout en balcon.

    Michel note sans détour, assit c'est le top.

    La belle en faim retrouve le rire.

    lolo congratuler, le repas se pose en raz rocher, chacun sa place sans vent, sous la lumière.

    C'est bon, généreux, l'apéro chante les promesses de bonnes choses qui sortent des sacs.

     

     

     

     

     

     

     

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    Vient la méditation, le pays se rapproche, la pierre nous donne l'aplomb

    Les montagnes vont jusqu'au bleu sombre, les feuilles, les arbres, colorent de chaud le vent qui se croit froid.

    L'automne me charme de doux

     

     

     

     

     

     

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    Pendant ce temps, elles rêves, ils soufflent, abandonné au soleil.

    C'est un rituel indissociable de nos randos.

     

     

     

     

     

     

     

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    La sente lapin suit encore la bordure du causse.

    puis c'est des points verts pastel qui nous guident, les chasseurs postent le long des falaises.

    On se régale de suivre ce sentier mi sauvage mais....Les points verts disparaissent.

    on décide de rejoindre la piste, la forêt se referme sur nous, c'est un moment bartasse.

     

     

     

     

     

     

     

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    Km 5,5 , on retrouve la piste, on se dirige vers Pioch Négre,

    là plusieurs sentiers commencent et se croisent.

    Le notre je le connais bien, entre les falaises il passe sans rien dire.

    C'est somptueux cet automne. On se souvient d'y il y a quelques années, en 2016.

    Mireille devant la carte doutait du passage .

    à lire ici http://rando-lolo.eklablog.com/une-pointe-du-larzac-au-dessus-de-salces-a126044650

    C'est l'avantage du blog, il garde la mémoire de chaque dimanche.

     

     

     

     

     

     

     

     

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    En limites du Larzac, face Sud Est, les feuilles qui tombent les ocres de Provence.

    -"On commence le joli de la marche, pleine vue sur les Haut Languedoc." j'admire et rêve éveillé.

    Combien de marches, de randos serpentent devant nous, cachées secrètes, ou bien, bien trop connues.

    combien de vies me faudra t'il pour espérer un jour en avoir fait suffisamment, et partir ailleurs.

     

     

     

     

     

     

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    J'enchaine les panoramas, croyant capturer le pays en entier, c'est illusoire, mais bien beau.

    Venez découvrir cette bordure, de toute part la tête tourne et trouve la liberté de s’émerveiller.

    On se laisse aller, tranquille, les pas en vertige facile.

     

     

     

     

     

     

     

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    Petits sommes nous, grandiose de partout, le sentiment de paix remonte des versants.

    La marche devient exploration d'un monde libre, ouvert et beau.

     

     

     

     

     

     

     

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    on finit bientôt, encore des passages sensibles, le col des Vents est tous proche.

     

     

     

     

     

     

     

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    Le dernier balcon , on y pose nos impressions.

    -" J'enlace un arbre pour garder les émotions de se sentier" sourit Pascal

    devant nous on devine la piste du retour sur le versant.

    ça nous semble bien, paisible, la rando va descendre jusqu'à l'arrivée.

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Passé le col , la piste nous repose, les discutions repartent en couple ou trios.

    C'est facile mais Lolo est là.

    -"alors voila, au lieu de suivre le chemin de pays balisé, j'ai tracé un sentier qui n'existe plus"

    à voir si on le trouve.

    le début n'est pas évident du tout, Brigitte craint d’être entrainé dans les fourrés

    Ensuite c'est presque mieux, une sente lapin suit , des trouées rares offrent la vue de la vallée.

    Maixent en pisteur on descend fouetté gentiment, on aime bien , l'impression de sauvage.

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Le sauvage à toujours une fin, voici la piste que l'on trouve.

    bien joli temps, le jour avance, les ombres tirent le sombre et le soleil s’attarde dans les près.

    Les érables jouent les boules d'or étincelant de richesses les vallons.

    C'est le jeu, observer ces arbres qui étalent la splendeur pour y trouver la fierté de passer , vivant et attentif.

     

     

     

     

     

     

     

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    Je pense que c'est le bien être d'un automne. La saison du recul de l'été.

    Activé , bousculé par les longues journée ensoleillées, les feuilles nous donnent le temps du beau, du tendre.

    Nos pensées peuvent ralentir, se poser et prendre le plaisir de l'instant.

    C'est comme une seconde fleuraison, les couleurs reviennent toutes plus surprenantes.

     

     

     

     

     

     

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    J'use et abuse des photos, mais comment arrêter de cliquer.

    On avance dans un tableau de maitre, ou chaque détail impressionne.

     

     

     

     

     

     

     

     

    Des Salces au Pioch Nègre

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On arrive aux Salces, fini les images , on se trouvent démuni .

    Comme l'enfant qui laisse échapper l'oiseau qu'il cajolait , que faire maintenant ?

    On va repartir sur Millau, se séparer, oublier tout ça ?

    Le village nous garde encore, il est magique cet hameau.

    L'épicerie fait aussi table boissons.

    Sous la voute de la petite pièce, le quart du groupe discute produit savoureux.

    Nous autres on attend sur la rue, écoute les boulistes tirer ou pointer .

    -" On boit à ma santé " rigole Pascal pour son anniversaire.

    C'est long, c'est cool, le temps de faire un choix, sortir les euros.

    J'adore, ils et elles adorent, ce moment qui traine sans bouger.

    La vendeuse patiente , échange et conseille, elles prend son temps aussi.

    On se pose en table rustique, les tablettes sortent des sacs,

    bière et chocolat c'est bon.

    le temps passe autour de nous , fait des cercles lents

    farandole de souvenirs, d'impressions, de sentiments paisibles.

    La danse fini par nous envouter , on a notre du.

    On peu enfin se séparer, remplit du maximum de joies.

    un dimanche passé bien gentil.

    à bientôt ami e s .

    bizs

    Lolo


    1 commentaire
  • coucou rou,

    Dimanche 27 juin 2021 à lieu nos rencontre à st Rome:

    Je pense enfin pouvoir faire un petit message en résumé de ce WE émotions.
    Pour tous ceux qui ne sont pas venu,
    et ceux qui se sont dévoués à venir..

    C’est pas facile quand les ami e s vous entourent,
    De lâcher l’émotion et qu’elle suive son cour,
    Le cœur emporté par la vague, je m’y noie,
    Nu comme un nouveau né, chacun de vous me voit.

    Tais toi donc, grand Lolo
    que connais tu , de ton cœur,
    une peur et des pleurs,
    tu n’en connais rien de beau,

    c’est plus facile, en voyant les images,
    de revivre au calme ces moments bonheurs
    pour écrire ma joie de voir d’autres rivages.
    et de croire possible d’y partir en cœur,

    J’écris donc, moi Lolo,
    Que je sens bien, mon cœur gros,
    qui chante, et fait le beau,
    avec les ami es rigolos...

    -“ Samedi on vient camper à st Rome, tu peux prévoir une marche dimanche au cirque de tournemir”, textotes Sylvie.
    Bien, ok, mais qui vient ?, je ne sais pas non plus pourquoi, une histoire de roquefort et de caves. Allez savoir.

     ou alors ils veulent tester notre emplacement de camping

    https://www.lecampingsauvage.fr/emplacement/camping-chez-habitant/saint-rome-de-tarn-aveyron

     

     

     

     

    L'histoire de Crapodine au cirque de tournemirL'histoire de Crapodine au cirque de tournemirL'histoire de Crapodine au cirque de tournemir

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On est fin prêt pour recevoir, cuisine ouverte, salle d’eau lavée, et les chemins tondus.

    C’est Luc et Sophie qui me font la surprise d’arriver en premier. Le temps de débloquer sa voiture, viennent les autres .
    Une petite histoire de pierre qui coince une roue. Le we commence sans couiner, ni râler c’est comme magique.
    Crine, Marie Laure, Odile, Francine, Régis, Sylvie écoute la première aventure du WE, et la visite commence.

    On est bien surpris, de voir l’enthousiasme pour notre terrain.
    -“ha , mais c’est bien différant des photos, c’est incroyable “ regarde Odile.
    -“ J’ai un escalier particulier pour aller à ma tente” sourit Crine.
    -“C’est là que je met notre tente, face au village” décide Luc
    Francine se perd un peu, Marie Laure découvre la mezzanine troglodyte.
    Sylvie remplit le frigo, et nous on écoute la joie déambuler autour de notre Mazet.

    Le temps semble nous suivre d’un pas en arrière.
    On traine, laisse couler les choses,
    -“ je range les fromages au frigo” prévient l’une qui anticipe.
    Il n’y a pas beaucoup à faire, juste s’installer, se poser, se baigner, voir le village de haut et manger.
    C’est un programme qui accepte tous les retards, et surtout les attentes.
    J’aime ce temps, qui reste en arrière, comme un soleil fixe au zénith,
    Chacun donne du sien pour ne rien perdre de l’autre.
    On parle discute écoute échange, partage la vie en tranche simple et facile.

     

     

     

     

     

     

     

     

    L'histoire de Crapodine au cirque de tournemirL'histoire de Crapodine au cirque de tournemir

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Et c’est le bain, la cascade au soleil de 18 h , les rochers dans l’ombre , on plouff, dans l’eau verte.
    un bon moment magique, où la tête voyage vers les iles.
    On traverse, rentre dans les grottes, et je ressort limite glagla.
    Les belles posent , je me sais chanceux, j’adore.

    On monte méditer sur la falaise, plein vent chaud, un délice
    Et puis c’est le repas du soir,
    grande table, salade, taboulé, et grillades.
    Une belle soirée qui n’en fini pas, le jour nous laisse rigoler dans la nuit.
    Certaines choisissent de dormir sous les étoiles.
    Brigitte réfléchit à un plan de secours. Elle a du nez!
    on se quitte joyeux, sans trop penser sérieusement, et chacun se couche.
    Il n’y a pas d’étoile ce soir. Juste des éclaires ho loin!
    Et la pluie arriva.
    -“ho non c’est juste 3 gouttes elles ne risquent rien “ je contredis Brigitte qui s’inquiète.
    He bien sur, les belles sous les étoiles cherchent refuge.
    Francine
    alla chez sa voisine,
    demander un lit,
    Mais l’amie,
    n’est pas prêteuse, c’est là son moindre défaut.
    -“tu pensais qu’il ferait beau”
    dit elle à cette emprunteuse.
    Je n’ai d’autre place ,
    pour garder au sec tous mes sacs.

    Je croise Francine perdue dans la nuit , le corps nu enroulé dans la couette.
    Je part chercher le matelas d’Odile, et revient .
    La belle sautille encore sans trouver la maison. On rit, à couvrir le tonner, et s’installe au sec dans la chambre.
    Le petit déjeuné raconte la nuit, l’orage, les 3 gouttes qui tombent en trombes.
    Et Francine qui passe et repasse, sans oublier nos ronflements de bienheureux.

    Et puis la matinée commence, si facilement que personne ne comprend.
    Le rendez vous est à 10h30 , il est 7 h .
    Café thé, fouaces, confiture, pain, gâteau, c’est cool.
    -“ha faut tout ranger, on ne revient pas là ce soir” on se dit lentement.
    Mais le temps ne passe plus, il reste comme on veut.
    C’est agréable de faire au plus lent, sans perdre son temps.
    Et quand on décide de partir il est l’heure. synchro on arrive au rendez vous pile. Où presque.

