-
Le saut de Vezoles
coucou rou
dimanche 5 mai ,
réveille à l’âtre, de Ginestous
la nuit givré voile un matin venteux
bourrasque du nord à pas mettre un loustyque dehors ..
Pas de pluie prévu , on y va au saut !
10 km pour 500 m de dénivelé .
longue descente pour une grande monté
10 heure , au revoir les filles ,
on laisse les sœurs à la maison , et part en voitures au Saut .
c’est la séparation , celle ci dit les souvenirs qui restent ..
la banane d’une oreille à l’autre , le cœur entre les mains
C’est plus la même ..., vent glacial
qui emporte les sacs ,
-“ hé oui j’suis tombé dans les genets voulant rattraper le sac qui vole , et personne ne bouge “ souffle Didier
-“ les cartes qui volent l’appareil photos qui chute , sa surprend se temps “ je rigole
une course de trial passe là ..
des jeunes en short déboulent de la vallée et partent faire le tour du lac avant de redescendre .
on les regarde sans envie , respectueusement .il y a toujours plus fou que soi
puis c’est magique ...une fois dans la descente , coté sud ,
Protégé du vent on comprend d’ou l’on vient .
Le Somail est un plateau d’altitude ,
limite du massif central avec les méditerranéens.
pentes brut de gneiss à gros œil blancs .
la roche à souffert , c’est transformé complètement pour finir en montagne noire .
le soleil réveille les Hêtres , parmi les sapins
on est conquis,
km 7,5 , on mange sur l’équilibre
le Ravin du saut , est là tout en verdure
et entre les rochers on trouve des Bézègues .
-“ tu n’as pas osé mètre les bézégueurs , dans ton histoire “ me provoque jean Yves .
-“ hé non ! j’ai oublier les gai bés..., les bégué .. , les bézégueurs voila ! , comment tous ces rires ont ils pus sortir de ma mémoire “., je repense
Ha les bézégeurs se retrouvent maintenant pour un partage de souvenir :
interprété comment ? : ramasseur de bézègues , ou mal dit comme des gens bien gai b..
Sans dire jean Luc , lui ramasse la salade pour le soir ..
les nombrils fleurissent , la méditation s’écoute en groupe
par manque de place on reste avec ceux qui siestent
la montagne nous gagne ... comme disent certain
les voitures sont tout là haut au vent du nord .
bien au sud , sur les pentes chaudes , on va vers les marches
ce sentier en compte 1000 dans la légende
Mireille nous croise , venu en indépendante du groupe
elle fait la boucle en contre sens .
-“ c’est magnifique , vous allez commencé par un long balcon vertigineux , puis un style canyon , et des marche à n’en plus souffler “nous fleurit elle le parcours .
tulipes , asphodèles , Maixent en tourne la tête ..
le sentier bien construit invite à la marche
quel changement avec le veille ! la roche sort des forets , les hêtres habillent les pentes .
les marches grimpent les falaises ..
que d’efforts anciens pour nous aider ce jour .
on comprend que le souffle va se vider .
le canyon se présente jusqu’au saut de la cascade
le respect nous enveloppe
tranquille comme on peu chacun se motive
le temps nous est laissé , le plaisir est a prendre lentement .
alors ceux qui ont les jambes montagnardes , le cœur endurant donne leur sourire
cherche la pose paysage pour les soufflants .
le groupe se disloque et se ressoude comme un bon aligot que l’on étire au dessus du chaudron .
je suis en dernier ou pas ,
je photo en l’air , en eau , la pierre , tout la haut
je m’enivre des cascades et des marches
impossible de croire que l’on passe et pourtant facile avec le sentier ..
la grimpe calme les papotes ... ouvre les yeux
le somail cache des trésors chantant la montagne
il est bien d’aller doucement , de regarder la tête en arrière
haut très haut , au fil de l’eau ..
pour des heures , nous voila évadé , libre de gravir la source ,
marche après pierre , on respire des pensées folles ,
souffle la force que l’on croit dernière à chaque cascade ..
c’est vertical ,
sous les feuilles , se présente de long escaliers
c’est tout juste irréel se sentier
le gneiss dressé en forteresse , on arrive sur le chemin de ronde
le pays de méditerranée devant au sud
comment pas se voir bien ?
Didier , photo la grande soudure du groupe
pose goûté . Souffle et rigolade dévalent les pentes .
on oublie la peine , regarde le soleil
encore un bel effort ,
des moment de marche ,
le sommet arrive trop vite
je sait que la haut le vent balaiera les adieux
la séparation sera trop rapide ..
malgré le soleil , l’air pousse avec force
les voiture nous abritent vite
juste le temps de se serrer plus fort que le temps
pour se promettre des retrouvailles heureuses ..
la buffe dans les yeux ,
on se quitte
je ne peu plus dire merci ,
c’est trop peu ,
inventer un mot une expression qui traduirait la déchirure de partir ,
l’espoir de revivre ensemble , le bonheur reçu ,
la paix entretenu ,
la tranquillité facile ,
la simplicité gagné ,
et la générosité offerte ..
je ne trouve pas ces mot ,
mais je les vis dans vos yeux
grand We au Somail ,
Christine et Jean Luc vous marquez nos cœur
Ginestous restera un coin de souvenirs tout doux
bizs
lolo
-
Commentaires