     

    L'histoire de Crapodine au cirque de tournemir

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     



    Là je retrouve des ami e s de notre groupe de marche aveyronnais.
    C’est super, tous sourires, je sens le groupe comme léger , flottant au dessus de moi, des ballons de fêtes que je tient entre les doigts.
    On se dirige vers Matarel, une cave batarde , je fais la visite famille.

    -“je m’en souviendrais pour y venir avec mes petits” me dit Didier.
    C’est un endroit à voir. qui me touche un peu aussi, ma grand mère venez y passer ses vacances.
    Et commence la rando, je guide léger, comme l’enfant qui promène ses ballons en riant entre les manèges.
    Ils suivent et fond leur vies, se tapotent et rebondissent, s’arrêtent, se couchent, tirent en haut, et reviennent d’un coup.
    C’est que je lance l’élan à grands gestes de bras.
    -“Je ne photo pas, aujourd’hui, je n’ai pas envie de m’écarter de vous” j’explique à Michel.

    Et puis c’est la fringale, certain marche sur leur estomac.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    L'histoire de Crapodine au cirque de tournemir

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Au fond du cirque commence l’apéro. je ne me doute de rien.
    Odile , Didier sont reporters, Sylvie prépare un discourt.

     

     

     

     

     

     

    L'histoire de Crapodine au cirque de tournemirL'histoire de Crapodine au cirque de tournemirL'histoire de Crapodine au cirque de tournemirL'histoire de Crapodine au cirque de tournemirL'histoire de Crapodine au cirque de tournemir

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Drôle de truc, quelle blague m’attend ?

     

    Une peluche alpaga !!! en attendant ..., viennent les enveloppes.

    Et là on m’explique enfin votre démarche. à vous tous qui avez suivit l’idée de participer à mon rêve.

    C’est fou, trop fort...le cœur s’évade et déborde par les yeux.
    Le regard se noie, je dois écoper entre les mots de remerciement.
    Les groupe Aveyron me donne une carte sabot de venus, et les sous.... qui ne doivent pas voler au vent.
    Et avec la carte peinte par Régis je prend le chèque.
    Au total vous avez financer au moins un alpaga, et presque deux si je trouve de bonnes occases.
    je ne sait comment écrire ces moments, il faudra en reparler entre nous,
    et on en reparlera souvent , c’est une aventure collective qui commence.
    Je suis très fier de la foi que vous me témoignez. à moi maintenant d’assumer.
    Je suis comme booster pour réussir. et compte sur Brigitte pour me surveiller.

     

     

     

     

     

     

     

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    on reprend la rando avec la mascotte au sac, comment la nommer?
    -“Crapodine, comme la tzigane que l’on ramasse aujourd’hui.” vient en cœur naturellement.

    on arrive au rocher du lion, pose calme, que je récupère.

     

     

     

     

     

     

     

     

    L'histoire de Crapodine au cirque de tournemir

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    méditation face à la vallée du Cernon.

     

     

     

     

     

     

    L'histoire de Crapodine au cirque de tournemir

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    L'histoire de Crapodine au cirque de tournemirL'histoire de Crapodine au cirque de tournemir

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    et on fini à la grande croix,
    la rando réfléchit , revoit les émotions, c’est du bonheur qui se repose entre nous.

     

     

     

     

     

     

     

    L'histoire de Crapodine au cirque de tournemir

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    merci à vous tous, je reste là, et pense que mon rêve prend vie avec vous.

     

     

     

     

     

     

     

    L'histoire de Crapodine au cirque de tournemir

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Crapodine sur le sac le premier pas est fait.

     

     

    L'histoire de Crapodine au cirque de tournemir

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Le cirque reste là , la région me porte .

    on va à St Eulalie, finir le jour ensemble chez Marie France.

     

     

    L'histoire de Crapodine au cirque de tournemir

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Sylvie Francine et Marie Laure baptisent la mascotte dans l’église,
    Marraines parrains vous êtes.

    J’arrête les mercis et promet des visites avec alpaga à tous ceux qui veulent.
    Ce jour va durer comme un fleuve qui reçoit l’eau des montagnes,
    Il me portera au bout de mon rêve
    où ma raison se lève
    où la déprime s’achève
    tout au bout de mon rêve
    ou m’attendent les beaux et belles.

    Bizs
    Lolo


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  • coucou rou,

    Dimanche 7 novembre 2021, un peu improvisé notre rando démarre de Lunas.

    La semaine passe bien occupée,

    on prépare le terrain pour accueillir les alpagas. Les ami e s viennent, aident et nous soutiennent.

    C'est une ambiance magnifique, facile, glorifiante, un élan d'entraide qui efface mes doutes .

    Je suis soutenu, porté, encouragé, boosté, projeté, comme sur un petit nuage du paradis.

    et c'est Pascal qui attrape la ficelle de mon ballon, pour qu'il redescende avant le WE.

    -"Dimanche tu prévois une rando? il fera beau au sud, on pourrait retrouver nos ami e s héraultais"

    Vite le vendredi matin j'épluche la carte IGN, j'en garde plusieurs coins qui ont une belle pomme.

    Et je tris en fonction des ami e s .

    On aura des choses à se dire, des émotions à partager, et surtout une nouvelle aventure à poursuivre.

    Alors voila je lance le rendez vous à Lunas, 10h45 base nautique.

    "dommage, on ne viendra pas, tu as prévenu trop tard" mail une amie avec regrets

    On se retrouvera une prochaine fois.  

     

     

    De Lunas à Joncel

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    13 km pour 310 m de dénivelé.

    Pour se retrouvé c'est toute une histoire,

    La journée commence en exceptions, Patrice, nouveau se présente,

    Et Patricia vient faire sa première rando à lolo, accompagnée d’Étienne et Rouky.

    Ils vont découvrir le groupe, l'ambiance autrement que par le blog.

     

     

     

     

     

     

     

    De Lunas à Joncel

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On a laissé le gris sur Millau, la vallée de l'Orb profite du soleil légendaire du sud.

    Le parking fait fête, c'est la piste de nos retrouvailles,

    Ils sont là,  en partie, les gens de lumières méditerranéen.

    Depuis Crapodine on ne s'est pas revu. Le we de juin 2021 reste entier contre nous.

    http://rando-lolo.eklablog.com/l-histoire-de-crapodine-au-cirque-de-tournemir-a211006288

    on s'enlace, ou pas suivant la covid, mais les cœurs se boum-boum, les uns avec les unes .

    C'est chaud, doux, et violant de joies.

    -"Je propose de faire le tour en contre sens, la visite du village en dernier" je calcul pour raccourcir la marche si certains se fatiguent

    -"tu fais comme tu dis, nous on suit" me cajole Francine

     

    Les présentations faites la marche se lance comme en colo, sur deux  lignes.

    je suis dans les paroles, les blablas qui fond plaisirs, si bien que je ne photo pas encore

    On attaque par la calade, une grimpe qui souffle certain.

    Marinou rassure Patou,

    -" hola garde ton rytme, ne cherche pas à rattraper les premiers, ils nous attendront, prend ton temps"

    Francine écoute l'histoire de ces gens des ardennes qui viennent marcher avec nous.

     

     

     

     

     

     

     

    De Lunas à Joncel

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Mireille cherche sur la carte,

    -" Où passe la rando, je n'ai pas regarder le mail de lolo"

    La piste est atteinte, la première côte est passée , nous voila chaud.

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Lunas à JoncelDe Lunas à Joncel

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    maintenant c'est 3 km de tranquille, promenons nous dans les bois tant que ...

    C'est la balade des perdus, entre celui qui cueille des chataignes,

    Celles qui mangent des arbouses, les premiers attentif aux Mas charmants ,

    les derniers ne se voient plus , on en oublie leur têtes.

    Par moment la piste est laissée pour un sentier tapis feuillus.

    Avec Daniel on papote formation, réussite, et projet futur.

    Je ne suis pas peu fier, et il me félicite gentiment. 

    C'est un air facile qui court entre nous, jusqu'aux chasseurs.

    Chasse en cours signale le panneau, ils sont oranges fluo, attendent les cochons.

    On sympathise vite, et passe rassuré .

     

    Un petit panneau donne la tombe rupestre ( du latin rupes=roche)

    Je m'y avance les autres sont tous partis que je pense. Inutile de leur faire faire demi tour.

    -" ha tu cherches aussi la tombe, rupestre, cela veut dire quoi" me questionne Odile qui était la dernière de la marche.

    Elle me parle de cette piste qui vient de Joncel, jolie , vraiment agréable quelle connait bien.

     

     

     

     

     

     

     De Lunas à Joncel

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    on rejoint la route qui vient de Joncel, peut on y descendre?

    -" Une belle abbaye nous y attend" proposent certaines.

    Alors on va sur la pente bitume, et Marinou perd sont podo.

    -" hola non je ne retourne pas dans les bois chercher ce petit truc de plastique" bougonne Maixent

    Cet incident va marquer notre journée. Elle sera celle qui perd et retrouve.

    Car pendant le temps de bougonnerie que l'on encourage l'ami à évacuer.

    Le petit truc fait surface dans le repli du pantalon de Marinou.

     

     

     

     

     

     

     

    De Lunas à JoncelDe Lunas à Joncel

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     On visite le village avec gout, c'est des ruelles, passages anciens

     

     

     

     

     

     

    De Lunas à Joncel

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    l'abbaye est fermée , mais le charme est là.

    On est tranquille, cool , reposé, pour reprendre la marche qui monte.

     

     

     

     

     

     

    De Lunas à Joncel

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Sur les gradins on pose repas. Le seul bord de chemin sous le vent, au soleil de novembre.

    Piquenique champêtre, qui surprend nos ami e s du nord.

    Ha Patou , désolé tu es encore sur la photo, mais je pense que tu seras la seule à t'y voir.

    Mais il me faut bien noté que tu la faites la rando à lolo .

    depuis ce temps ou je t'ai commenté que tu y viendrais, toi dans les Ardennes, et nous ici.

    Les blogs sont magiques, on leur donne nos rêves et ils les concrétisent

    Le repas s'étale, bien mieux que le partage ou de l'échange, c'est une table d'hôte

    Les délice circulent en cercle, passe et repasse jusqu'à disparaitre

    Étienne pouck la bouteille de rouge, et des Ahs tendent les timbales .

    tout va bien , jusqu'à Mireille!

    -" Zut, j'ai oublié la housse photo sur la place du village"

    En brave seigneur, Michel court la pente , il appel très vite qu'il tient l'objet.

    Et puis, passe un temps, on sort les gâteaux le café, et toujours pas de Michel.

    -"Hé pour remonter j'ai marché ..." souffle t'il en arrivant.

    Deuxième perte du jour retrouvé.

    On médite entre filles, sublime, sous la lumière chaude, à coté des papotes en berceuse,

    avec une paix facile et si gentille.

     

     

     

     

     

     

     

    De Lunas à Joncel

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    La marche reprend, on passe le col entre les causses de labencou et le causse froid.

    c'est le retour au village qui commence.

    Les monts nous entourent la marche est facile, ce n'est que du bonheur pour la digestion.

     

     

     

    De Lunas à JoncelDe Lunas à Joncel

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Rouky fait le lien , et va entre nous.

    On rêve de Carroux, des monts de Lacaune et de Ginestou..

    Ces montagnes sont particulières entre le sud et la rudesse,

    Elles me fascinent

     

     

     

     

     

     

     

    De Lunas à Joncel

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    ensuite c'est la grande forêt. on y croise un panier de champignons.

    La famille qui le porte semble ravit de la cueillette .

    Le groupe part en vrille. C'est beau facile, la tête avance vite.

    Senteur de mousse, de champipi, certain entre dans le bois,

    Et les autres papotent les yeux dans le vague, et n'y regarde rien.

    Je surveille la file qui s'étire d'un bout à l'autre des longues lignes droites de la piste.

    J'en zap quelques uns, pense qu'ils devinent les derniers pour les suivre.

     

     

     

     

     

    De Lunas à Joncel

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Vient un carrefour, Chantal s’interroge, " où sont'ils? "

    On retourne un peut , personne.

    J'attends, et fini par retourner en courant.

    Les cueilleurs arrivent enfin, ils étaient bien a nous suivre,

    mais des bâton perdu contre un arbre les ont contraint à faire demis tour.

    Encore une histoire de perte. j'espère que c'est la dernière.

    On accélère pour rattraper la tête perdu de groupe.

    Livré à elle même, sans carte ni indication on pense qu'elle n'ira pas loin.

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Lunas à Joncel

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    on se retrouve aux chasseurs. Le groupe est figé, on discute entre nous l'histoire des bâtons,

    et papote chasse avec les fluos.

    Brigitte attends plus en avant avec un fluo solitaire. elle semble impatiente de marcher.

    L'homme propose de faire un BANG en l'air pour nous réveiller.

    -"ho non si vous tirez ils vont s’éparpiller comme un vol de perdrix " dénonce t'elle.

    Leur temps tire à sa fin, ils rentrent les chiens, la battue ne tuera plus ce jour.

    on les laisse et reprend la marche qui descend au village.

     

     

     

     

     

     

     

    De Lunas à JoncelDe Lunas à Joncel

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    on retrouve la belle calade, les majestueux semblent en grande discutions interrogatives.

    On y va doucement, la marche développe la pensé quand on y prend le temps.

    J'accompagne Patrice, qui m'explique sa façon d’être on se rejoint par bien des points .

    Un trou laisse entrevoir la vallée, je photo en impression, les lumières me colorent les yeux de tendre.

     

     

     

     

     

     

     

    De Lunas à Joncel

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Le château de Lunas, la visite du village commence.

     

     

     

     

     

     

     

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    -" En face, au bout on tourne sur la route du Val de Nice et on trouveras les santons." propose Odile

    Le soleil flash les bâtiments, le ciel s'assombrit l'ambiance prend du caractère.

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Lunas à JoncelDe Lunas à Joncel

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Dans la rue froide, on yeute le versant ensoleillé ,

    Les bonhommes de pierre habitent un jardin original.

    les jumelles passent d'un regard à l'autre, il faut le temps de tous voir.

    Et le temps c'est du glagla avec le vent qui bize froid.

    Un petit moment rude qui nous fait sourire.

     

     

     

     

     

    De Lunas à JoncelDe Lunas à JoncelDe Lunas à Joncel

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Puis c'est St Georges qui nous occupe,

    La source en gros robinet, flanqué dans un ruisseau sec.

    Il y a ceux qui voit la source et les autre qui restent en haut.

    La route est froide l'ombre est partout. il ne faut pas tarder.

     

     

     

     

     

     

    De Lunas à JoncelDe Lunas à JoncelDe Lunas à Joncel

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    et puis la chapelle de St Georges. V , VI, siècle, avec un arc outrepassé.

     

     

     

     

     

     

     

    De Lunas à JoncelDe Lunas à Joncel

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    on fini la visite par le bord de l'Orb, près du cimetière de grand monument indique les noms de famille.

    On en trouve un en commun avec Maixent. Laures .

    on traverse par la passerelle, et perd encore.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Lunas à Joncel

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Installé vers le lac, soleil au plus bas, on attend les derniers.

    Ils sont perdus, là à quelques centaines de mètres. ils n'ont pas traversé.

    Les douceurs sucrés sortent des sacs, la fouace est coupé par un expert .

    Tranches fines régulières accompagnent tous les chocolats.

    c'est notre façon de se dire encore et encore des jours aussi bon ensemble.

    La quiétude et partout entre nous, satisfait du jour de la marche du village et des autres.

     

     

     

     

     

     

    De Lunas à Joncel

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    L'image de fin, avec les signes du jour, couleur d'automne, soleil d'été, gens du sud au nord,

    tout se perd qui se retrouve, avec pour dernier le premier d'avant .

    On s'est brassé , mélangé si bien, si facile qu'il est impossible de savoir qui a le plus souffert,

    qui a le moins forcé, la certitude est que chacun de nous étions présent pour tous les autres.

    Une belle journée de retrouvaille

    un long temps à la lolo , simple et delicat

    Merci à tous

    bravo à certaine

    bizs

    lolo


    2 commentaires
  • coucou rou ,

     

    Nous voila parti pour une nouvelle saison,

    Le dimanche 24 octobre 2021,

    L'été vient de passer, aussi vite qu'il a été

    intense et prenant de tous les instants.

    Plein de choses nous arrivent, et l'on part la voiture pleine .

    Le projet alpagas est lancé en juillet, on visite des élevages, fait un petit tour de France,

    Rencontre des gens merveilleux, et fini par trouver deux Loulous tout doux.

    On réserve deux Alpagas dans un élevage en Mayenne, bien loin de chez nous.

    Ils sont adorables, parfaits. A nous de tout préparer pour les recevoir.

    C'est une aventure inconnue dans laquelle on s'engage,

    Alors en septembre on part dans la Drôme suivre un stage d'éducation.

    Il s'agit de s'éduquer pour bien mener les bêtes en randonnée.

    J'écrirai des heures, et des heures, sur le caractère, la sensibilité, et les craintes de ces animaux.

    Passionné je suis , amoureux je deviens en vivant le rêve d’accompagner nos alpagas .

     

    Et donc ce dimanche, 10 h la rue sourit à nouveau.

    -" je n'ai pas eu la tête libre pour prévoir la rando, c'est Brigitte qui l'a lancé" je pose en excuses.

    -" heureusement qu'elle est là, sinon la saison de rando, trainerait encore de marcher" rigole certain.

     

    Un tour sur le Sauveterre, vite tracé, en terre connue, comme pour un départ de la source.

     

     

     

     

     

     

    Début de la saison 9, un tour sur le sauveterre

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    14 km pour 680 m de dénivelé. un parcours moyen, manière de se remettre en train.

    Les gens arrivent comme par magie, on se pensait peu pour commencer la saison,

    et voila les ami e s, qui semblent sortie d'une longue léthargie.

    On se retrouve enfin, après une longue absence, et même très longue pour certain.

     

     

     

     

     

     

    Début de la saison 9, un tour sur le sauveterre

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    De la route de Mostuejoul, au Massegros, on prend la piste des Vors. Un beau chemin sous les sylvestres.

    -"Holà, stop, Chantal essaie de nous rejoindre, " je cris à coté du téléphone.

    Une de plus, les deux premiers km se fond au ralenti, Franck nouveau doit se demander comment est organisé la marche.

    On marche en ligne, comme des militaires en cavale, deux à deux, dans un désordre de paix.

    Je parle d'alpagas, Brigitte de moi et des tests réussis pour une formation de guide.

    Les ami e s , donnent leur vie tranquille de l'été, et certaines déposent leur fardeau de moments difficiles.

    Le groupe s'équilibre, je vois le poids d'ami e s se soulager, comme porté par les ailes bienveillantes du soutient.

    Un temps de recul sur les évènements, beau ou sombre, se cré. Le doux enveloppe le rustre, et l'instant commence de briller.

    Chantal arrive essoufflée, la marche commence enfin.

     

     

     

     

     

     

     

     

    Début de la saison 9, un tour sur le sauveterreDébut de la saison 9, un tour sur le sauveterre

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On quitte la piste, pour traverser le ravin de St Marcelin,

    Les vautours cherchent ascenseur des airs, on rigole de croire qu'ils nous guettent.

    Ils passent tout prés, les grandes ailes fond parasol à nos têtes.

    Les histoires spéléos de ce ravin circulent entre nous.

    Le sentier tracé à l'origine par les découvreurs "Du Lacas"  comme on dit entre nous, nous dégourdit le dos.

     

     

     

     

     

     

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    Un grand chaos, une petite entrée, c'est l'aven qui commence.

    On parle du réseau, de nos histoires, et de notre ami Maixent.

    Pour découvrir un peu du Lacas voici des liens.

    https://millau2013.ffspeleo.fr/pdf/Lacas.pdf

    photo d'une explo au Lacas

    Cette première rando de la saison 9, nous fait du bien, on s'approche de proche ami e s

    par la terre qui les a vu grandir.

    C'est l'histoire du pays qui nous porte et nous entoure en cette automne dorée.

     

     

     

     

     

     

     

    Début de la saison 9, un tour sur le sauveterreDébut de la saison 9, un tour sur le sauveterre

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Minutes bartas, il en faut une, ça grimpe et sa gifle, on adore.

    On rejoins les Paillasses, un village d'abris sous roche, bien connu des guides touristiques.

    Le repas se pose au soleil entre les nuages.

    On fait salon, l'apéro reprend sa ronde, les cacahouètes graissent les dents, 

    nos habitudes sortent des sacs naturellement, comme si on ne s'était pas arrêté de marcher cet été.

    C'est bon de se sentir les mêmes.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Début de la saison 9, un tour sur le sauveterre

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    La marche reprend, sans méditation, et bien vite on est au dessus du Tarn.

    La vue est profonde, longue, et vertigineuse. Le Causse Méjean s'étire en face.

    -"tu vois, pour une fois, on descend pour la digestion", j'avais promis à Maguelone.

    Tranquille nos ventres travaillent, les jambes au repos. On dévale la pente jusqu'à St Marcelin.

     

     

     

     

     

     

     

    Début de la saison 9, un tour sur le sauveterre

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    C'est un sentier grandiose, une belle descente dans le vide.

    c'est un retour pour moi, depuis le temps que je n'y suis plus venu.

    La région est si vaste, que l'on ne peu pas passer de partout chaque année.

    Alors il est des lieux qui attendent le jour propice, l'occasion qui fait la visite.

    Aussi quand j'y viens j'aime prendre le temps du passé qui regarde le présent,

    écouter les choses sans bruits, et sentir ces moments pour les prochains jours au loin.

     

     

     

     

     

     

     

    Début de la saison 9, un tour sur le sauveterreDébut de la saison 9, un tour sur le sauveterre

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    St Marelin, village troglodyte, avec son château collé au roc.

     

    Bien des histoires viennent d'ici.

    On se pose pour boire à la fontaine ,

     

     

     

     

     

     

     

    Début de la saison 9, un tour sur le sauveterre

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    La chapelle se restaure petit à petit . une association les amis de St Marcelin œuvre ici.

     

    https://mostuejouls.fr/associations/les-amis-de-saint-marcellin/

    toujours des passionnés.

    Là on double ou croise des promeneurs, c'est un site visité au soleil. Une randonnée type des gorges,

    qui se fait en partant d'en bas, au bord du Tarn.

    Nous autre on vient d'en haut, et intrigue certain visiteurs.

    alors on discute sentier, sourit des bonjours, et lance des "bonnes marches".

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Début de la saison 9, un tour sur le sauveterre

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Après le village, voici le cirque de St Marcelin.

    Face au Cinglegros. Le gros piton de roche seule qui marque le virage du Tarn à la Sablière.

    On ira bientôt lui grimper le dos.

    Une pose avant la grimpette

     

     

     

     

     

     

    Début de la saison 9, un tour sur le sauveterreDébut de la saison 9, un tour sur le sauveterreDébut de la saison 9, un tour sur le sauveterre

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Méditation sur le vertige, seul, au soleil,

    Les uns siestent un instant, et puis on monte le ravin.

    Les érables sont d'ors ou de sang, l'ombre glisse du nord, le versant d'Est garde la lumière.

    La monte est soufflante, rude,elle éprouve le groupe en file étirée.

    Le Sauveterre porte bien sont nom , de terre sauvage.

    Le sentier suis un très vieux chemin, qui serpente la pente, à la façon des anciens qui cultivaient ces terres.

    Des murets barrent le ravin, micro terrasses à la terre riche, redevenu forêt, elles sont perdu pour les regards sportif.

    C'est une grimpe dans le temps, les pas tournent les virages en pierres, les têtes pointent le sommet invisible.

     

     

     

     

     

     

    Début de la saison 9, un tour sur le sauveterre

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Enfin en haut, on retrouve la piste des Vors. et les promeneurs de St Marcelin.

    Ils font la même boucle que nous mais en sens inverse.

    Alors on se dit bonsoir , ils redescendent vers le Tarn, et nous on va vers les voitures plein Nord Est.

    -"Une question! Vous êtes garé où ? pour rester sur le causse." me demandent t'ils.

    On sourit ensemble en regardant la carte, les chemins ne manquent pas par ici.

     

     

    Début de la saison 9, un tour sur le sauveterre

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Les Vors, un coin particulier, longue vue avant la forêt du causse.

    J'aime y passer, comme on franchit un col, la peine avant,

    le spectacle sur le fait et la paix qui nous accompagne après.

    C'est cela, la paix qui vient d'ici et file dans les cœurs jusqu'au retour.

    venez vivre ici un instant, au proche des murs anciens ,

    maison rustre de pierre, qui semblent dormir depuis des siècles.

    L'esprit moderne perd la tête, le corps frisonne d'imaginer les gens passer les hivers,

    mais l'âme retrouve la paix .

     

     

     

     

     

     

     

     

    Début de la saison 9, un tour sur le sauveterre

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Pour finir, on prend un sentier qui trace dans le sable , les arbres sont bonzaïs, ils ne dépassent pas les trois mètres.

    On file en train éloigné, faisant de grande boucle, on s'appelle d'un bout à l'autre.

    Nos voix raisonnent entre filles et bonhommes.

    Comme un train heureux, l'express tchou tchou les rires , qui sortent de la forêt en nuage bonheur.

    Le retour fait l'entrainement, même si certaine paresse en arrière pour des photos.

     

    L'arrivée au voiture surprend beaucoup, se croyant perdu dans le bois, loin de tout.

    Le jour rafraichit, l'ombre est partout, le soleil reste dans nos yeux.

    entre nous se cercle le groupe pour des aux revoir gentils

    débordant de promesses que l'on espère réalisables.

    La saison est lancée, un groupe vient de marcher le dimanche,

    Que les suivants vous trouve présent ou complice,

    je pense à vous tous ,

    heureux de vous attendre,

    prenez soin de vous,

    bizs

    Lolo.


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  • coucou rou,

     

    Voici la chronologie de nos randos faite durant cette huitième saison.

    Plusieurs confinement, et couvre feu, nous auront perturbé.

    Mais c'est aussi l'année de ma consolidation comme écrivent les médecins.

    J'accepte le mieux gagné en espérant des mieux futurs.

    La marche me fait avancer sans reculer, et pas à pas, dimanche après dimanche je m’éloigne du quotidien.

    Bien entouré, accompagné, et aimé, ma vie se groupe autour de mes rêves.

    Je fini cette saison dans la folie de mon rêve, Balader des alpagas.

    Merveilleusement encourager par le groupe, je pense concrétiser cette folie bientôt.

    Une aventure à suivre la prochaine saison.

     

     

     

     

     

     

     

     

    Début octobre 2020 la première sortie

     

     

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    St Rome de Dolan de petites boucles qui s'allongent pour certains

    14 km pour 380 m de dénivelé

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    De la Cresse aux avens

    16 km pour 550 m de dénivelé

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Le Cougouille et la Cledelle

    16 km pour 350 m de dénivelé

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Un cercle sur le Larzac

    16 km pour 250 m de dénivelé

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Les buttes de Fontaneilles

    12 km pour 600 de Dénivelé

     

     

     

     

     

     

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    De Moulibez à Castelnau Pégayrols

    17 km pour 600 m de dénivelé

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Un huit à Vissec

    17 k pour 560 m de dénivelé

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    On passe à Laulo et regarde le Salagou de haut

    17 km pour 300 m de déniveler

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Une courbe du Pouget à Aumelas

    17 km pour 430 km de dénivelé

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    De Peyrelau à la Tendelle

    18 km pour 560 m de dénivelé

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    De la tour d'Aiguillon au cirque de St Baulize

    21 km pour 450 m de dénivelé

     

     

     

     

     

     

     

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    Col de Bonnecombe les patures d'Aubrac

    17 km pour 450 m de dénivelé

     

     

     32 sorties dont chacune d'elles nous a laissé l’impression d'avoir fait la plus belle.

     

    432 km pour 14650 m de dénivelé.

     

    Rendez vous cet automne, pour de nouvelles aventures.

    bon été à toutes et tous

    bizs

    Lolo


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    coucou rou,

    dimanche 13 juin 2021,

    C'est la clôture de notre huitième saison de marche.

    Cette année il n'y a pas de brevet du randonneur .

    On ne finira pas dans l'ambiance sympathique d'une journée découverte du causse

    organisée par Lo Bartas.

    -" aller sur les sommets de l'Aubrac ce serait bien pour finir au frai" propose Pascal.

    Il aime l'Aubrac, ses grands espaces.

    Même ficelé de barbelé, ce plateau offre la liberté de voir et de marcher au loin.

    C'est une terre de contraste avec celles qu'il l'entour.

    Zone acide, cernée de calcaire, haut plateau limité par de profondes vallées .

    Un climat de montagne voir haute montagne, qui touche le méditerranéen.

    Peu de foret, surtout une prairie riche et colorée. Une moisson de fleurs qu'il est difficile d'imaginer.

    Et puis en estive, la vache Aubrac y est la reine, celle qui maquille son regard comme une star .

    Les troupeaux sont en grande pâture, comme libre et sauvage.

    Le taureau attentif, les jeunes veaux craintif, et les mémères curieuses.

    Les approcher donne le frisson, un mélange de peur et d'envie.

    Allons vers l'impossible, marcher en plein soleil le jour le plus chaud tout en gardant une polaire.

     

    On se retrouve au col de Bonnecombe voir les liens pour les infos.

    https://www.aubrac-sud-lozere.com/category/ete/

    https://www.visit-lozere.fr/incontournables-en-aubrac/col-de-bonnecombe

     

    Une nouveauté, les glacières restent dans les coffres.

    -"j'ai un poulet rôti pour ce soir"

    -"moi, c'est bières et fouace"

    discutent les ami e s, et un grand rajoute :

    -"ha mais j'ai rien prévu, c'est quoi cette histoire de repas"

    -"j'ai pris du fromage", "he j'ai du vin" ... le menu se complète.

    Nous avons l'intention de rester après la rando pour un piquenique tardif.

     

     

     

     

     

     

     

    col de Bonnecombe les pâtures d'Aubrac

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    17 km pour 450 m de dénivelé.

    J'ai pioché la trace sur le net, pour grimper au signal de Mailhebiau, le sommet de l'Aubrac.

    -"1469 m, au dessus de ma tête on passera les 1470" je souris.

    Quelques voitures sont là, certaines pour la pêche des truites, et  d'autre pour la marche.

    Le vent passe du nord, il rafraichit bien, le soleil chauffe juste, c'est parfait.

    C'est la canicule dans les vallées, on a le luxe d’être bien.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    col de Bonnecombe les pâtures d'Aubrac

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    C'est un monde à part. Il semble plat, et grimpe quand même.

    les forets sont champignons dans les près, l'air léger essouffle presque.

    -"On est comme en bord de mer, bien au bon air en plein soleil" on se dit la réflexion.

     

     

     

     

     

     

     

     

    col de Bonnecombe les pâtures d'Aubraccol de Bonnecombe les pâtures d'Aubrac

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Voici le petit lac des pêcheurs, d'ailleurs une truite se débat en surface, un enfant vient de la ferrer.

    C'est tranquille, sans bruit, les gens calmes, les couleurs elles même sembles en paix.

    Une harmonie généreuse qui offre une vision idyllique.

    -"là des tables sous les arbres, on pourra y aller après" remarque l'ami.

     

     

     

     

     

     

     

     

    col de Bonnecombe les pâtures d'Aubrac

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Maixent en tête, la rando file trop vite pour moi,

    je tourne et retourne les yeux, regarde déjà le peu grimpé, et les reflets du ciel.

    Les pensées sont partout sauvageonnes, surtout dans l'herbe en pétales bleus.

     

     

     

     

     

     

     

    col de Bonnecombe les pâtures d'Aubrac

     

     

     

     

     

     

     

    Une colline derrière la forêt, on y va gaillard, mené par l'ami qui connait bien, mais en hiver.

    -"avec la neige, on passe au dessus des clôtures" se rappelle Marinou.

    Chantal me parle de journée d'été à pêcher , on marche entre les saisons au milieux des belles fleurs.

     

     

     

     

     

     

     

    col de Bonnecombe les pâtures d'Aubraccol de Bonnecombe les pâtures d'Aubraccol de Bonnecombe les pâtures d'Aubraccol de Bonnecombe les pâtures d'Aubrac

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Je pose le genou, clic une Orchis, deux pas pose genou, clic encore , ainsi de pas en pose

    j'avance peu.

    Je pense reconnaitre l'Arnica, mais non, c'est le Séneçon Doronic me dit le livre .

    Les raiponces ici font des épis au dessus des autres.

    On s'interroge aussi devant les toupets roses qui ondulent joliment.

    L'ordi me dit qu'il s'agit de Renouée Bistorte.

    Du fait de son rhizome tordu en forme de serpent il lui est attribué des propriétés anti venin, sans garantie.

    Le groupe se réuni est m'attend , je flâne comme les mouches qui butinent sans relâche.

    Je ne vois pas d'abeille domestique, quelques bourdons, des charpentières, et des papillons.

     

     

     

     

     

     

     

     

    col de Bonnecombe les pâtures d'Aubrac

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Tien un bloc de granite, posé là par un glacier.

    le premier troupeau est là aussi, ainsi que le premier saut de clôture.

     

     

     

     

     

     

    col de Bonnecombe les pâtures d'Aubrac

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Facile un pass est aménagé pour éviter d'ouvrir la clède est risquer de ne pas la fermer.

    Bienvenue le marcheur curieux de voir ce pays.

    Pour le début de la rando, nous sommes libres, on avance dans les près à vue, sans contrainte.

    Une croix pointe à la crête, on décide d'y aller.

     

     

     

     

     

     

     

     

    col de Bonnecombe les pâtures d'Aubrac

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Vaste la grimpe étale la vue depuis notre départ. Proche de l'antenne à droite.

    A peine 2 km de fait et l'horizon désigne notre début de marche.

    Face au vent je souffle la pente, regarde la croix, avec dans la tête le sentiment d'être en dehors du monde.

     

     

     

     

     

     

     

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    D'ici les Causses paraissent loin et bas, tout semble plat, élevé au dessus du reste, comme un paradis réservé aux vrais.

    Venez marcher sur l'éden fleurit, pour trouver des vérité essentielles qui parfument l’âme de sentiments oubliés.

    c'est un lieu qui nettoie, transforme, et bouleverse celui qui se laisse émouvoir.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    On c'est un peu écarté de la trace prévue , un saut de clôture s'impose.

    Pour certaine c'est passage commando en suivant le chef rase motte.

    On s'oriente vers le buron du Rajal, un petit amas de rochers l'entoure.

    En liberté bucolique on cherche le GR.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    col de Bonnecombe les pâtures d'Aubrac

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Nous voila sur la piste du buron, étrangement on est comme enfermé, piégé par les barbelés des pâtures.

    Encore une contradiction de l’Aubrac, c'est dans les champs clôturés que l'on se sent libre.

    Sur les pistes le sentiment de passer à coté du monde sans pouvoir l’atteindre, laisse un gout d'impuissance.

    Mais c'est quand même trop beau pour être déçu.

    Devant nous le Signal pointe le dos rond.

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Signal_de_Mailhebiau

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Pour une fois, c'est moi qui sonne la faim.

    Brigitte en avant ne semble pas espérer une pause.

    Presque dernier, je prend les devants pour demander pitance.

    -" au dessus du buron, dans les rochers trouves nous un joli coin pour manger" interpelle Michel.

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Elles suivent l'homme élégant, dans l'envoutant parfum du Narcisses des poètes,

    Il est trouvé le salon parfait, juste aéré, belle lumière, douce vue, enfin un pose fesses digne du plateau.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Belle vue sur la Margeride, un autre plateau à connaitre en été.

    C'est repos, repas, ronflette. les trois R fait dans l'ordre.

    C'est trop cool s'étaler sans ombre, sous le vent rafraichissant.

    La terre peu s’arrêter là, on a fini de tourner pour un moment, le temps est a rien faire.

    Les 4 km fait sortent des jambes doucement, à la façon des sources d'ici.

    Un filé d'eau qui part tranquille d'une touffe d'herbe, pour vagué bien plus loin en cascade dans les vallées.

    L’apéro chante presque, que l'on rit de choses qui ne me reviennent plus.

    C'est un rêve qui me reste, de ceux qui laisse un plaisir irréel même sans souvenir précis .

    Je me souviens d'un long temps tranquille, salé entre les gorgées de muscat,

    pour continuer en délices variés jusqu’à la méditation lumineuse.

    La fin de cet épisode, nous lève lourdement pour reprendre les sacs allégés.

     

     

     

     

     

     

     

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    Le Signal est donné en objectif, la pente digère facile, une vesse des près joue la pétanque blanche.

    Le jour continue vert fleurit.

     

     

     

     

     

     

     

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    on laisse bien vite le buron dans ses rochers.

    commence l'aventure du toit de l'Aubrac.

     

     

     

     

     

     

     

     

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    on monte sans le voir vraiment, seul le cœur manque un peu de souffle.

    L'altitude, et la pente invisible.

    l'avance est libre, comme une vache qui passe l'été, un autre buron pousse là bas.

    Les sauvages pensées prennent une belle place. c'est un régal.

    Rien en vue qui brise le tendre, juste un contact entre ciel et terre.

     

     

     

     

     

     

     

     

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    le beau temps se repose ici, épousant les nuances du sol fertile, bercé par les sonnailles des belles.

    On est sur le lit des dieux paresseux, on profite sans crainte puisqu'ils ont perdu la clé de leur chambre.

     

     

     

     

     

     

     

     

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    On passe les sources du Bés, longue rivière qui commence ici.

    https://www.fousdetoc.com/2020/06/15/au-milieu-de-laubrac-coulent-des-rivieres/

    un lien pour les pêcheurs.

    Un milan royal nous escorte un moment, il plafonne bas, serre les ailes dans le vent pour ne pas bouger.

    C'est un spectacle surprise que l'on apprécie.

    On approche du sommet reste une grimpette.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    La papote va bon train, entre filles on blague aussi vite que l'on pense.

    Je stop pour montrer notre monté, le buron du repas semble bien bas.

    Ici tout s’atténue, s’arrondit pour ne pas blesser, c'est un monde l'air de rien qui vous porte au loin.

     

     

     

     

     

     

     

     

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    L'ami roule dans les pensées, nous autre on laisse l'allonger faire l'enfant.

    Mailhebiau nous regarde, l'herbe est presque bleu, faute au narcisses qui tachent en blanc.

    C'est un coin de fou, qui ouvre les yeux sur tout le monde qui l'entour.

    il n'y a rien qui coupe le regard, à part les vaches.

    et à voir le sol on comprend que le fromage soit parfumé.

     

     

     

     

     

     

     

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    la table marque le signal, il faut bien un repère sur ce toit presque plat.

    les yeux à 1470 m je photo la groupe en vrac. L'un dort presque, certains tournent encore

    et les autres écoutent le mouvement.

    j'adore cette sensation de voir les facettes du pays.

    Entre le rochers posé qui ne se réveil pas, les vaches attentives, et les mouches qui butinent.

    On est adopté, mère terre nous a reconnu d'ici, filles et fils d'Aubrac nous sommes.

     

     

     

     

     

     

     

     

    col de Bonnecombe les pâtures d'Aubrac

     

     

     

     

     

     

     

     

    je vois le Sud, d'Est en Ouest, de l'Aigoual au plomb de Cantal , et devant les causses.

    Juste là, a porté de voile, je pense à Mickaël, qui pourrait m’apprendre à planer.

    Une voile, trois petit pas de course, et le vent qui porte, je serai avec le milan , roi de mon monde.

     

     

     

     

     

     

     

    col de Bonnecombe les pâtures d'Aubraccol de Bonnecombe les pâtures d'Aubrac

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Le poème est inscrit sur la table, je ne rajouterais rien de plus

    Lire le poème De Mailhebiau

    je repart transformé, comme épuré, léger.

    Et comme par logique on arrive aux vaches. Les mémères lavent leurs jeunes.

    c'est touchant. je m’approche timide, passibles elles nous acceptent.

    Une petite pause toilette qui nous fait du propre à l’âme.

    C'est pas si courant de pouvoir rincer son cœur en eau douce. J'aime ces doux moment suspendu pour rien.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    pensée sauvages, ou des Vosges j'en perd la tête.

    on quitte la butte pour aller en bordure.

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Le plateau fini en vallées nombreuses qui collent vers le Lot: Les Bouraldes

    On arrive devant une, le sentier va suivre la bordure imprécise du plateau.

    Une rousse ne bouge pas, une femelle, elle a des granules perlés sur le flanc.( merci au delachaux)

    On trouve le deuxième boule blanche.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Lascko chauffe, rase motte et poilue elle ne profite pas du vent du nord.

    La piste passe au sud, le soleit tape vraiment. elle s'étale sans pouvoir nager.

    Un autre visage du plateau commence, entre champs et arbres, ou coulent les sources.

     

     

     

     

     

     

     

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    Les chemins viennent du Lot, et se rencontre en estive.

    On est sur le retour face à la combe haute, presque 10 km de fait.

     

     

     

     

     

     

     

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    Exposé sud la gentiane commence de fleurir, saute barrière et on sort de la piste barbelé.

    nous voila libre en plein champ de vache, sans le savoir.

     

     

     

     

     

     

     

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    Le champ chante, stridulent les mâles grillons sous les pensés.

    On grimpe un peu sous le soleil, calme sans dire la fatigue commence.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    puis moment frayeur pour les Unes. Un troupeau fait son repas.

    Étalé en désordre sur la table chacune son brin d'herbe commander, les vaches s’inquiètent des trouble fait.

    -"Hola je ne passe pas au milieu " angoissent nos belles.

    Avancer ou pas?, restons groupé, évitons les paniques.

    Mais quand même il y a fuite, elles courent s'éloigner. Les vaches pas les filles.

    On passe tranquille le troupeau rassemblé juste plus haut.

     

     

     

     

     

     

     

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    et puis c'est une descente vers un ruisseau. il nous manquait de suivre l'eau

    Il court dans la plaine avant de cascader vers les vallée profondes.

    rendez vous sus les bois.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    C'est une partie rafraichissante qui suit le passage au sud.

    Le ruisseau coule une mélodie claire, limpide, qui demande de sortir les pieds des chaussettes.

    Trempette pour tous, des chevilles aux cuisses selon le degré de résistance au froid de chacun.

    Alors c'est comme une fin en soi, le marche s’arrête dans nos têtes.

    On est arrivé au paradis. laissons passer le monde.

    Pour relancer le groupe c'est une épreuve, on se promet un long repas du soir.

    -"J'ai les bières fraiches dans la voiture" pense bien fort Pascal.

     

     

     

     

     

     

     

     

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    on fait les sautes ruisseaux, avec le Doulou, en se rappelle de notre rando de la haute dourbies.

    On parle de vous autres gens d’Hérault qui nous avaient accompagné pour cette folle marche.

    http://rando-lolo.eklablog.com/en-petit-saute-ruisseaux-dans-la-haute-dourbies-a191241182

    C'est bon de se souvenir.

    J'annonce les 4 km restant en théorie. Le sourire n'est pas générale.

    -"d’après la carte se serrait plutôt 3 km " précise Maixent.

    Des ha généreux l’acclame.

     

     

     

     

     

     

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    Un peu de forêt qui souffle, sa grimpe, 45 m de dénivelé d'après la carte, pas de quoi souffrir.

    Et c'est les champs. Là l'Arnica nous attend, on va vers la cascade lou Saltou.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Le petit saut, au bout de la zone humide reste caché.

    On est presque arrivé un pause peut se faire

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Choco pause, on sort les gâteaux et chocolat des sacs. Il est 5 heures passé on goûte.

    je m'étale dans l'herbe est photo à porté de main.

    Une guêpe, une éphémère, mouche de mai.

     

     

     

     

     

     

     

     

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    on arrive à la route par les champs, une stèle informe sur le Maquis de Bonnecombe.

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Otto_K%C3%BChne

    C'est le temps du repos final.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    le soleil reste lumineux, mais bien moins haut, le lac s'enbleui magnifique,

    La table sous les arbres , la bière s'ouvre, les chips remplacent les grillons,

    et les têtes s'évaporent.

    Le repas du soir commence, pour ne pas finir.

    En fait on traine de manger d'autant que l'on a marcher vite.

    Trop bien de faire durer la saison jusqu'au soir,

    On se rapelle, se dit des souvenirs de nous de vous , d'hier ou d'avant.

    8 saisons de marches à retrouver, on est perdu heureux dans tous nos oublis.

    Trop il y en a trop, et on continuera à remplir se trop pour qu'il déborde encore et encore chaque année.

    on se quitte limite,

    un café nous remet droit pour la route.

    merci à vous tous qui marchez de temps à autre avec nous,

    et à ceux qui suivent et lisent ces histoires de conte, rendu émus.

    C'est un beau monde qui gravite autour de nos sorties dominicales.

    Et j'espère que la saison prochaine verra de  nouveau adeptes à quatre pattes.

    Peu être que les alpagas seront avec nous.

    bonne été à toutes et tous...

    bizs

    Lolo


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    coucou rou,

    6 juin 2021, l'été est enfin annoncée,

    Après la pluie le soleil s'installe. Comme souvent ici, en juin vient d'un coup la chaleur.

    C'est ainsi, la terre chauffe sans prés chauffage,

    et pour un temps l'humide garde les verts tendres .

    Allons profiter encore de ces douces impressions de printemps.

    En bordure du Larzac, je propose une longue boucle qui s'étire dans la vallée.

    Départ au dessus de Cornus, on va au cirque de St Baulize.

    -"je vous pose Didier et je repart" me dit Marie France avec la gentillesse de ne pas gêner.

     

     

     

    De la tour d'aiguillon au cirque de St Baulize

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    21 km pour 450 m de dénivelé.

    Un parcourt varié, qui promet l'histoire, l'aventure du causse, et le vertige des falaises.

    La descente monté de St Baulize rajoute un grain de folie à mi course .

    J'aime ce challenge pour nous, aller au loin sans penser d'où l'on vient.

    Et rentrer fourbu, fier de ce que l'on a vécu.

    Je fait des théories lance des promesses de tout shoot, et espère un gouter pour la fin.

     

     

     

     

     

     

     

    De la tour d'aiguillon au cirque de St BaulizeDe la tour d'aiguillon au cirque de St BaulizeDe la tour d'aiguillon au cirque de St Baulize

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Pour commencer, on suit la piste,

    fait encore frisquet, je suis sans manche et mes bras affichent la chaire de poule.

    Vent du nord, des amis roulent vers le nord aussi,

    devenus Aveyronnais en maison de campagne depuis peu,  Patou, Etienne rentre chez eux, pour revenir bientôt et souvent.

    Une histoire qui n'arrive que dans les contes.

    Les conséquences de bloguer, le virtuel nous ramène au réel, et les rencontres deviennent magiques.

    Quant un blog de rando se repose dans les pages de psychologie, se réveille le soleil de chacun.

    et nos vies avancent parallèle sans croire quelles vont forcément se croiser.

    L'amitié est ainsi, facile, tranquille, et certaine.

    Alors laissons faire, je regarde venir les jours amis sans crainte du prochain.

     

    Mais je reprend la marche, direction la Tour d'Aiguillon,

    Un coin d'histoire quelques info ici , percher sur son rocher, on la devine de loin.

    On se perd derrière une haie, et tourne pour arriver à la tour.

    La prairie est comme en montagne, les Hélianthème des Apennins sortent leurs 5 pétales.

    L'aster des alpes reste discret, le jour sera fleurit ...

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    De la tour d'aiguillon au cirque de St Baulize

     

     

     

     

     

     

     

     

    On comprend vite pourquoi une tour ici! C'est un point haut du causse,

    La vue porte jusqu'à l'Aigoual .

    Marie fait une grimpe pour donner l'échelle du pays.

    Elle est complice, joyeuse, et volontaire, comme une aventurière qui fuit le quotidien de la ville.

    Ce dimanche nous porte bien, étrangement léger, les esprits au naturel, je me sens libre de vivre .

    Sans doute les couleurs et odeurs tendre de ce printemps. C'est reposant toute cette verdure sur le Larzac.

    Un parfum de magie, de rêve, de vitalité.

     

     

     

     

     

     

     

     

    De la tour d'aiguillon au cirque de St Baulize

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    -"Profitez bien de la vue, on va ensuite serpenter sous les bois " j'affiche en panoramique.

    Certaine pousse à l'avance, les petites fleurs, le grand air, c'est bien mignon mais ça ne réchauffe pas.

    Devant elle marche grand pas, vagabonde fier, face au vent qui bize sèchement.

    Pascal perd Didier entre deux arbres, je pause de nez dans les fleurs,

    Michel rêve éveillé d'un monde libre, Marinou change de blouson, Marie photo.

    La rando traine pour démarrer.

     

     

     

     

     

     

    De la tour d'aiguillon au cirque de St Baulize

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    C'est parti! un sentier devrait nous rendre au chaos du Louradou.

    Une trace dans les Hélianthèmes, affilantes, et renoncules...

    La pelouse fait le blanc, bleu, jaune. En horizon le causse montre son dos, il va nous y porter bien au delà.

    J'aime, voir que l'on va plus loin, comme un grand voyage qui demande tout son temps.

    C'est sans doute pour cela, que le groupe traine, la rando est donnée longue, endurante,

    qu'importe de se presser on ne pourra pas arriver avant la fin du jour.

     

     

     

     

     

     

     

     

    De la tour d'aiguillon au cirque de St BaulizeDe la tour d'aiguillon au cirque de St BaulizeDe la tour d'aiguillon au cirque de St Baulize

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    on se promène dans les bois, les ronces n'y sont pas, les branches frottent sans griffer,

    Le sentier nous prend pour des lapins, petit, simple, il passe sous la végétation.

    J'adore cette progression intimiste, ou l'on devine le passage au sol et non pas à la largeur du débroussaillage.

    Les fleurs deviennent proches, on fait nos révisions des noms.

    Mireille, où es tu, m'entends tu ?

    Je suis perdu dans ma mémoire, tout ce mélange fait une sacré salade de verdure indigeste.

    Maintenant avec le livre devant l'ordinateur, je fait le savant.

    Une platanthère nous regarde passer. Sans doute à deux feuilles .

    Et dans un coin de lande c'est les Orobanches qui font les tranquilles.

    Les cheveux d'anges commencent d'onduler en transparence.

    C'est la partie nonchalance du jour. on suit le sentier sans trop voir où l'on va.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    De la tour d'aiguillon au cirque de St BaulizeDe la tour d'aiguillon au cirque de St Baulize

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     on saute une clôture rejoint une piste , 2.5 km de fait, et c'est la marche deux bâtons de Pascal.

    Brigitte en tête les km déroulent , enfin presque. 1.5 km plus loin on reconnait la carrière de sable spécial du causse.

    On y est passé en 2017 lors de notre folle rando d'hiver blanc.

    Nous reviennent les souvenirs du repas vers la tour, debout à piétiner le froid.

    http://rando-lolo.eklablog.com/les-aiguillons-par-la-face-nord-a134665802

    Et ceux d'un abri salutaire trouvé par l'ami.

    Maixent n'est pas avec nous aujourd'hui, serons nous capable de le retrouver?

    Une plante écarte ma curiosité. Bizarre fleur jaune, tiges rampantes, feuilles en fils.

    Quelqu'un pourra m'aider, pour en savoir plus?

     

     

     

     

     

     

     

    De la tour d'aiguillon au cirque de St Baulize

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     Le chaos de Louradou la devant.

    -" Hé bien voici notre terrain de jeu pour un moment ",  Je propose d'aller voir une petite quille qui pointe devant

    Les rochers, semés de ci de là dans la verdure, sortent en  gros dos allongés.

    La vision change nos souvenir de neige, revenir dans le même coin a du bon, on enrichit nos plaisirs.

     

     

     

     

     

     

     

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    Et dans l'herbe haute d'entre les clapas, les belles bergères Aveyronnaises se reposent assises dans leur robes d’antan.

    Les Ophrys Aveyronensis fond station ici.

    Une bonne surprise, nous qui ne sommes pas allé voir les sabots de venus ce printemps, on se rattrape avec celle la.

    Marinou discute avec chacune d'elle, m'invitant à immortaliser leur tenues.

    Marie, Brigitte, sont prés de la quille, les hommes s'éparpillent, le groupe devient vrille de joyeux lurons.

    dans les plaines hoho, de louradou

    dans les plaines, je peux entendre les échos.

    dans les plaines, les belles appellent dans le chaos

     

     

     

     

     

     

     

    De la tour d'aiguillon au cirque de St Baulize

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Image de l'objectif, l'horizon tout à droite, un rocher dépasse. C'est le Roc de Louradou.

    Devant le vaste causse bien végétalisé, dés que l'on descend d'un rocher on n'y voit plus .

    -"on va à la biste, vers où l'on pense, entre les rochers, en visant le Roc" je me pense heureux.

    L'abri doit être par là, noyer dans le vert au loin. Comment a t'il fait notre ami pour le trouver?

     

     

     

     

     

     

     

    De la tour d'aiguillon au cirque de St BaulizeDe la tour d'aiguillon au cirque de St BaulizeDe la tour d'aiguillon au cirque de St BaulizeDe la tour d'aiguillon au cirque de St BaulizeDe la tour d'aiguillon au cirque de St Baulize

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Commence notre marche du chaos, le sol coloré nous ralentit encore.

    Le lin semble se plaire ici, bleu, blanc, jaune, il éclate.

    L'Anthyllide des montagnes aussi. Une raiponce interroge, est elle seule?

    C'est un ravissement, une évasion dans un monde rêvé, l'artiste paysagé a fait une merveille ici.

     

     

     

     

     

     

     

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    Les Zygènes restent solitaire sur leur fleur, accrocher pour ne pas voler au vent.

    C'est un jour sans papillon, ni butineur, l'air fouette les herbes, et je dois ruser les images.

    On trouve la piste du chaos, celle qui doit passer près de l'abri.

    Les filles décident de la direction, un contre sens évident, mais que je laisse durer tranquille.

    On arrive entre des rochers au pieds de lin narbonnais à grande fleurs.

    Comme un tapis magique, la couleur vive flotte au dessus des herbes et ondule dans l'air.

    On est conquit, ravit, et fait demis tour.

    On cherche l'abri, je m'aventure un peu reconnais sans doute, mais doute quand même.

    Le trou sous le rocher, c'est sûr on est proche. J'abandonne, Pourtant avec Maixent cela semblait si facile.

    Le groupe est posé, grignote des fruits secs, on ne reverra pas se petit coin qui nous avait réchauffé.

     

     

     

     

     

     

     

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    Plus de 6 km découverts sans penser au repas. Bien dur pour la sonnaille.

    Heureusement Marinou a su calmer Brigitte avec des amandes, mais celles ci sont trop vite passées.

    La belle sourit d'un coup le bon appétit qui lui vient.

    -"Michel, trouve nous un coin sans vent pour l'apéro " invoque t'elle.

    Pas de grande vue dégagée, mais du soleil chaud sans air frai, un coin de rocher nous accueil.

    Le muscat sirote, les chips scroutchent, et le rouge suit.

    Petit repas sandwich, qui s'étoffe au dessert, gâteaux maisons sortent des sacs.

    J'adore ces délices qui évoquent toute l'attention de chacun pour être bien ensemble.

    Un rituel facile qui coute peu mais qui donne tellement de bonnes valeurs délicieuses.

     

     

     

     

     

     

     

     

    De la tour d'aiguillon au cirque de St BaulizeDe la tour d'aiguillon au cirque de St BaulizeDe la tour d'aiguillon au cirque de St Baulize

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Un brin de méditation, juste pour bronzer sans bouger.

    Une fois délassé, détendu sans lacet, on s'étire en douceur.

    Un moment qui s'affine lentement, laisse passer les fourmis das le corps.

    Du bas du crane, l'influx irradie la colonne jusqu'au bout de l'orteil, petit petit, ...

     

    On se lève, remarque un cairn, le sentier nous plait, allons trouver la Jasse.

    Une Vulnéraire attend le paparazzi, je photo cette belle des montagnes,

    Commune par ici, on ne doit pas oublier que c'est une plante rare.

    La marche s’embroussaille, les crains se perdent, les traces s’ensauvagent.

     

     

     

     

     

     

     

    De la tour d'aiguillon au cirque de St BaulizeDe la tour d'aiguillon au cirque de St BaulizeDe la tour d'aiguillon au cirque de St Baulize

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Pour un après repas, c'est cool, progression dans le vert qui chatouille, sans rien y voir.

    Je navigue comme en haute mer, dans la forte houle,

    sur la bosse je vise, dans le creux j'imagine.

    Je parle droite, gauche, ceux qui me connaissent pensent l'inverse,

    une idée d'aventure nous prend, l'égarement ne germe pas entre nous, on suit, certain d'arriver sans savoir pourquoi.

    -"Hé, la piste du GR, la Jasse est par là" j'invente pour certaines.

    C'est une fois sorties des buis qu'elles me croiront. On visite le bâti magnifique.

     

     

     

     

     

     

     

    De la tour d'aiguillon au cirque de St BaulizeDe la tour d'aiguillon au cirque de St Baulize

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    -" Bien maintenant tranquille, on suit des chemins balisés " je pense devant les autres.

    Sur la piste du cirque on avance rapide. 1 km vite passé le cirque est là, mais nous on le contourne de loin.

    Je peste un peu, cherche le bord, et trouve enfin un point de vue grandiose.

    Les vautours décollent à notre arrivée, magique.

     

     

     

     

     

     

     

    De la tour d'aiguillon au cirque de St Baulize

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Le village en bas, c'est st Baulize, prochaine étape. On est au cœur de notre rando.

    Après la traversée d'une part de causse, on va descendre par les près de droite au village.

    Pour remonter sur le cauuse par les près de gauche du village.

    Je devine entre les arbres droit devant au dessus de la falaise le prés fauché tout clair où l'on arrivera sur le causse.

    10 km de fait, et s'étale à nos pieds toute une rando à faire. j'adore.

     

     

     

     

     

     

     

     

    De la tour d'aiguillon au cirque de St BaulizeDe la tour d'aiguillon au cirque de St Baulize

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    merci Didier pour l'image de couple perché, je retrouve la fonction panorama pour les photo.

    encore un clic et l'on va .

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    De la tour d'aiguillon au cirque de St BaulizeDe la tour d'aiguillon au cirque de St BaulizeDe la tour d'aiguillon au cirque de St Baulize

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    avant de quitter le causse je prend une Rhynante, et puis on cherche le sentier .

    Je le pense bien ouvert, en ait non, il est en semi abandon.

    Sont départ n'est pas évident, il longe un champ, en sous bois, puis il descend tranquille.

    On a le sentiment d'aller en des passages préservés.

     

     

     

     

     

     

     

    De la tour d'aiguillon au cirque de St BaulizeDe la tour d'aiguillon au cirque de St Baulize

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Une Ophrys abeille attend le mâle. petite surprise du sous bois.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    De la tour d'aiguillon au cirque de St Baulize

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Presque en bas, on dévale les champs, dérange des alcalaphes, le village nous attend.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    De la tour d'aiguillon au cirque de St BaulizeDe la tour d'aiguillon au cirque de St Baulize

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    un petit glaïeul sur la route et c'est la pause sur la place.

    S'organise un concours de chocolats. Toutes les tablettes sortent, fondus ou pas,

    Et les bancs racontent les saveurs. citron, praliné, fleur de sel, on écoute délicieusement.

    Le temps passe, les motards repartent, Une compagnie de motos attendait les pilotes.

    et nous on reste. La, trop bien de savourer le bilan de la journée.

    La place est presque vide

    nous seul et trois brebis métal, https://www.facebook.com/AndreDebru

    fume entre nous le café Didier,

    le soleil brule le sol, l'ombre fait l'abri

    plus de pas, l’immobile donne l'ambience

    qu'il est bon d'oublier que l'on a marcher,

    regarder autour et sourire aux ami e s .

     

     

     

     

     

     

     

     

    De la tour d'aiguillon au cirque de St BaulizeDe la tour d'aiguillon au cirque de St Baulize

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    je sort du rêve, entraine le groupe hors du village, les ruelles sont cool.

     

     

     

     

     

     

    De la tour d'aiguillon au cirque de St BaulizeDe la tour d'aiguillon au cirque de St Baulize

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    on traverse la foussette, et je dis stop.

    -"Si si, le chemin communal est là, sous les ronces, Brigitte sécateur" j'insiste

     

    Le beau sentier espéré pour remonté, bien ouvert , est en fait à l'abandon aussi.

    on queueleuleu au rythme de Brigitte qui scouc, scousc, scoucs sans relâche.

    Puis un de nous passe dans le champ qui longe.

    s'en suit une conversation à l'aveugle entre ceux de l'ombre et lui au soleil.

    Il pense nous doubler facile, la suite lui prouva que non.

     

     

     

     

     

    De la tour d'aiguillon au cirque de St Baulize

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    La grimpe s'intensifie, on a perdu la voix du champ.

    devant s’élève le raide de la pente. Par où passe le sentier?

     

     

     

     

     

     

     

    De la tour d'aiguillon au cirque de St Baulize

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    avant d'attaquer le plus raide du jour, on attend l'ami.

    il penne dans le champ, Brigitte cherche le passage un peu enterré sous les genets.

     

     

     

     

     

     

     

    De la tour d'aiguillon au cirque de St BaulizeDe la tour d'aiguillon au cirque de St Baulize

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Des chasseurs se serve de ce chemin comme poste, il semble mieux ouvert maintenant qu'il est plus raide.

    Chaleur et pente, c'est des trucs à péter les cœurs tendres.

    Mais pour l'instant c'est d'autre part que je pète,

    au diable les manières, il me faut monter.

     

     

     

     

     

     

     

    De la tour d'aiguillon au cirque de St Baulize

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Une bonne pause gourde une fois passé le plus dur, le village est laissé eu plus bas.

    Ouf, on va reprendre tranquille, et peu être revoir bientôt les filles qui nous ont laché.

    A coup de sécateur elles n'ont pas senti le dur.

     

     

     

     

     

     

    De la tour d'aiguillon au cirque de St Baulize

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On les retrouve sur la champ, le paysan refait les andins, le foin chaud berce les narines.

    C'est un plaisir d'être au plat dans ce parfum.

     

     

     

     

     

     

    De la tour d'aiguillon au cirque de St Baulize

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On trouve la piste, la marche reprend le pas rando, je ne photo plus,

    mais au km 17 je propose de suivre la bordure du causse.

    On ne rejoint pas le GR, le coin est trop vaste.

    Une belle vue sur la ferme d'Antigne, avec le Guilhaumard en fond

    On va suivre ce panorama.

     

     

     

     

     

     

     

    De la tour d'aiguillon au cirque de St Baulize

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On rentre vers les voitures, par la pelouse de fleurs du Causse,

    avec en vue les prémisses de la vallée de la Sorgues.

    tranquille libre, on se repose presque.

     

     

     

     

     

     

    De la tour d'aiguillon au cirque de St BaulizeDe la tour d'aiguillon au cirque de St Baulize

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Puis les bois arrivent, la zone se couvre, alors un jeu s'invente.

    -" hola, un point de vue, ha un autre " fait on en cœur

     

     

     

     

     

     

     

     

    De la tour d'aiguillon au cirque de St BaulizeDe la tour d'aiguillon au cirque de St BaulizeDe la tour d'aiguillon au cirque de St Baulize

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    un fil éprouve notre souplesse fatiguée, et on retrouve le GR

    on rentre par la piste rapide, croise un couple gis poil,

    et arrive aux voitures.

    21 km qui sont passé bien varié,

    Le gouter attend à st Eulalie,

    une bonne table généreuse,

    où l'on reste bien au delà du dernier morceau de gâteau.

    C'est trop bien .

     

    c’était l'avant dernière de la saison,

    On se retrouve pour la dernière sans doute sur l'Aubrac.

     

    à bientôt

    bizs

    lolo


    1 commentaire
  • coucou rou,

     

    dimanche 30 mai 2021,

    Le soleil vient de se lever,

    j'ai laissé traîner le café,

    et j'attends les ami e s pour randonner.

    8 heures 55, les François papotent dans la rue.

    Vient les uns, grands, tranquilles, Brigitte se pense la seule du jour.

    Les sourires plaisantent, une belle pour les braves,

    Mais arrive Marinou pour jouer la re belle.

    le convois s'organise en trois voitures,

    Rendez vous à Peyrelau, le carrefour des Gorges.

     

     

     

     

     

     

     

    De Peyrelau à la Tendelle

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    une boucle de 18 km pour 560 m de dénivelé

    C'est un beau jour qui annonce l'été, on se lance pour profiter de toutes la lumière.

    Un air touristique paisible, se respire ici, tranquille, les parkings sont mi-vide.

    Les rues libres s'ouvrent entières, pas de cohue, juste les fleurs font massifs.

     

     

     

     

     

     

     

    De Peyrelau à la TendelleDe Peyrelau à la TendelleDe Peyrelau à la Tendelle

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    -"On attaque direct les marches, pour se mettre en marche" j’annonce .

    Aille ça grince presque pour certain. On y va doucement.

    Une petite visite du village aveyronnais, qui fait face à la Lozère.

    J'ai choisi un tour moins fréquenté, plus intime, surement sans grand site prestigieux,

    mais avec le vertige suffisant pour troubler le regard.

    On s'attarde sur les pierres bâtis, et les fleurs qui les colorent.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Peyrelau à la Tendelle

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    La crête se voit bien, aussi belle que la maison.

    J'explique le passage, en ligne droite, ou presque jusqu'en haut.

    Je promet la côte 815, qui donne le nom au PR, sous forme de balcons sur la vallée.

    le projet enthousiasme le groupe, qu'importe la pente, à petit pas on va partout.

     

     

     

     

     

     

     

    De Peyrelau à la Tendelle

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    La rue fait panorama, les Causses dressent leurs quilles contre le ciel,

    bien bas sommes nous, mais pas pour longtemps.

    On va, pour atteindre la hauteur de vue qui leur passera sur le dos.

    C'est fier, heureux d'avoir chaud, confiant entre nous que l'on s'aventure pour la grimpe.

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Peyrelau à la TendelleDe Peyrelau à la TendelleDe Peyrelau à la TendelleDe Peyrelau à la Tendelle

     

     

     

    Un régal, le sentier n'a pas été débroussaillé, les mauvaises herbes affichent leur fleurs .

    Les couleurs nous chatouillent des mollets jusqu'aux yeux joyeux.

    Pas facile à lire, mais si bon à vivre.

    Surtout que je suis fatigué, épuisé depuis la veille.

    Je marche sans le souffle il est resté faire la grasse matinée.

    Les jambes coupées à vélo le samedi se reposent aussi,

    Le cœur boum comme il peut, il lui faut assurer le minimum.

    Alors les pauses photo je les respire au mieux.

    Avec François on révise les classiques, et le groupe entonne les noms.

    Mélite à feuille de mélisse, pas compris d'un coup,

    et on mélange la dame de 11 h avec l'Anthéricum inventant l'ornithogale à fleur de lys.

    En fait les Anthéricum à fleurs de lys sont en pleine floraison, De belle station prennent le soleil de mai.

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Peyrelau à la Tendelle

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Le sentier va droit et nous doucement, on s’aperçoit qu'e l'on prend vite de la hauteur.

    Les gorges de la Jonte sépare le Causse noir, du Méjan.

    Les versants chantent le vert avec toutes ses notes tendres,

    les ombres détachent les quilles des falaises, le soleil donne l'air d'été,

    comment ne pas être bien , même fatigué.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Peyrelau à la TendelleDe Peyrelau à la TendelleDe Peyrelau à la TendelleDe Peyrelau à la Tendelle

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On se pense en haut, 1.5 km de grimpe ça use. Alors pause mérité.

    Un coin de praire devient mon coin d'étude, le lin, les orchis pyramidale, re mélite, et l'Ascalaphe Soufré.

    Ce dernier chauffe ses ailes et attend le paparasi . Je suis impressionné, et le flou gagne mon image.

    On reprend la marche pour finir la grimpe. Serte plus douce, mais on continue plus tranquillou.

     

     

     

     

     

    De Peyrelau à la Tendelle

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Le premier balcon nous reçoit.

    En bord direct de la vallée, au dessus des Causses, le pays prend des allures de photo aérienne.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Peyrelau à la Tendelle

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Le grand virage du Tarn marque sa sortie des gorges.

    C'est comme une découverte, la trouvaille d'un coffret de bijoux,

    On les regarde un à un, refusant de les comparer, le suivant est toujours plus surprenant.

    Je plonge dans le Tarn, suis les peupliers, et vagabonde les champs.

    les villages perchés voient passée mon regard sur les toits, et le laisse s'évaporer entre les rochers.

    On se sent bercé, en nouveau né qui découvre ses parents.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Peyrelau à la Tendelle

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    La vue plane avec les vautours, ils passent bien plus bas , cherchent l’ascendant contre le relief.

    Ils descendent la vallée un à un, et nous montrent le dos.

    C'est le temps d'oublier la rando, de se croire vivre ici, pour profiter de ce lieu.

    Fini de monter, on avance sans contrainte.

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Peyrelau à la Tendelle

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Ce ne sont pas les balcons du vertige, des vases de Sèvre et Chine.

    Mais plutôt la terrasse sur la vallée. Au plus haut du causse, le service prend tous les horizons.

    On y mangerait bien, ici, mais aucun de nous gargouille avant 11 h 30.

    Il n'est que 11 heures, continuons d'aller plus loin.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Peyrelau à la Tendelle

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Notre sentier suit la bordure jusqu'en bout de la courbe du Tarn.

    On découvre le relief en avance aérienne, avec un style montgolfière portée par un vent fainéant.

    C'est doux, chaud, rassurant comme marche, les surprises viennent lentement et restent longuement.

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Peyrelau à la TendelleDe Peyrelau à la Tendelle

     

     

     

     

    De Peyrelau à la Tendelle 

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Asphodèle, laitue bleue, encore des pauses. Fini la bordure on marche sous les bois, et Brigitte sonne.

    Pour trouvé le coin idéal, on tourne un peu. Et puis un clair mi ombre nous plait.

    Pas loin du sentier, le cercle ne se ferma pas.

    En belle courbe on s'étale à la limite des arbres.

    C'est bon, à porté de bras tendus, l'apéro va et vient, dans la rangée.

    Le repas commence pour ne pas finir je le sens bien. Il y a un gout d’éternité entre nous.

    Sans doute le temps d'été, l'herbe de printemps, l'ombre d'automne, et les alcools d'hiver.

    c'est le bon qui efface les prévisions, la raison garde la vision sur le bien que l'on vie.

     

     

     

     

     

     

     

    De Peyrelau à la Tendelle

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Pas de méditation, il manque le vide. La sieste éteint le groupe.

    Chacun fait le dormeur en forme qu'il aime,

    Aucun ronfleur, ne trouble les oiseaux chanteurs.

    Belle en feotus , les hommes faces au ciel,

    L'ombre paisible ouvre les esprits rêveurs,

    Les randonneurs sont las, aussi vif que leurs sacs.

     

     

     

     

     

     

     

    De Peyrelau à la TendelleDe Peyrelau à la TendelleDe Peyrelau à la TendelleDe Peyrelau à la Tendelle

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Et le chef me réveil, à peine 5 km de fait il en reste 13. aussi je lance un Alléééé Hé!

    et debout je comprend le mal. le ventre digère prend le sang, et se fiche du reste.

    Les jambes, sont vides, le cœur mou, la tête se perd.

    Ola j'avance plus, heureusement le sous bois est coloré.

    Je photo les belles blanches, les clochettes , casques, et c'est la piste.

    On se dirige vers la Tendelle, une auberge, à prononcer Tine-delle.

     

     

     

     

     

     

     

    De Peyrelau à la TendelleDe Peyrelau à la TendelleDe Peyrelau à la Tendelle

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    La piste c'est du cardio, on avance bien, entre mes images .

    Les Orchis brulées commencent, ainsi que le lin jaune. Les bordure sont magnifiques.

    ainsi que la terrasse de l'auberge bien fleurit aussi. Bière fraiche, jus de pomme nous retiennent un bon moment.

    Une première je pense , l’arrêt terrasse durant une rando. En plus au milieu du Causse, en bout de piste.

    Sympa on se présente, discute un peu de marche, et profite du service tranquillou.

     

    La tendelle et Puech Margue

     

     

     

     

     

     

     

    De Peyrelau à la TendelleDe Peyrelau à la Tendelle

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Puis on repart, et sort de la piste.

    L'ami spéléo se propose de nous montrer l'aven de tabourel.

    On suit les marques bleues faite pour un exercice.

    L'entrée pointe l'humour.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Peyrelau à la TendelleDe Peyrelau à la Tendelle

     

     

     

     

     

     

     

     

    On est sur les pointillés rouge de la carte. L'ami va à l’instinct, on se suit en éventail ou en file.

    Le causse se pâture libre à condition d'être sur de son instinct.

    Un régal se moment d'évasion champêtre.

     

     

     

     

     

     

     

    De Peyrelau à la TendelleDe Peyrelau à la TendelleDe Peyrelau à la Tendelle

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    -"Lolo, tu confirmes la direction, on retrouvera le tracé prévu?" demande tranquillement Maixent.

    Entre deux photos, je confirme, on se gratte les sacs au arbre, et passe dans un prés d'ascalaphe.

    Le ciel ce couvre, ils sentent l'orage et restent posés.

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Peyrelau à la TendelleDe Peyrelau à la Tendelle

     

     

     

     

     

     

     

     

    On retrouve la trace, un sentier commence bien, quelques vues posent notre situation.

    Une grande zone boisée qui cache les ravins, et rochers, ainsi que les gorges .

    Au loin des falaises éclairées donnent l'autre versant des gorges. les voitures sont vers là ba.

    On va plonger dans les pins, et chercher le pont d'arc.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Peyrelau à la TendelleDe Peyrelau à la TendelleDe Peyrelau à la Tendelle

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Encore des fleurs qui me pause. le sentier rejoint la piste du ravin du pont des arcs.

    Ils est charmant, typique du causse Noir.

    la rando entame sa partie retour. Un long retour il reste presque 7 km.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Peyrelau à la TendelleDe Peyrelau à la TendelleDe Peyrelau à la Tendelle

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    J’espère la descente, mais des fauts plats montent à perdre les forces.

    Alors je pose pour le lin. et Pascal me coiffe d'un totem,

    Il vient d'inventer le chef des ages farouches.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Peyrelau à la TendelleDe Peyrelau à la Tendelle

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Le pont des arcs. Une curiosité qui trompe .

    Maintenant on descend. le retour facile sonne enfin .

    Mais les km parcourus sonnent aussi, pas si facile d'aller au bout.

     

     

     

     

     

     

     

    De Peyrelau à la Tendelle

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Le ravin se suit longuement, sans dire, ni bruit , le groupe avance chacun sa peine.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Peyrelau à la Tendelle

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Puis c'est la route de la Rouvière, un rapadou qui épuise.

    à droite la crête faite le matin, derrière les arbres les balcons s'ouvrent sur la vallée.

    Pour rentrer on va descendre dans les pins après la ferme.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Peyrelau à la TendelleDe Peyrelau à la TendelleDe Peyrelau à la Tendelle

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Jolie ferme du Causse, la chienne fait la timide pour une caresse.

    J'aime la liberté de passage.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Peyrelau à la TendelleDe Peyrelau à la Tendelle

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On retrouve le PR, un sentier rassurant, direct , mais assez roulant! Les cailloux font les billes coquines.

    Commence la progression dans le ravin qui va à Peyrelau.

    Le groupe s'étire, les premiers passent les boucle basses que je suis encore en photo du haut.

    On se rapproche des falaises vues au loin des arbres il y a 5 km.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    De Peyrelau à la Tendelle

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Arrivée en tout sens dans le village.

    il est temps. c'est un jour rempli, limite fourbu,

    Les coffres ouverts vont attendre pour se refermer.

    La rue sait accueillir les marcheurs en peines.

    Les points d'eau et bancs ne manquent pas.

    18 heures, on a le temps.

    Alors on traine sans bouger, c'est reposant,

    tranquille de regarder les gens d'ici passer avec le sourire.

    Savoir rester là ensemble pour rien de plus, juste profiter d'un repos pour se raconter la journée.

    Comme lors d'un repas de fête on digère les bons mots autour d'un salon de jardin.

    J'aime cette lenteur amicale,

    sincère et spontanée.

    Qu'il est dure d'être celui qui propose de se quitter.

    Et en même temps qu'il est bon de projeter de se revoir.

    à bientôt ami e s,

    bizs

    Lolo


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